Grand chef : Wim Van Gorp

Le chef Wim Van Gorp ( Market et Jean Georges) vient d'ouvrir un sympathique bistrot. La carte propose un feuilleté de betteraves écume de chèvre, Dim sum aux crevettes shiitakés grillés, le sanglier braisé salade pomme granny et piment vert, ou le saumon au four.
la formule du déjeuner à 20 € pour le plat du jour, un verre de vin et un café. A la carte, compter de 25 à 35€.
17, rue Brochant - 75017 Paris
Tel : [phone]

Grand chef : Christian Constant

139, Rue Saint-Dominique, Paris, VIIe arrondissement. Au 131, Les Fables de la Fontaine, au 135, Le Violon d'Ingres et Les Cocottes et au 139, le Café Constant. Quatre restaurants signés Christian Constant (l'ancien chef du Crillon, 2 étoiles Michelin, de 1988 à 1996), quatre concepts, quatre raisons de fréquenter ce même pâté de maisons et de manger "Constant" quelle que soit son envie.

Le Café Constant est sa deuxième adresse dans la rue. Il a racheté ce rade avec sa femme Catherine en juillet 2003 pour y servir une cuisine de bistrot inspirée par sa grand-mère. A l'intérieur, la salle du bas toute en longueur est bordée par un comptoir où peuvent s'attabler les clients pressés. Sinon, dans la salle et à l'étage de petites tables de bistrot en bois accueillent les fidèles. (Conseil, préférez la salle du bas, encore dans son jus, qui a plus de charme que celle du haut, question de goût). 
La clientèle ? Classique, chic et discrète, des habitués au bon goût, des flâneurs qui ne sont pas là par hasard, des gourmands tout simplement. Très VIIe finalement... 

Sur l'ardoise : Ravioli de homard bleu, Tartare de saumon et huîtres relevés au gingembre, Velouté de potiron à l'huile de truffe et émiettés de châtaignes, Volaille de Bresse rôtie au beurre d'herbes, Entrecôte cuite à la plancha... Difficile de faire son choix, tout fait envie. Les entrées sont à 11 euros, les plats à 15 (avec quelques suppléments) et les desserts à 7 euros. Au déjeuner, la formule à 16 (entrée, plat ou plat, dessert) ou 23 euros (entrée, plat et dessert) change tous les jours (Salade de pommes de terre et harengs fumés, Thon à la plancha et aux épices, Tarte à la banane), une vraie aubaine.

Côté vins, les tarifs sont raisonnables (verres à partir de 3,50 euros), avec une petite sélection de bouteilles agréables comme la cuvée Trinch ! de chez Catherine et Pierre Breton (AOC Bourgueil). 

Chef : Eduardo Jacinto.

Chat avec François Simon

Quel est votre meilleur souvenir de critique gastronomique ? A Toulouse, une truffe à la croque au sel, chez Vanel, avec un verre de montée de tonnerre.

Comment êtes-vous devenu critique gastronomique ? Par accident. Je voulais écrire sur le rock, aspirer de la coke et rencontrer des filles vénéneuses.

Quel est votre resto préféré à Paris ? A Paris, le Paul Bert (18, rue Paul Bert 75000 XIème, 01 43 72 24 01)

Quel est pour vous le meilleur restaurateur en France ? Et au monde ? Fulvio Pierangelini à San Vincenzo et Nakamura san à Osaka.

Le meilleur rapport qualité-prix de Paris ? Les Pâtes Vivantes (46, rue du Faubourg Montmartre 75000 IXème, 01 45 23 10 21)

Quel est votre meilleur souvenir gastronomique en Belgique ? Van Hof.

La meilleure pizzeria toujours sur Paris ?
Bistrot Napolitain (18, avenue Franklin Roosevelt 75000 VIIIème, 01 45 62 08 37) , Sale e Pepe...

Vos adresses jap rue Sainte Anne ?
Bizan (56, rue Sainte Anne 75000 IIème, 01 42 96 67 76) , Korin (58 bis, rue Sainte Anne 75000 IIème, 01 40 20 49 93)

Vous avez un resto sur Paris pas trop cher et excellent ?
L'Epigramme 9, rue Eperon 75000 VIème, 01 44 41 00 09, Itinéraires (5, rue de Pontoise 75000 Vème, 01 46 33 60 11. Sylvain Sendra, ex-chef du Temps au Temps de la rue Paul Bert dans le XIe, s'est installé au printemps 2008 dans cette rue à deux pas de la Seine. A peine ouvert, il vient de se voir remettre le Trophée Jacquart de l'Etoile Montante de la Gastronomie.)

