16/02/2008
Toi, moi et Dupree
Adoré cette comédie fabuleusement interprétée par Owen Wilson, complètement craquant et tellement attachant dans ce rôle de buddy ado attardé et doux dingue, qui vient squatter la maison de son meilleur pote, Carl (Matt Dillon), alors qu'il vient tout juste de se marier avec Molly (Kate Hudson). Le personnage de Randolph Duprée est vraiment riche, et très drôle, et ce qui est surprenant dans ce film, c'est que l'humour est fin alors qu'on pourrait trouver les gags lourds et convenus. Ca m'a rappelé l'ambiance des films d'Adam Sandler. J'aurais adoré le bouquin de développement personnel de Duprée.
A voir absolument.
(Kittytude)
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14/02/2008
Aviator
Trouvé plutôt chiante cette biographie de l'excentrique Howard Hughes, bien que magnifiquement réalisée et interprétée avec talent par Leonardo Di Caprio (dont le physique m'horripile). Comme le disent plusieurs critiques, ce film a du mal à décoller... Cate Blanchett et Kate Beckinsale ne rendaient pas du tout hommage à Katherine Hepburn, et encore moins à la splendide Ava Gardner ; en dépit de tous leurs efforts, à aucun moment on n'est plongé dans l'illusion. Même le beau Jude Law ne parvient pas à incarner Errol Flynn...
Seules les scènes décrivant le personnage de Hughes, en proie à ses psychoses, ses T.O.C, voire ses hallucinations, sont spectaculaires. Le reste est d'un tel clacissisme qu'on s'ennuie à mourir jusqu'à la fin.
(Le gros n'avion)
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11/02/2008
Ne le dis à personne
Fini par trouver le temps de regarder l'adaptation par Guillaume Canet du best-seller d'Harlan Coben : excellent jeu d'acteurs, beaucoup d'émotion à travers l'histoire de cet homme qui n'a jamais accepté la mort de sa femme, et qui la retrouve au terme d'un jeu sanglant de pistes. Dommage que la réalisation soit un peu confuse.
J'imagine que la transposition française d'un roman américain était loin d'être aisée, mais Canet s'en sort bien et dirige avec beaucoup d'inspiration un François Cluzet qui a sans doute puisé dans sa propre douleur pour exprimer le chagrin causé par le décès brutal de la femme aimée ; un François Berléand aussi facétieux que dans "Mon idole", une Kristin Scott Thomas, aussi élégante qu'à l'aise dans ce nouveau rôle, un André Dussolier habitué aux personnages complexes de polar ("Fréquence meurtre"). Enfin, un Jean Rochefort, monstre sacré du cinéma français, incarnant le diable en costume trois pièces et féru d'équitation.
Une petite relecture de l'histoire originale me rafraîchirait la mémoire car je ne me souviens plus du tout les raisons de la disparition d'Elizabeth Beck. (Pédiatre, David Beck exerce dans une clinique pour le compte de Medicaid, structure sociale qui prend en charge les pauvres sans couverture sociale. Il aime son métier et l'exerce avec passion. Mais sa vie a été brisée lorsque son épouse, Elizabeth, qu'il connaissait depuis l'enfance, fut assassinée par un tueur sadique qui marquait ses victimes au fer rouge. Huit ans après ce drame, il reçoit un étrange e-mail codé dont la clé n'était connue que de lui-même et d'Elizabeth. Abasourdi, David essaie de se souvenir des détails qui entourèrent l'assassinat de sa femme, dont le propre père, officier de police, identifia formellement le corps. Impatient, il guette le prochain message qui lui donne rendez-vous le lendemain. En cliquant sur un lien hypertexte, il découvre alors le site d'une caméra de surveillance de rue et dans la foule, il voit, stupéfait, passer Elizabeth qui le regarde en articulant "Pardon, je t'aime"…)
Un film à voir, même s'il est difficile de faire abstraction de ce que l'on a imaginé au cours de notre lecture.
(You've got an email)
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L'âge de glace 2
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08/02/2008
Le grand appartement
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27/01/2008
Madame Irma
Retrouvé avec plaisir Pascal Légitimus et Didier Bourdon dans cette comédie sentimentale réalisée par ce dernier : l'humour est au rendez-vous, malgré un scénario assez pataud qui est sauvé par la prestation juste de l'ex-Inconnu dont le travestissement n'est pas sans rappeler celui de Tootsie ou Madame Doubtfire. Pas grand chose d'original, donc mais, le talent des comédiens est suffisant pour que l'on passe un bon moment.
(Extra lucidité)
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11/01/2008
Le Concile de Pierre
Aimé cette adaptation très esthétique et très angoissante du roman de Jean-Christophe Grangé, qui est la troisième après "Les rivières pourpres" et "L'empire des loups". Monica Bellucci y trouve un rôle qui sort de son registre habituel puisque son personnage est aussi austère que sa coupe de cheveux et que les paysages de Mongolie, néanmoins magnifiques et empreints de mystère. Une Catherine Deneuve glaciale interprète à la perfection le rôle du suppôt de Satan, j'ai lu dans allocine.fr que Grangé avait écrit une BD intitulée "La malédiction de Zener", sorte de préquel racontant la vie de Sybille Weber : à lire, ainsi que le roman original, pour les fans de polar fantastico-ésotérique.
(Style Concile)
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07/01/2008
The Holiday
Ne pouvais pas rater une occasion de voir Jude Law crever l'écran dans le rôle du plus séduisant des veufs et papas poules : malheureusement, son duo avec Cameron Diaz, qu'on a envie de gifler durant tout le film, ne fonctionne pas - et Dieu sait que je suis pourtant bon public ! On préfèrera de loin l'alchimie qui se crée entre Kate Winslet et l'excellent Jack Black. Dans le rayon des beaux gosses, la petite apparition du trop craquant Edward Burns est évidemment un autre ravissement pour les yeux.
Un film tout juste utile pour meubler un dimanche après-midi pluvieux.
(Hey Jude)
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04/01/2008
Miami Vice
Regardé aujourd'hui l'adaptation cinématographique de la série des années 80 : si Jamie Fox est beaucoup mieux que le Ricardo Tubbs original , Colin Farrel, affublé d'une moustache grotesque qui ferait fuir n'importe quelle femme de la planète, est loin d'égaler l'inoubliable Don Johnson, sex-symbol de l'époque. A se demander comment il fait pour séduire la splendide Gong Li, dans le rôle de la vénéneuse Isabella, beauté froide dont la présence réchauffe paradoxalement le film. Alors que l'intrigue basée sur l'infiltration des deux flics au sein d'un cartel de la drogue, était intéressante, la réalisation est totalement confuse, ce qui est vraiment dommage. Mon côté fleur bleue aurait évidemment espéré un happy end à la love story de Sonny Crockett, eh bien non, la belle Isabella aux yeux bridés est tout bonnement raccompagnée chez elle à Cuba, sans autre explication. Moi, à sa place, j'aurais profité de mes comptes en Suisse pour devenir une honnête femme, j'aurais demandé à Sonny de se raser la moustache et je serais repartie faire du shopping en off-shore.
(Deux flics amis-amis : tribute to Bruno Carette de Les Nuls)
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