02/08/2007
Les griffes de jade
01:39 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Le secret des poignards volants
01:25 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
01/08/2007
Secrets de famille
00:24 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
27/07/2007
Le voyage en Arménie
Profité d'être clouée au lit ce matin pour regarder ce long métrage de Robert Guédiguian, avec ses trois acteurs fétiches : Ariane Ascaride, Jean-Pierre Darroussin et Gérard Meylan. Trio sympathique que je retrouve pour la quatrième fois, après "Marius et Jeannette" (1997), "Marie-Jo et ses deux amours" (2002), et "Mon père est ingénieur" (2004). Cet opus raconte le voyage initiatique d'Anna, sur les traces de son père arménien, Barsam, qui s'est enfui dans son pays d'origine où il souhaite finir ses jours, après avoir pris soin de laisser derrière lui des indices lui permettant de le retrouver.
L'émotion était au rendez-vous, avec la pudeur et le réalisme qui caractérise le réalisateur renouant avec ses racines et quittant, à l'instar de Barsam, sa ville fétiche et terre d'accueil que représente Marseille, le temps d'un film.
11:45 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
22/07/2007
Les filles du botaniste
Admiré cet après-midi la splendide actrice eurasienne Mylène Jampanoï (dans ce film aux paysages envoûtants se situant dans la Chine des années 80, mais tourné au Vietnam.
Un film contemplatif, d'une sensualité douce et sulfureuse, dont les images raffinées et sophistiquées font la part belle à la poésie.
("L" world)
Lien : http://kittyfraise.spaces.live.com/blog/cns!8DDA96DBDAE30...
23:10 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
18/07/2007
Touchdown !
Compris hier les règles du football américain après avoir regardé "Mi-temps au mitard", avec mon acteur comique US préféré, Adam Sandler.
A savoir : le ballon mesure exactement un foot (un pied, 30 cm) d'où le nom de football. Les deux équipes s'affrontent sur un terrain de 100 yards (91 mètres), divisés en 12 zones dont deux Zones d'extrêmité, utilisées avec les buts pour marquer les points. D'une durée officielle d'une heure, une partie peut aller jusqu'à 2h30 à cause des nombreux arrêts de jeu. Une équipe est composée de groupes d'attaque, de défense, et d'un groupe spécial.
Le groupe d'attaque : il comprend un quaterback, chargé de passer la balle à un runningback ou a un wide receiver. Viennent ensuite les joueurs on the line, chargés de protéger le quaterback et l'aider à percer les défenses adverses. Le groupe de défense est composé de defensive backs et de linebackers, chargés d'intercepter les passes, et de defensive lines, au front contre la ligne offensive adverse. L'équipe spéciale intervient seulement pour les coups d'envoi: le kicker tente de faire passer la balle dans les buts, et le punter envoie le ballon aussi loin qu'il le peut.
Comment marquer ? Par le touchdown (6 points) un joueur arrive jusqu'à la zone d'extrêmité adverse. Le Field Goal (3 pts) : on envoie la balle dans les but adverses. Safety (2 points) : on plaque l'adversaire dans sa zone d'extrêmité. Pour marquer un touchdown, il est necessaire d'avancer d'au moins 10 yards. Ceci étant assez rare, l'équipe a 4 essais. Si elle n'a pas atteint dix yards en 4 tentatives, le ballon revient au camp adverse, d'où les nombreuses interruptions de jeu.
Ce film est le remake de "Plein la gueule (The longest yard)", avec Burt Reynolds (qui fait partie du nouveau casting), et que je n'ai jamais vu ; en revanche, je connaissais la version british et foot traditionnel de 2002 intitulée "Mean machine", avec le troooop sexy Jason Statham (rhaa lovely), que j'avais adoré (dans le genre et avec pas mal d'acteurs des films de Guy Ritchie).
(Pas footeuse du tout, mais ne cracherait pas sur un footballeur avec le physique et le compte en banque de Beckham, l'air niais en moins)
00:30 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
16/07/2007
L'exorcisme d'Emily Rose
Beaucoup apprécié ce film tiré d'une histoire vraie, interprété par Jennifer Carpenter (la soeur de Dexter !!) et Laura Linney ("Les chroniques de San Francisco") : pas d'abus d'effets spéciaux et une vraie réflexion sur l'existence du mal, sur les croyances spirituelles. Est ici défendue la théorie selon laquelle la prise d'un neuroleptique fait échec à l'exorcisme car handicape les forces de l'esprit. Ce qui me semble parfaitement plausible dans la mesure où l'esprit crée toute sortes de choses et de situations, et peut les défaire, à condition de se souvenir de la formule initiale. Si la personne crée une situation surnaturelle d'extériorisation de ce qui incarne pour elle le mal, au regard de sa propre culture et de ses croyances personnelles, elle ne peut les détruire si sa pensée est entravée.
(Quel enseignement dois-je tirer de tout cela, en tant que petite-fille d'exorciste et avocat ??? Que je suis un archétype parfait d'ange démoniaque ???)
01:30 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook
13/07/2007
Star Wars returns
Les fans vont être HEU-REUX ! Le chapitre 7 de la plus célèbre saga de la galaxie arrivera sur les écrans au printemps 2008 ! Intitulé "Le pouvoir de la force", cette suite se présente sous forme d'une animation en images de synthèse.
Bande annonce sur MSN :
http://video.fr.msn.com/v/fr-fr/v.htm?g=9dbd7454-2ce8-446...=
(May the force be with you today and always)
10:10 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
03/07/2007
Walk the line
Vraiment badé Joaquin Phoenix dans cette biographie du chanteur Johnny Cash et de sa compagne June Carter/Reese Witherspoon dont le menton m'insupporte (trop long). Moi qui déteste la country, j'ai dû me frapper tout le répertoire du couple tout au long d'un film qui a quand même obtenu le Golden Globe Award du meilleur film, du meilleur acteur et de la meilleure actrice. Et même si la reconstitution des années 50 et 60 était parfaitement maitrisée, j'avais l'impression de revoir "Ray", d'autant plus que les deux hommes étaient tous deux hantés par le décès brutal et prématuré de leur frère, traumatisme sans doute à l'origine de leur toxicomanie : une oeuvre cinématographique de facture classique, qu'on regarde juste pour s'enrichir culturellement, sans plus.
(La ballade de Johnny Jane June)
18:40 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook