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03/04/2009

Pensée du jour

petite-voix.jpgBeaucoup de petites choses dans la vie de tous les jours peuvent facilement causer la désunion et la disharmonie. Elevez-vous au-dessus d'elles et unissez-vous à ce qui est important dans la vie: votre amour pour Moi, votre amour les uns pour les autres, vivre et travailler pour le bien du tout, vous oublier vous-même ainsi que tous ces petits incidents mesquins concernant les goûts et dégoûts personnels qui se manifestent sans arrêt. C'est lorsqu'une âme a le fort sentiment que sa façon de faire est juste et refuse platement de céder d'une façon ou d'une autre, que tôt ou tard quelque chose doit casser. Quand tu étires un élastique jusqu'à sa limite, soit il se cassera, soit, si tu le lâches tout d'un coup, il reviendra brusquement et te fera mal. Mais si tu peux le laisser doucement aller, il se remettra en place sans casser ni causer de souffrance inutile. Pourquoi ne pas ouvrir ton cœur et calmer la tension doucement ? L'amour et la compréhension aideront toujours à aplanir le chemin.

Jour 33

sit and think e724b2895266ea9b56704cc33c73195c.jpgTravail du mois : Réfléchir à la vie

Voir la vie d'un autre oeil : J'écoute les conseils qu'on me donne

Un exercice pour s'assouplir :

Debout, tête haute et mains sur les hancs, je tourne la tête 10 fois dans un sens, 10 fois dans l'autre, sans forcer ni aller trop vite. Puis, de la même façon, je penche la tête en avant et en arrière 10 fois également. Une fois l'exercice fini, j'attend quelques secondes avant de bouger. Je refais ce mouvement dans la journée.

Instruction du jour :

Je reçois protection et assistance des gens qui m'entourent.

02/04/2009

Bombay Bobos

* Club Poison, abrité par le Hard Rock Café

olive Mahalaxmi.jpg* Restaurant-club Olive - http://www.olivebarandkitchen.com/

* Courtyard, à l'Hôtel Taj Mahal

shiro-mumbai-india-f07-de.jpgShiro.jpg* Shiro, un des meilleurs restaurants japonais ("Way of the yakuza")

tetsuma n81kobrf_19j_7_300.jpg* Tetsuma, cafe lounge

* Le Privé, club

china house DSC_6142.JPGchina house bombay foreign-restaurant2-2_1245.jpg* China House, design by Super Potato, créateur japonais

* Restaurant Trattoria de l'hôtel Taj President : pizza au pays de Vishnou...

Loi de défiscalisation Borloo

Tarot_Justice_by_azurylipfe.jpgLa loi Engagement National pour le Logement a conservé et recentré le dispositif de la LOI ROBIEN ou LOI DE ROBIEN et créé un nouveau dispositif appelé BORLOO NEUF. Les décrets 2006-1005 du 10 août 2006 fixent les plafonds de loyers et de ressources ainsi que les obligations déclaratives.
Pour les investisseurs qui cherchent à bénéficier d’un dispositif de défiscalisation efficace en France : la LOI BORLOO est la plus défiscalisante. La loi DE ROBIEN est, en effet, moins intéressante fiscalement parlant que la BORLOO, même si elle reste fortement attractive.

Rappelons simplement toutefois ici qu'en cas d'investissement en loi Borloo et Robien, la déduction se fait sur les revenus et non pas sur le montant de l'impot lui même contrairement aux investissements en Loi GIRARDIN qui reste le système le plus intéressant en matière de défiscalisation. La loi Girardin ne s'applique que pour les investissements outremers.

Une déduction du montant de l'investissement plus les frais d'acquisition sous la forme d'un amortissement jusqu'à 65% de ce montant sur 15 ans. (6% les sept premières années, 4% les deux années suivantes et 2,50% pendant une période maximale de 6 ans).
Le montant de l’acquisition inclut les frais de notaire, d’agence, droit de timbre, TVA et autres. La période d’amortissement débute à partir du début de la location qui doit intervenir dans les six mois de la date d’achèvement ou d’acquisition du bien immobilier.

