06/05/2007
Fashion religien
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Tokyo Cube
Eté chez le coiffeur cet après-midi : comme d'habitude, un vrai moment de bonheur avec Mitsou et Delphine, dans leur salon à la fois hyper hype, hyper zen, et hyper pro. Comme si Colette avait ouvert un corner "Hairdress" façon Toni & Guy, en moins superficiel et plus lounge.
Je suis sortie de là revivifiée, ce n'était pas du luxe (grosse angine avec fièvre depuis hier).
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05/05/2007
Kate Moss for Topshop
Pas regretté de ne pas avoir été à Londres le 1er Mai, ou même chez Colette à Paris le 2, pour la sortie de la collection Kate Moss for Topshop : c'était l'émeute, on ne pouvait pas acheter plus de 5 articles, les clientes avaient 20 minutes montre en main pour essayer les articles. Bref, j'étais beaucoup mieux devant mon écran, tranquillement à la maison pour faire mes achats.
Bilan de la journée de shopping à Topshop version Ebay :
- 2 T-shirts K
- 1 ceinture
- 1 gilet brodé "old coins"
En attente de paiement Paypal (ça n'a toujours pas marché aujourd'hui, damned) :
- 1 veste de tailleur striped
- 1 paire de spartiates dorée
Notre Kate Moss internationale a fait une apparition éclair dans la vitrine de la boutique d'Oxford Street, en robe de soirée rouge, au grand émoi de ses fans qui se sont entretuées pour décrocher un article à leur taille. Moi je dis : vive Ebay.
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04/05/2007
Sens et symbole
Récupéré dans mon ancien blog (réactivé aujourd'hui sous réserve que je retire une énième fois des photos jugées litigieuses que j'avais pourtant déjà effacées - c'est à devenir dingue) cet article très intéressant sur les rondeurs et les formes : pour que toutes les Bridget Jones comprennent comment booster son mental pour maigrir naturellement et intelligemment (évitons de faire les blondes, merci). Rappel à l'ordre pour moi en vue d'avoir une plus jolie silhouette dans mon slim rouge. (sinon, faudra que je m'achète un Lords Richard sur internet, quand mon compte Paypal se décidera à refonctionner).
Vous n’avez pas le corps que vous souhaitez, mais vous avez le corps dont vous avez besoin. Essayez de comprendre votre besoin et votre corps n’aura peut-être plus besoin de le porter dans ses formes.
Ceux qui ont tendance à fuir seront plutôt maigres.
Ceux qui se protègent auront tendance à être gros.
La graisse sert à protéger du froid et à accumuler des réserves de calories. Les peuples vivant dans les pays froids comme les Inuits accumulaient de la graisse pour se protéger du froid. De plus, ils stockaient en été des calories qu’ils pouvaient utiliser en hiver. Obèses en automne, ils étaient minces à la fin de l’hiver. Les animaux utilisent la même méthode.
La graisse stocke aussi en plus d’une réserve de calories, une forme de potentiel de nous-mêmes qui n’a pas encore pu s’accomplir.
Enfin, dans le même esprit, elle stocke les hormones. “ Hormao “ veut dire j’anime, je mets en forme. Elle stocke un potentiel et le moyen de sa réalisation.
Enfin, au niveau interne, la graisse est en partie à la base des systèmes de défense et une matière première de fabrication des anticorps.
En résumé, la graisse protège les zones faibles, stocke des réserves et des énergies potentielles et se prépare à contribuer à leur réalisation.
Encore un peu et vous allez aimer votre graisse.
La graisse sert à séduire. “ Lipos “ c’est la séduction. Dans la séduction ce qui est montré c’est ce qui est sensé attirer l’autre.
Chez la femme, c’est la fertilité. Une femme qui a des rondeurs dit à l’homme “ regarde ma capacité reproductrice et maternelle “. Dans la séduction, il y a une part de vérité et une part de leurre.
Chez les hommes, c’est plutôt la masse musculaire qui est repérée comme capacité à protéger et acquérir de la nourriture et du territoire. De nos jours, c’est la capacité à gagner de l’argent.
Dans chaque séduction, il y a du vrai et du faux. Mais le corps, lui, a tendance à ne montrer que la vérité. Comme dirait Jean-Jacques Goldman, “ on ne ment qu’avec des mots, mieux vaut, de loin, se fier aux apparences “.
La véritable illusion se fait à notre niveau. Entre nous et nous. Je mets du gras là où je me sens faible, là où la vie me fait peur, pour ne pas voir ou ne pas ressentir ce qui m’insécurise. Quand je mets du gras, d’un côté, je me protège et de l’autre, je m’illusionne. C’est un peu comme des enfants punis qui se mettent des coussins dans la culotte pour ne pas ressentir la fessée. Dans tous les cas, cela me permet d’affronter une réalité que je ne pourrais vivre telle quelle.
Dans la partie basse du corps nous aborderons :
- la taille qui représente la capacité d’engagement et de décision face au monde en accord avec soi.
- les hanches qui représentent le mariage, la famille et la maternité.
- les cuisses qui représentent la sécurité.
LA TAILLE EST L’ELEMENT CENTRAL : C’EST LE PRINCIPE DU CENTRAGE. MA POSITION PAR RAPPORT AU MONDE.
Ce point est plus visible pour les femmes que pour les hommes, car la taille féminine est naturellement marquée, mais le principe est le même.
Chez l’homme il n’y a pas rétrécissement au niveau de la taille, mais un maintien de la même largeur que celle des hanches.
La taille, c’est l’idée de la position au monde et à soi-même. Comment suis je par rapport au monde et par rapport à moi ?
Quand la taille est bien marquée, “ j’ai une idée précise de ma position, de ce que je veux faire et de ce que je suis “. Mes actes sont centrés et en accord avec moi-même, mes objectifs et l’objectivité des faits. Je suis en contact avec la réalité.
Le taille est gérée en acupuncture par le Dai Mai, “ vaisseau ceinture “. Ce méridien qui fait partie des “ Merveilleux vaisseaux “ est issu des méridiens du rein et de la vésicule biliaire.
Le rein, c’est l’identité profonde ou énergie ancestrale des Chinois : “qui je suis”. Le “va vers toi” de Dieu à Abraham . “Tu ceindras tes reins, tu mettras ta ceinture et tu prendras ton baton”. La ceinture, en resserrant la taille, aide à concentrer l’énergie et renforcer le choix.
“Va vers vers toi” veut dire : tu vas vers le monde, mais dans le monde c’est surtout toi que tu vas découvrir au travers de toutes tes découvertes.
La vésicule biliaire, c’est le maître intérieur, la connaissance de “qui je suis” et la façon dont je fais mes choix selon qui je suis. C’est le tonus du méridien vésicule biliaire qui fait la taille. Les Chinois appelaient les gens très décidés, des “ grandes vésicules biliaires “.
Résumons nous: “je prends une décision”: la Vésicule biliaire, sur la base de “qui je suis”: le Rein.
La taille, c’est la capacité à développer des objectifs personnels et à les mettre en acte.
UNE ABSENCE DE TAILLE LE SIGNIFIE QUE JE NE SUIS PAS CENTRÉ SUR MOI-MEME ET SUR MES OBJECTIFS PROPRES.
Il existe une situation où l’absence de taille chez une femme est physiologique: c’est bien sûr pendant la grossesse, car à ce moment-là la femme ne s’appartient plus complètement et participe dans une soumission naturelle et essentielle, à la création de la vie qui l’habite. Elle est davantage au service de la grossesse que de ses propres objectifs immédiats. Cet état se poursuit pendant toute la période de l’allaitement. La mère est alors dans “ sa préoccupation maternelle primaire “, tournée vers le service de cet enfant vulnérable. Ses dons sont au service de l’autre.
Puis à la fin de l’allaitement, la femme retrouve ses règles et sa taille. Elle peut alors se retourner vers de nouveaux objectifs individuels, de nouveaux désirs, de nouvelles décisions.
L’absence de taille renvoie à une existence qui n’est pas centrée sur ses propres objectifs de vie. Une difficulté à prendre ses décisions et à les prendre en fonction de soi.
L’absence simple de taille (sans gros ventre) montre une situation de difficulté à définir ses objectifs personnels.
Une petite fille n’a pas de taille : Elle peut rêver sa vie mais ne peut pas encore la mettre en acte. Il y a là une forme de manque de maturité. La taille apparaîtra progressivement avant et pendant la puberté.
L’absence de taille peut aussi être due à la présence de graisse. Certaines personne ont une taille qui est masquée par de la graisse.
Cette graisse peut être externe ou interne. Pour le savoir, contractez vos muscles et voyez si le volume est en dehors ou en dedans des muscles, voire les deux.
Les poignées d’amour
Les plus connues de ces zones sont les poignées d’amour, masses graisseuses latérales.
Zone de graisse de celui ou celle qui s’installe dans le couple, voire dans la dépendance. La situation des hommes quand leur femme les nourrit bien et qu’elle devient un peu leur maman. C’est une marque de stabilité du couple et une lutte contre l’abandon. Un côté “ les hommes ça se prend par les yeux et ça se garde par la bouche “. Ces poignées d’amour servent bien sûr à être tenues par l’autre par la taille. L’autre a notre décision entre ses mains par le bien qu’il nous fait. “ Pose tes mains sur mes hanches …et je te conduirai “. C’est aussi un hommage que rend le corps à la stabilité que lui donne le couple. Cette stabilité issue de l’amour essentiel. Hommage au “poids nié de l’amour “. Jeux de mot à sens multiples. Le bien que te fait l’autre, que tu le reconnaisses ou non.
La graisse sur la zone lombaire renvoie à une peur et à une sensation de faiblesse face à la vie. Une difficulté à se mettre en route. Un recul face à la décision. La graisse est une forme d’étai postérieur sur lequel s’appuyer pour démarrer.
Le petit ventre, ou “petit bedon “, zone de graisse entre l’ombilic et le pubis est une marque de féminité et de douceur. Une façon de maintenir en permanence le contact avec le ventre et donc les émotions de l’autre. Chez une femme, cette rondeur permet de se mouler sur les tablettes de chocolat de l’homme. La douceur s’harmonise avec la force. La graisse abdominale, quand elle est externe, est aussi une conscience que mes émotions sont sensibles et que je dois les protéger.
Inversement le ventre creux est une façon de dire “ tes émotions sont ton problème, je reste à distance “. Les ventres creux réagissent du tac au tac.
Toutes ces zones sont des zones de graisse externe.
Le gros ventre est de deux natures : de la graisse externe mais surtout de la graisse interne. Cette graisse se trouve autour des viscères, intestins, péritoine, etc. Les intestins sont le lieu de nos “ émotions viscérales “. On sait maintenant que nous avons dans le ventre un véritable cerveau émotionnel. C’est au niveau du ventre qu’est fabriquée la plus grande quantité de sérotonine, “ hormone de la sécurité “. Le gros ventre est une manière de “ mettre ses émotions à distance “, d’isoler ses émotions à l’intérieur de soi-même en les entourant de graisse. Un matelas entre soi et ses émotions. Ce n’est pas que ces émotions soient plus fortes que celles de celui qui a le ventre plat, mais il les ressent plus fortement, il s’en protège pour ne pas être complétement envahi.
La bouée abdominale est une graisse externe qui fait le tour de l’abdomen. Coquille de protection totale que je mets autour de moi. C’est une façon de nager en étant porté. Situation où je reste en dépendance vis-à-vis de la mère. La bouée abdominale est très liée à la relation à la mère, avec, de façon globale, une peur de vivre.
Il y a plusieurs aspects :
-Soit une mère possessive qui garde son enfant : Maman me tient, j’ai comme ses bras autour de ma taille. Je reste petit canard dans mon bassin avec ma bouée. Cette mère est parfois elle-même infantile.
- Soit une mère toxique. Une bouée de sauvetage face au danger de cette relation. Je suis enfermé dans les imaginations, voire les illusions de maman. Mes émotions sont vécues à travers le filtre de ses émotions. Ce vécu est dangereux et je dois m’en protéger. La bouée traduit le fait que je ne sais pas me détacher de cela même si cela m’est toxique.
Il y a souvent couplage des deux aspects. Ce type de morphologie se transmet de façon très héréditaire.
“ Les grand-mères “ du dessinateur faisant avec leur psychologie particulière, en sont un bel exemple.
LA TAILLE FINE OU TRES MARQUÉE. La taille de guêpe, ce sont des femmes très centrées sur leur prope désir avec en pratique un “ nombril “ très tourné vers elles-mêmes. Elles n’hésitent pas, au besoin, à prendre des risques. Ce sont des personnalités parfois fonceuses, avec souvent un grand sens pratique, mais toujours dans leur intérêt.
LA MÉDECINE étudie le rapport entre la circonférence à l’ombilic et la circonférence au niveau des fesses ( bitrochantérien ). Un rapport négatif ( gros ventre sur petites hanches ) est un facteur de risque de maladies cardiovasculaires et métaboliques. Ces maladies évoquent des difficultés émotionnelles importantes qui correspondent bien à ce que nous venons de décrire. Il est intéressant que la statistique rejoigne la symbolique.
Dans tous les cas, il est important que la taille soit plus fine, quelle que soit la taille des fesses.
LA TAILLE HAUTE OU BASSE.
Les femmes à taille hautes haute sont prudentes, ne se décident pas facilement et se marient ou s’engagent avec précaution.
Les femmes à taille basse agissent rapidement et se lancent parfois même sans réflexion. La pulsion dirige la décision. La mode des pantalons taille basse va dans ce sens. Le nombril est visible, et souvent même les sous-vêtements.
La taille délimite le haut et le bas du corps. Le rapport entre le ciel et la terre en médecine chinoise.
Voyons plus bas.
Nous devons distinguer plusieurs zones : la culotte de cheval et les hanches.
LA CULOTTE DE CHEVAL est une zone de graisse à la face externe des cuisses, le cauchemar des femmes. Elle se termine au niveau du Trochanter, l’os que vous sentez en touchant vos hanches en bas.
Cette zone de graisse a une fonction très spécifique qu’il faut bien comprendre : c’est une réserve que possèdent les femmes pour allaiter en cas de famine. Elle n’est mobilisable que dans ce cas. (en particulier sous l’action d’une hormone, la Leptine). Chez les femmes très maigres dans des zones de famine, on peut encore retrouver une petite lentille de graisse à ce niveau. C’est une “précaution pour la survie de l’espèce“ qui résiste à toutes les mesures. Elle est présente chez toutes les femmes, mais prend une importance de type “culotte de cheval“ que dans certains cas. On la retrouve chez des femmes qui ont vécu dans leur enfance la sensation d’être quelque part abandonnées ou pas suffisament nourries au physique et à l’affectif. Ces femmes développent “à titre préventif “ des réserves pour pouvoir ,“elles“, “nourrir“ leur enfant futur ou potentiel. C’est une réserve en contre - mesure préventive. Une forme d’adaptation de l’espèce pour la génération suivante. C’est aussi une manière de ne pas voir que la carence est en fait affective. Protéger la zone de son manque.
La culotte de cheval se trouve au niveau de la cuisse et du fémur “os du père” ( souvenez-vous de la cuisse de Jupiter ). C’est une façon de chercher dans son père symbolique et social, ce que la mère terrestre n’a pas donné. Beaucoup de femmes qui ont des culottes de cheval ont eu des carences de mère, sans avoir pu trouver de compensation chez le père. Le nom culotte de cheval est encore mieux trouvé quand on sait que le cheval est symbole du père.
AU DESSUS DU TROCHANTER, EN DESSOUS DE L’AILE ILIAQUE SE TROUVE LA FACE LATÉRALE DES HANCHES.
Cette zone correspond au mariage, au foyer et aux maternités. En Afrique, les hommes choisissent traditionnellement des femmes avec des hanches larges parce qu’ils savent qu’elles porteront bien leurs enfants. Cette zone protège latéralement le bassin. C’est la zone que la femme fait bouger dans le mouvement de déhanchement séducteur.
En arrière se trouvent les fesses avec leur galbe qui traduit l’appel sexuel. La cambrure vient encore augmenter ce signal. La cambrure se prolonge dans le bassin par ce que la médecine nomme le mouvement dit de “nutation “. C’est ce mouvement qui permet l’ouverture du bassin pour faciliter l’accouchement. Il est maximum en position accroupi cambré, position ancestrale optimale pour accoucher. Nous voyons ici que les appels sexuels se basent sur une connaissance intuitive héréditaire. Regarde mes fesses, je serai une bonne amante et une bonne mère.
Il faut aborder maintenant un point important: Certaines femmes ont un creux entre la culotte de cheval et les hanches, ce que je nommerai la barre trochantérienne. Cela donne un aspect assez dysharmonieux. Certains l’appelerons la barre du maillot de bain.
Dans la vie nous pouvons faire alliance entre notre peur de manquer et la solution qu’est le couple. Cela se traduit par une forme continue entre la cuisse et la hanche, qui donne le galbe parfait de la féminité. Certaines femmes vivent la peur de l’abandon sans réussir à faire le lien avec la possibilité de solution qui leur est donnée dans le couple et la rencontre de l’homme. Elles ont une barre trochantérienne.
Le trochanter peut aussi se dire “Troc en Terre” : Comment je troque sur terre mes aspirations contre une concrétisation de couple. Si je ne sais pas rentrer dans un troc - échange masculin féminin - alors j’aurai la barre trochantérienne qui traduira ce barrage. Avec mon manque qui reste bloqué dans ma cuisse et qui ne peut s’épanouir vers le haut, en nourissant le couple. C’est aussi le désir pour son père, accumulé par la petite fille ( dans l’oedipe ) qui va être la base de démarrage du couple. Le trochanter est sûrement une des zones qui traduit le succès de la sexualité au sens large.
Ce couple constitué dans cette courbe va pouvoir enfin se concrétiser par une décision de vie justement centrée, en arrivant à la taille.
LES MEMBRES INFÉRIEURS.
Regardons le bas du corps.
LA CELLULITE c’est la peur de perdre la maison. De perdre sa protection et sa sécurité. Parfois même dans le couple, la protection est plus importante que le reste, avec la possibilité de ne rester en couple que par peur de perdre la sécurité. Il y a là la nécessité de garder au moins un repère.
“ je serais capable de rester avec quelqu’un par peur de me retrouver seule et de perdre l’image sociale “.
La sécurité, la norme et l’image sociale peuvent être des idées imposées. Accepter de perdre cette idée conduit souvent à la perte de la cellulite.
Les grosses jambes sur toute la longueur peuvent correspondre à la notion de la sirène. C’est le prix à payer pour avoir voulu quitter son état de poisson dans la mer (mère) avant d’être prête.
C’est le mythe de la petite sirène prise dans les rets de la mère pieuvre, et qui n’a pas l’autorisation de quitter la mer. Elle doit échanger sa voix contre ses jambes : Je reste dans une situation fusionnelle indifférenciée où je n’ai pas droit à la parole.
La graisse au pli du genou peut traduire une difficulté à décider et à assumer le prix de sa décision face aux autres.
Il y a aussi risque de rancune liée au fait de ne pas avoir pu assumer ses choix, sa difficulté de passer à l’acte. La possibilité de donner des coups de pied de cheval.
Les gros mollets montrent un désir d’orgueil. Ou une force que l’on n’arrive pas à avoir spontanément.
La grosse cheville vient protéger un talon d’achille fragile, des bases qui ne supporteraient pas d’être fines de peur d’être fragiles.
LE HAUT DU CORPS.
La graisse au niveau de l’estomac est plutôt de type masculine. Une protection du plexus et des émotions. Des morceaux de la vie que l’on n’arrive pas à avaler. Un manque “ d’estomac “ face à la vie.
Les obésités du haut du corps sont plutôt masculines ou dites androïdes. L’obésité féminine ou gynoïde touche plutôt le bas du corps sous la taille.
Un bas de corps large avec un haut mince traduit une timidité avec peur d’avancer et besoin de sécurité. Le haut du corps mince traduit une grande vulnérabilité émotionnelle exposée et sans défense.
Le gras accumulé en haut montre une volonté de faire le poids, de ressembler aux légionnaires d’Astérix. Une façon de bomber le torse.
Les épaules épaisses montrent un désir de force pour pouvoir frapper.
Bras-biceps avec une masse importante de graisse: c’est le désir d’avoir la force de biceps, que l’on n’a justement pas. Le rêve d’être Popeye pour pouvoir éliminer tous les grands méchants et bêtes qui nous embètent.
L’avant-bras porte une notion de bouclier. C’est le lieu qui porte le bouclier.
Les mains potelées évoquent encore les bébés et l’innocence.
Les mains sèches : “qui voit ses veines voit ses peines” disait le vieux proverbe.
LE DOUBLE MENTON, double vie, double langage.
Dans le double menton, il y a plusieurs personnes, plusieurs vies, plusieurs façons de voir la vie ou de vivre la vie.
Alfred Hitchkock a un double voire triple menton. C’est un honnête homme, bon mari, très amoureux de sa femme. C’est aussi un cinéaste qui invente et met en scène des histoires angoissantes, complexes, tordues, des crimes, des escroqueries.
Il projette ainsi en dehors de lui une de ses vies et vit en famille son autre vie.
Je pense qu’il y a chez les gens qui ont un double menton, une façon de se protéger à la fois des autres et des leurs peurs. La sensation que l’on ne pourrait pas être tout à la fois dans un même homme et une même personnalité sociale.
La gorge est aussi la zone des peurs avec les angines.
C’est la zone des points dits “ fenêtre du ciel “ pour les Chinois. Ce sont les points qui relient chez l’homme, l’aspect matière humaine à l’aspect psychique spirituel. On les pique en acupuncture quand on pense qu’il y a une forte participation psychique à une maladie.
Le double menton donne une forme de réserve bonhomme derrière laquelle on peut cacher beaucoup de choses, avec parfois un aspect timide et réservé.
Y a-t-il chez les personnalités à double menton la sensation que tout son être ne peut être mis dans la même personne ? Tout le monde n’est pas Hitchkock, mais peut-être que tous les double-mentons ont une forme de vie multiple.
J’ai connu plusieurs personnes avec double-mentons qui avaient vraiment une double vie. Parfois cette double vie n’est qu’imaginaire.
Parfois, il n’y a que la peur que ces différentes vies puissent être montrées. Peur d’être jugé, observé, condamné.
LES PETITES TUMEURS GRAISSEUSES “ LIPOMES “.
Sont des petits chagrins parfois rancunes, que nous n’avons pu digérer. Le lipome en est la mémoire ou le sanctuaire. Ce sont aussi parfois des peurs imaginaires qui, au lieu d’être sur des endroits spécifiques en rapport avec la physiologie du corps comme je les ai décrits, sont un peu partout et n’importe où car totalement en dehors du réel.
LA GRAISSE EST PRÉSENTE À TITRE D’ANTICIPATION.