Où manger un excellent tartare de bœuf ?
Près de Roanne, Iguérande, le nouveau Troisgros (La Colline du Colombier est une auberge qui a été reprise par la Maison Troisgros, 3 étoiles Michelin à Roanne, Colombier 71340 Iguerande, 03 85 84 07 24)

Alors le boeuf de Kobe, y tue ?
Hai ! C'est à tomber à la renverse. J'ai même mangé du cochon élevé au vin de Kochu

http://francoissimon.typepad.fr/

Pierre Gagnaire, 3* au Michelin

Hôtel préféré : Le Domaine de Murtoli, Corse

Restaurant favori : Le Hartza à Pampelune, Espagne

Musée fétiche : Le Mori Arts Center, Tokyo

Gallerie d'art : La gallerie Lelong, Paris

2 nouveaux restaurants ouverts à Dubaï et à Séoul.

Le carnet d'adresses de Trish Deseine

Foie gras 
En terrine : Fauchon. www.fauchon.com

Cru : Picard. www.picard.fr

Chez le producteur : Jeanine Ojezik, 24330 Milhac d'Auberoche. Tel : [phone]  

Champagne
Classique : Ruinart, régulier dans la qualité. Tel lecteurs: 03 26 77 51 51.

A découvrir : Jacques Selosse à La grande épicerie du Bon Marché. www.lagrandeepicerie.fr

Chez le producteur : Vouette et Sorbée, 8 rue de Vaux 10110 Buxières-sur-Arce. Tel : [phone].  

Truffe
Chez le producteur : La truffière de la Bergerie. Hugues Martin, Bressac 24 510 Sainte foy de Longas. Http://truffiere.bressac.free.fr

 

Must-have : Coffret "Goûts de luxe" aux éditions Marabout

Sushi Candies

(Smile !)

Wagyu Hot Spot : Manhattan Grill, Grand Hyatt, Dubaï

Décidément, la chaîne d'hôtel Hyatt semble spécialisée dans le deal de wagyu : le grill de son établissement de Dubaï propose une espèce de tataki de boeuf particulièrement bien présenté, et qui a vraiment l'air appétissant.

(J'ai faim !)

 

Wagyu Hot Spot : Cin Cin Dubaï

Situé au Fairmont de Dubaï, ce bar à vins nominé aux Awards 2008 du Time Out a une des meilleures caves de la ville, mais surtout, on peut y manger des mini burgers de wagyu, paraît-il mémorables. Espérons toutefois que le boeuf ne soit pas hâché comme le faisait le chef du Black Calavados, ce qui est vraiment un sacrilège. Le Cin Cin sert également une pièce de boeuf servie sur un plateau en verre sur lequel est présenté un morceau nature, un morceau couvert de fromage et un morceau surmonté d'une tranche de foie gras. Le tempura de crabe est, selon le Time out, excellent, ainsi que les plats au caviar.

(Tchin Tchin)

 

Desperately seeking Wagyu beef

Je suis totalement désespérée. Je me faisais une joie de manger une bonne pièce de boeuf de Kobé à Bruxelles ce week-end, où quelques restaurants parvenaient à s'approvisionner : hélas, c'est également devenu une denrée rare chez nos amis belges ! De plus, le seul endroit que j'avais repéré, le restaurant Yoma, qui proposait du wagyu sauce ponzu, vient de fermer ses portes... Aargh ! A Paris, 2 spots : Les Orchidées au Hyatt, en semaine, et le Murano, étaient jusqu'à présent les seuls endroits où on pouvait encore en trouver, mais je n'ai pas vérifié si cette info était encore valable à ce jour ; à Londres, on peut s'en procurer chez Harrod's, au Nobu, à l'Asia de Cuba ; sinon, il faut changer de continent (USA, Australie, Nouvelle-Zélande, Asie) pour s'en faire un rail. N'en ayant pas mangé depuis Novembre 2007, lors de mon séjour à Hong-Kong, je sens que je vais convulser très bientôt, le boeuf de Coutancie n'ayant eu aucun effet de substitution sur mon organisme.

Afin de programmer mes prochaines destinations de villégiature, je vais donc continuer à recenser les wagyu spots.

(Kobe Bryant)