- Une déduction spécifique de 30% du montant des revenus bruts (pendant la période d'engagement de location) en plus de la déduction des frais réels.
- La possibilité de prolonger l'engagement de la location et de bénéficier ainsi d'un complément de déduction au titre de l'amortissement.
- La possiblité de réaliser l'investissement par l'intermédiaire d'une société non soumise à l'impôt sur les sociétés( SCI)
- La possibilité de réaliser l'investissement par l'intermédiaire d'une SCPI.
> Déficit foncier du bien imputable sur le revenu global dans la limite de 10 700 euros par année
> Report des déficits fonciers non imputables pendant les dix années suivantes
- La possibilité de gestion déléguée à un gestionnaire
- La constitution d’un patrimoine, (destiné à procurer un complément de revenus), transmissible à ses héritiers.
 

La loi Robien recentrée

On peut déduire des revenus fonciers les charges telles que les frais de gérance et de rémunération des gardiens et concierges, les primes d'assurances de loyers impayés, les taxes foncières et taxes locales annexes, les coûts de réparation...

Avec la loi Robien recentrée, les ressources du locataire ne sont pas plafonnées et vous pouvez toujours louer à un ascendant ou à un descendant, dès lors qu'il n'appartient pas à votre foyer fiscal.

Les plafonds de loyer sont fixés à 90% du loyer du marché libre:
- Zone A : agglomération parisienne, Côté d'azur et Genvois français (19,89 euros/m²)
- Zone B1 : créée pour 23 agglomérations françaises de plus de 250.000 habitants et d'autres agglomérations plus petites mais chères (13,82 euros/m²)
- Zone B2 : comprend les agglomérations de population comprises entre 50.000 et 250.000 habitants.(11,30 euros/m²)
- Zone C : elle couvre le reste du territoire. (8,28 euros/m²)

En somme, ce dispositif sert à encourager un bon nombre de français à investir dans le logement locatif pour détendre le marché locatif dans les zones ou les logements sont les plus chers et les plus rares, pour développer la construction de logements locatifs en centre-ville et à proximité immédiate des agglomérations et pour améliorer la qualité des logements à louer dans toute la France.

Locavores d'Avril

asperge_by_w_zynp.jpgLégumes : Asperge, Cresson, Fève, Morille, Radis, Céleri rave, Laitue, Courgette, Epinard, Primevère, Radis rose, Oignon blanc, Pomme de terre.

Poissons : Bar, Cabillaud, Carpe, Homard, Lieu, Limande, Lotte, Raie, Rouget, Aiglefin, Rouget barbet, Saumon, Sole, Turbot, Carrelet, Chinchard, Colin (ou Merlu), Lamproie, Lieu, Maquereau, Mulet, Amandes de mer, Bigorneaux, Bulots, Clams, Couteaux, Olives de mer, Ormeaux, Palourdes, Pétoncles, Praires, Vernis, Moules, Coquilles St Jacques, Daurade royale.

Viandes : Agneau, Chevreau, Pintade, Veau

Fruits : Kiwi, Pomelo, Rhubarbe, Kumquat, Mandarine, Mûre, Fraise, Clémentine, Pomme-cannelle, Banane, Poire.

 

Estragon, Cerfeuil, Oseille, Echalote.

Extraits d'une conférence par Philippe Lévy - Paris 2006

Vertical_Limit__Wallpaper_by_Isilmetriel.jpgLe décodage biologique est d’une façon simple l’interaction entre le corps et l’esprit. Il diffère des méthodes psychosomatiques. Selon celles-ci, le stress est un facteur de maladie. Si nous l’enlevons, il n’y a plus de maladie. La maladie touche de façon arbitraire les organes. Le décodage biologique va plus loin dans la compréhension du sens de l’endroit de l’organisme touché par la maladie.

La maladie est l’adaptation de notre corps à un choc.
Par exemple, j’ai un accident de voiture et je me tape l’épaule gauche contre la portière. Au moment du choc, j’aurais un premier ensemble de perceptions.
Après l’accident, et à chaque fois que je prendrais la voiture, je pourrais ressentir une appréhension ayant une résultante sensorielle et physique unique pour chaque personne. L’une des solutions d’adaptation de mon épaule peut être de se contracter. Ce peut être aussi la couleur rouge de la voiture ; je développe alors une croyance que le rouge est dangereux. La vision peut être affectée et une diminution de l’acuité visuelle peut être observée pour permettre de m’éloigner du danger.

Un autre exemple évocateur est l’allergie aux crustacées. Nous ne sommes pas tous allergiques à cet aliment. L’allergie aux crustacées n’est donc pas une condition normale. La maladie nous révèle la présence d’un élément conflictuel différent d’une loi naturelle. En décodage biologique, nous tentons de comprendre ce qu’est un élément conflictuel. Une femme mange des crustacées au restaurant avec son ami et il lui annonce qu’il la quitte. Cette femme va associer la perte et la séparation avec ce qu’elle mange si elle n’a pas pu exprimer totalement son ressenti.
Son cerveau lui envoie l’ordre que les crustacées sont toxiques.
Si l’événement se produit plusieurs fois, le cerveau va généraliser l’information. La personne est sûre et certaine que ça se passe toujours comme ça. Elle entre alors dans un processus en boucle.
Si l’interaction entre ce qui se passe à l’extérieur et à l’intérieur de moi est conflictuelle, je rejette l’information.
Si cette interaction est reliée au bien-être, je l’accepte.

Chaque système organique est relié à un état d’être particulier. Par exemple, la nature de l’encodage dans le système locomoteur et celui dans le système digestif sera différente.

Chaque système a ses propres moyens d’évaluation. Reprécisons les fonctions du système pulmonaire. Nos poumons sont reliés à l’espace, ils servent à respirer, à faire entrer l’oxygène dans l’organisme et à être en vie.
Si le problème rencontré est lié à l’impulsion de vie ou à l’espace, l’encodage a lieu au niveau du système pulmonaire.
Une patiente toussait depuis 6 mois. Elle exprimait son impression d’avoir de l’eau dans les poumons qu’elle tentait d’éliminer grâce à la toux. Elle se souvient d’une noyade. Mais le symptôme est toujours là. Nous déterminons les déclencheurs, les voici : sa voisine maniaque verse chaque jour de l’eau sur le palier. La patiente a peur chaque fois qu’elle sort de chez elle de glisser sur le parquet. Ce sont ces petits stress qui ont fait sa pathologie chronique.

Il y a deux façons d’encoder un choc :
-    Soit l’événement très fort et stressant vient d’avoir lieu, nous l’encodons alors selon la nature de notre perception de cet événement.
-    Soit l’événement est déjà inscrit dans notre histoire et une même situation actuelle répétitive stimule cet encodage sur un même organe, fragilisé par cette collection de conflits.

Les différents types de conflits de notre histoire
Entre 20 ans et notre mort, nous rencontrons les conflits d’expériences de vie (conflits déclenchants)
Ce sont les deuils, les accidents, les séparations, etc. Si nous ne parvenons pas à partager autour de nous le mal-être généré par ces événements, nous pouvons nous sentir désarmés et enclins à l’introversion. Cette énergie que nous ne pouvons pas exprimer à l’extérieur s’encode à l’intérieur de notre corps selon la spécificité de notre ressenti.

Les conflits programmants
sont reliés à la première fois où quelque chose s’est passé dans l’inconscient biologique. À ce moment-là, une croyance s’est organisée autour de cet événement. La croyance et le choc génèrent les cycles conflictuels.

Les conflits structurants sont reliés à la petite enfance. Ils vont marquer notre construction neurologique, jusqu’à une vingtaine d’années pour les filles et vingt-cinq ans pour les garçons.
Ces conflits sont plus difficiles à défaire, car notre organisme s’est adapté aux événements conflictuels. Cette adaptation est conflictuelle.
Par exemple, mon père est routier et enfant, il m’emmène régulièrement avec lui dans son camion. Un accident survient, mon père reste handicapé, moi je ne me souviens pas très bien de ce qui s’est passé. Mon père me répète depuis de ne plus monter dans un camion, car c’est trop dangereux. L’enfant enregistre que monter dans un camion est potentiellement dangereux, qu’on peut perdre son père, qu’on peut mourir. Dès qu’il entrera dans des petits espaces, il va élaborer des stratégies pour éviter d’avoir peur. Il les ancre en lui pour que ce soit un mode de vie.
Adulte, cela pourra se manifester par des peurs très diffuses dans des petites pièces. Il restera assis près de la porte, prêt à sortir…