Vous mettez la graisse là où vous vous sentez faible, là où vous appréhendez d’être en difficulté. Vous le faites par anticipation, avant que cela n’arrive et vous le faites par peur de ce que vous craignez, plus que de ce qui est.
Au fur et à mesure de votre vie, votre corps tire les leçons de votre expérience et adapte votre forme pour ce qu’il pense devoir prévoir pour le futur.
Avec les graisses, nous sommes aussi beaucoup dans l’illusion.
Vous pouvez commencer mince et grossir selon les expériences ou inversement.
Chaque peur qui tombe peut faire disparaître une couche de graisse.
Le poids est souvent une notion de “ Au cas où “.
Le petit enfant à la naissance est mince car in utero, il est nourri par sa mère. Une obésité dès la naissance peut déjà traduire une niveau élevé de stress.
Puis, rapidement après la naissance, l’enfant va prendre du poids pour se protéger. Il n’a en effet aucun moyen de fuir et ne peut que choisir l’option de se protéger. Il deviendra bon gros bébé et au maximum “ petit bouddha “. Dans ces situations, on peut se demander quel besoin a l’enfant de se protéger et si la vie ne lui est pas présentée comme dangereuse.
Puis en grandissant, l’enfant aura besoin de s’alléger au fur et à mesure de la confiance qu’il va prendre en lui.
Il va alors pouvoir se produire un conflit sur l’alimentation. Bébé aura besoin de moins manger pour s’alléger et partir à la découverte du monde. Maman aura besoin qu’il “ mange bien “ pour être rassurée. C’est un premier divorce mère-enfant.
Plus la mère est anxieuse, plus l’enfant aura tendance à être grassouillet (ce qui rassure la mère), plus elle vivra mal qu’il mange peu quand il a besoin de s’autonomiser. Cercle vicieux.
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Heroïc Fantasy, l'histoire continue
Dévoré dans la foulée le second volume de la saga, "Les Portes de la Création".
DANS LE LABYRINTHE DES UNIVERS
Une tornade hurlante s'empara de lui. Des ténèbres aveugles l'environnaient.
Il se sentit écartelé par des mains géantes.
Tout cela l'espace d'un étourdissant éclair.
Il avait de l'herbe à ses pieds. Au loin se découpait une végétation géante contre le rouge du ciel. Derrière lui était la mer, bleue.
Le ciel était uniformément lumineux, sans qu'aucun soleil fût visible.
Quelqu'un toussa derrière lui et il fit brusquement volte-face, vibreur au poing.
L'animal qui venait d'émerger se trouvait seulement à quelques mètres de lui. Il était accroupi à la manière d'un crapaud sur d'énormes pattes rondes et molles aux larges extrémités palmées.
Le cou était long et souple et surmonté d'une tête humaine. Mais le nez était plat et percé de deux fentes étroites. Des excroissances de chair rouge pendaient aux coins de la bouche. Les yeux étaient grands et verts.
Le crâne était couvert, comme le reste du corps, d'une fourrure bleu foncé à l'aspect huileux.
« Jadawin ! » dit la créature. « Jadawin ! Ne reconnais-tu pas ton propre frère ? »
Quel but démoniaque peut donc bien poursuivre Urizen, le Seigneur des Seigneurs, avec le rapt de Chryséis, la femme de son septième fils, Jadawin ? Jalousie, vengeance, représailles, guet-apens ? A la recherche de sa bien-aimée, Jadawin franchira les "portes" des mondes animaux, végétaux ou minéraux et découvrira bientôt tout ce qui le sépare de ses frères, les enfants d'Urizen. Car, à leur différence, Jadawin a connu la Terre, avec ses surpises et ses délices. Et c'est, comme Ulysse, un homme aux mille tours qui va affronter les pièges tendus par Urizen. D'ailleurs, le Dieu du Mal n'est-il pas désormais lassé de tout, même d'être immortel ?