Des expériences de neurobiologie montrent que pendant la phase in utero le futur bébé garde la mémoire de ce qui se passe. Si la mère aime écouter de la musique classique pendant sa grossesse, le nouveau-né s’apaisera avec cette même musique. S’il écoute du Rock, il sera agité.
En revanche, si la mère aime et écoute du rock pendant sa grossesse, le nouveau-né s’apaisera avec cette même musique, mais pas avec du classique.
Ici le fœtus s’adapte en terme de bon ancrage.
Un patient avait des acouphènes. Il a découvert que sa mère, pendant sa grossesse, s’est cachée et a été traumatisée par les bombes. Dans son ressenti, ce patient perçoit ces acouphènes « comme des bombes ».
Les prédicats organiques sont des mots, des images utilisées pour décrire une situation, mais qui ne correspond pas à la réalité des faits.
Exemple : j’ai un appétit de loup, j’ai la tête dure comme du bois.
Nous allons utiliser ces éléments pour aller chercher la nature du conflit, car nous utilisons toujours les mots exacts de l’événement traumatisant.

Les conflits transgénérationnels représentent les conflits biologiques de nos ancêtres. Si ce n’est pas possible de résoudre le conflit au niveau de leur génération, ils le transmettent dans les gènes pour le résoudre à la génération suivante. C’est simplement le marquage d’un conflit au niveau transgénérationnel.
Sans nos parents, nous ne pourrions pas survivre, car biologiquement, il faut faire l’amour pour créer dans notre devenir et ceci quelque soit nos états d’âmes, ce qu’ils ont fait ou pas fait.
Aller voir la conflictologie de nos ancêtres nous permet d’augmenter nos choix.

Questions des participants
Quelle est l’origine d’un conflit ?

Je ne sais pas. Le patient est le seul maître de sa guérison. Le thérapeute est simplement là pour écouter ce qui se dit dans sa biologie.
Un élément important de mon travail est que le patient possède son histoire. S’il exprime sa vérité complète, les symptômes disparaissent à 100 %.
Une question essentielle : qu’est-ce que ça change dans ma biologie ? Remonter du plus récent au plus ancien.
Il est très facile de dénouer un conflit récent, s’il est suffisamment raconté. C’est la thérapie salon-thé. Nous racontons à nos amis ce qui s’est passé pour nous.
Les conflits programmants et structurants sont plus difficiles à libérer. En effet, l’élément déclenchant nous rappelle une partie de l’histoire mais pas la totalité.
Il est parfois difficile de défaire à 100 %. Les personnes ayant des symptômes chroniques vont souvent voir de nombreux praticiens. Cela correspond à leur histoire conflictuelle.

Pour déceler précisément un conflit, nous utilisons des protocoles qui sont des étapes de travail pour aller chercher une histoire ou un conflit.
Par exemple : vous dessinez les yeux fermés votre douleur corporelle.
Puis vous ouvrez les yeux. Votre dessin ne ressemble pas du tout à ce que vous imaginiez. Il révèle des éléments de votre conflit. En parlant du symptôme, nous parlons du conflit.
Par exemple :
La naissance est très souvent traumatisante. On ne sait pas vraiment à quel moment cet événement va se répercuter à l’extérieur.
Une personne avait des douleurs à la tête, elle était allergique aux sons. C’était relié aux sons de la naissance. Sa mère avait été paniquée car elle avait accouché en urgence.
La finesse du praticien est d’entendre ces ressentis.

En quoi la connaissance de sa naissance va libérer la personne ?
Les hommes sont capables par la connaissance de changer les choses ; à la différence des animaux dont la biologie ne change pas au cours de la vie.

Pour modifier son programme, l’homme doit rentrer dans ce qui se passait à ce moment-là. Il va faire le lien entre ce qui se passe dans le présent et le passé.

Des mémoires conflictuelles sont contenues dans la phase in utero et dans le projet sens. Le projet sens représente les objectifs des parents sur leurs enfants.
L’enfant sera imbibé par ce projet et va en faire son objectif de vie.
Par exemple, si les parents ont manqué de nourriture, il se peut que l’enfant devienne épicier. Il matérialise ce programme. Si l’enfant est d’accord avec ce programme, alors il n’y a pas de conflit. S’il n’est pas d’accord avec ce programme, il va se sentir limité par celui.

On dit souvent que le premier enfant est conçu par accident, le deuxième pour accompagner le premier, et le troisième, car on a manqué la contraception.
Le projet sens est plutôt inconscient. Il est impossible de ne pas avoir de projet.