Index thématique de l'univers des hommes-dieux, pour mieux comprendre l'univers de Thoan
Le Pandoogaluz d'Urizen :
" Tournoyante, elle flotta jusqu'au pied de son lit, au-dessus duquel elle s'immobilisa. C'était un pandoogaluz, un antique symbole de la religion à laquelle les Seigneurs avaient cessé de croire. En son centre brillait une lueur blanche. De chacune de ses six branches irradiait un rayon de couleur différente : rouge, orangé, azur, mauve, noir et jaune. Le coeur de l'étoile palpitait comme un soleil, et les rayons, tels des dards acérés, brûlaient ses paupières fermées. "
Le Pandoogaluz est un objet thoan rarissime dont les caractéristiques techniques n'est pas encore fournies. Il est pratiquement indécelable par les machines hyper sophistiquées thoannes dont regorgent les palais. Voisin d'un hologramme en apparence, il est toutefois capable d'agir sur les ondes électromagnétiques. La fonction du Pandoogaluz était à l'origine de pouvoir contacter un Seigneur d'un autre univers sans que celui-ci ne puisse se servir du messager pour retrouver " l'adresse " de l'émetteur. La transmission des données se fait par rayonnement électromagnétique de faible amplitude dans le cerveau du Thoan cible. Toutefois, certains vieux Thoans dont Urizen et Orc le Rouge ont amélioré le Pandoogaluz d'origine, le rendant susceptible de recevoir et de transmettre des informations. Quelques modèles sont même capables de véhiculer une porte thoanne. Néanmoins, plus des fonctions dites actives ; par opposition à la fonction passible qui consiste à émettre un message, seront utilisées, plus l'émetteur prendra le risque d'être repéré. Le Pandoogaluz est obligé d'emprunter une porte pour atteindre sa destination. Et chose extraordinaire, il est capable d'utiliser des portes à sens unique dans le sens habituellement interdit (ce qui a fait dire à de nombreux Thoans que le premier Pandoogaluz était l'oeuvre de Shambarimem). Toutefois, il ne peut véhiculer de porte à double sens, ni même de porte à sens unique ouvrable dans le sens utilisé par le Pandoogaluz pour se rendre à sa destination.
Exemple : Urizen le Maléfique expédie un Pandoogaluz dans le palais de Luvah, qui contient de nombreuses portes à sens unique. Le Pandoogaluz transporte une porte. Si la porte transportée peut permettre une ouverture dans le sens " Monde de Luvah vers Monde Urizen, elle ne peut en aucun cas s'ouvrir dans le sens " Monde d'Urizen vers Monde de Luvah ".
Le Pandoogaluz possède sept fonctions de base :
- l'émission d'un message vocal préenregistré.
- la transmission d'un message vocal du propriétaire du Pandoogaluz en direct.
- l'enregistrement d'une réponse.
- la réception d'un message vocal et sa transmission vers le propriétaire du Pandoogaluz en direct.
- l'hypnose.
- le transport d'une porte.
- l'ouverture d'une porte transportée.
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Heroïc Fantasy
Relu "Le faiseur d'univers", de Philip José Farmer, un roman découvert quand j'étais encore étudiante à Aix, je me souviens que c'était mon super pote Steph' dit "Tonton" ou "Uncle" qui m'avait conseillé de le lire et j'étais tombé complètement accro. J'ai reçu il a quelques semaines déjà le coffret réunissant tous les volumes de la saga des Hommes-Dieux (car depuis plusieurs années je ne parvenais pas à retrouver un des volumes, perdu au Tribunal un jour de longue attente, et je n'avais jamais lu les deux derniers volumes).
LA PORTE SUR UN AUTRE MONDE
Oserait-il l'ouvrir. Il était ridicule de rester ainsi pétrifié, comme privé de volonté ! Mais il était dans l'incapacité de bouger, il sursauta quand la trompe émit à nouveau ses sept notes plaintives. Le son lui parvenait à présent avec plus de force. Son coeur était un poing frappant à grands coups sa cage thoracique. Au prix d'un violent effort de volonté, il fit un pas en avant. Ses doigts agrippèrent la cannelure de cuivre et il poussa.
Les murs avaient disparu. Ils avaient cédé la place à un décor qu'il n'aurait pu imaginer. C'était comme une fenêtre ouverte par laquelle s'engouffrait la clarté du soleil. Des arbres qui ne pouvaient appartenir à la Terre bouchaient une partie du paysage. A travers les branches et les frondaisons, il appercevait un ciel d'un vert lumineux. Son regard s'abaissa vers le sol. Au pied d'un gigantesque rocher rouge et pailleté de quartz étaient massées six ou sept créatures de cauchemar...
Son odyssée commence de façon étrange, par l'apparition soudaine d'une ouverture au fond d'une vielle armoire, précédée d'une sonnerie de cor. A travers cette ouverture, Wolff aperçoit l'" incroyable ", une scène surréaliste dans un monde en apparence très différent de la Terre, un monde dont le ciel est d'un vert émeraude. Un homme rouquin et jovial, bien qu'encerclé par des humanoïdes d'apparence ignoble qui lui veulent visiblement du mal, le salue et lui envoie un objet bizarre, une sorte de trompe faite d'un métal inconnu, assez léger. Puis, l'ouverture se referme.
La trompe apporte à Wolff deux certitudes. La première et non la moindre concerne sa santé mentale. Il n'a pas bu et ne souffre pas d'hallucinations, la présence de cet objet le prouve. Ensuite, Wolff est à présent persuadé qu'un monde parallèle existe et qu'il peut y accéder grâce à l'étrange instrument de musique. N'étant pas homme à laisser passer une telle occasion, il ne tarde pas à passer dans cet autre univers. Un monde étrange l'attend, peuplé de créatures issues de la mythologie grecque, ce qui ne peut que ravir Wolff, fervent admirateur de la culture grecque antique. Toutes ces créatures sont jeunes physiquement, immortelles en âge, mais des milliers d'années dans un tel paradis, où tout n'est que jeu et plaisir, les a privées de volonté.
Il apprend rapidement que le monde est en fait une tour de Babel au sommet de laquelle habite celui qu'on nomme le Seigneur. Sous l'effet de l'eau de ce monde, Wolff rajeunit rapidement, jusqu'à retrouver un corps de 25 ans. Il finit néanmoins par se lasser de cette atmosphère un peu trop oisive jusqu'à ce qu'il rencontre une magnifique dryade appelée Chryséis. Le danger ne tarde alors pas à les rattraper. Les Gworls, ces êtres infâmes qu'il avait déjà aperçus auprès du rouquin et les Yeux du Seigneurs, des corbeaux intelligents, leur donnent la chasse. Les Gworls parviennent à s'emparer de la trompe et à capturer Chryséis. Wolff, laissé pour mort, est finalement sauvé par un zébrille, être simiesque au pelage rayé.
Le Terrien décide de gravir la gigantesque montagne menant à l'étage supérieur à la poursuite des ravisseurs. Avant qu'il n'ait pu accéder au deuxième étage de ce monde, il se retrouve prisonnier de gigantesques aigles géants intelligents et de leur reine, la démente harpie nommée Podarge. Il retrouve là Kickaha, le rouquin qui lui a lancé la trompe, prisonnier également de Podarge. La reine-harpie est prête à tout pour mettre à bas le Seigneur Arwoor, un usurpateur remplaçant Jadawin, créateur du Monde à Etages. Podarge hait intensément tous les Seigneurs pour lui avoir donné ce corps monstrueux, elle qui jadis était une femme magnifique. C'est pourquoi elle accepte de conclure un pacte avec les deux hommes pour l'aider à vaincre Arwoor.
Dès lors, Kickaha et Wolff vont affronter l'escalade vers les plateaux d'Amérindia, le préféré de Kickaha, puis de Dracheland et enfin d'Atlantide. Tout au long de leur pérégrinations, ils ne cessent de se chercher de nouveaux alliés et de faire face à de multiples dangers, dont les redoutables Hommes-Chevaux d'Amérindia et les furieux orages du plateau atlantéen. Ils parviennent à libérer Chryséis et finalement, une gigantesque armée, portée par les aigles de Podarge, s'envole vers le palais du Seigneur, sur le toit du monde. Après une intense bataille dont ses alliés et lui sortent vainqueurs, Wolff apprend avec stupeur qu'il n'est autre que Jadawin, véritable Seigneur du Monde à Etages, rendu amnésique à la suite d'un exil forcé sur la Terre. Il décide de réparer les horreurs qu'il avait pu commettre en tant que Seigneur et de ne plus imposer ses volontés aux mortels. Il laisse même à Arwoor une chance de s'enfuir. Mais Podarge rattrape le fugitif et le met à mort, tout en jurant qu'elle aura un jour la peau de Kickaha et Wolff qui lui ont menti sur leurs buts et leurs origines véritables.
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02/05/2007
That british police 70's show
Vu 2 nouveaux épisodes de "Life on Mars" après le nullissime "Incontrôlable". Je termine au moins la soirée sur un programme de qualité. Le suspense continue, cette série me fait penser à la fois à "Starsky et Hutch" version british, aux "Envahisseurs" et au "Prisonnier" pour l'ambiance bizarroïde. (Sam Tyler = David Vincent + Hutch ?)
Lien vers une animation très amusante parodiant la série : http://www.youtube.com/watch?v=Ixsc9POvY7E
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01/05/2007
Les enfants de la liberté
Lu dans le "Elle" que le nouveau roman de Marc Levy sortait le 4 Mai. L'écrivain y raconte son père, résistant.
Me suis connectée sur son site officiel où l'on peut découvrir la couverture et quelques phrases-clé : on reconnait bien le style très sentimental et frais de l'auteur, qu'on retrouvera avec plaisir.
23:39 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
J'ai faim !
Le film "Incontrôlable" était un tel navet que je me suis consolée en dégustant une andouillette de canard au Porto (pas vraiment régime, mais tant pis, le slim rouge attendra un peu).
Une recette très simple : on poêle l'andouillette avec des échalotes, des champignons de Paris et une poignée d'épinards, puis on déglace avec du jus de champignons et du Porto.
Enjoy.
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