Les phobies peuvent-elles être soignées grâce au décodage biologique ?
Les techniques en décodage sur les phobies fonctionnent bien.
D’abord il faut débloquer le présent face aux conflits qui reviennent régulièrement.
Trouver les conditions avec lesquelles les phobies se mettent en place permet d’avancer.
Faire des séances pendant une période phobique aussi.
Dans une phobie, il y a un programme qui se met en place. Il faut défaire la peur de la peur. Comprendre les conditions de démarrage d’une phobie.
Comprendre comment cela a commencé.
Agir sur le comportement n’est pas suffisant en terme de remise à zéro des compteurs.

Que penser de l’EMDR ?
C’est une technique post-traumatique. Elle marche assez bien pour des événements récents et un peu moins bien pour des événements anciens. C’est un bon outil parmi d’autres. On pourrait aussi citer : l’hypnose, la systémie, etc…

On a déjà les connaissances de l’origine du conflit en soi. On a toujours les origines. Si on a des conflits en soi, on les connaît. Quand il y a conflit, il y a aussi un remède.
Peut-on envisager une situation sans conflit ? C’est impossible, car les conflits sont une stimulation de la conscience et de la vie.
Aujourd’hui on sait que de mini infarctus du myocarde sont dus à de petits conflits qui ont pu être réglés. Un gros conflit génère un gros infarctus.
Suite à une discussion avec un chercheur spécialiste dans l’infarctus, il semblerait que tout au long de notre vie ces petits infarctus donnent un message à notre physiologie qu’il est possible de s’en sortir sans trop de problème. Celui qui n’en a jamais eu est plus exposé aux conséquences d’un infarctus important.

Faire un bilan conflictuel (qu’est-ce qui s’est activé en nous et par rapport à quoi ?) permet de grandir. L’hygiène conflictuelle permet de décristalliser cet inconscient biologique pour le transformer en énergie libre de conscience et augmenter la qualité relationnelle et notre qualité d’être.

Protocole de l'allergie

resource of life by oOReinOo 764bee5dac4c469f44ade5760b938031.jpgAfin de mieux comprendre votre allergie, voici les étapes d'un protocole qui vous aidera dans votre recherche. J'utilise volontairement la 1e personne afin que vous puissiez mieux vous plonger dans vos sensations intérieures.


1. Pour étudier toutes les circonstances dans lesquelles mes symptômes se manifestent, je prends :

  • Le lieu (environnement)

 

  • La personne

 

  • La nourriture

 

  • Le moment de la journée

 

  • La saison


Je note sur un carnet de nouvelles informations. Durant cette étape, je souligne les circonstances qui se répètent.
Lorsque vous avez identifié l'aspect spatio-temporel de cette allergie, passez à l'étape suivante.

Note : si vous avez plusieurs allergies, traitez-en une en suivant toutes les étapes proposées. Ensuite, vous traiterez les suivantes, une à chaque séance.

2. Maintenant, je connais mon allergène. À présent, j'affine ma recherche.
Cet allergène me renvoie peut-être à autre chose. Par exemple

  • Un jeu de mot: cyprès = si proche = conflit de séparation

 

  • Homonyme: rose = prénom = décès de ma grand-mère = conflit de perte

 

  • Association d’idées = acariens = lit = relation sexuelle = conflit sexuel



Il peut être nécessaire de préciser encore ma recherche :
Exemple a) allergie au parfum.
Quel parfum a été pour la première fois inacceptable ? Le parfum de ma mère = conflit avec la mère
Exemple b) : le chocolat.
Lequel ? Chocolat noir. Quelle marque ? Buck. D'où vient-il ? Suisse.
Que s'est-il passé en relation avec ces termes ? Séparation de mes parents : l'un habite la Suisse, l'autre la France.

Comprenez bien que cette deuxième étape a pour objectif de clarifier la sous-tonalité de l'allergène. Si vous l'avez trouvée, passez maintenant à l'étape suivante.

3. Durant cette étape, je rentre dans mon ressenti biologique (en contact avec toutes mes sensations corporelles, mes émotions, etc.).

  • Depuis quand ai-je démarré ces symptômes reliés à …(allergène) ?

 

  • Je laisse venir à moi l'âge, l'année, le mois et peut-être le jour.

 

  • Que s'est-il passé durant cette période que j'ai vécue dans l'isolement et le non-dit ?

 

  • Séparation, déménagement, décès, accident ... ?

 

  • J'identifie la nature du conflit dans lequel ma biologie est restée un peu « coincée »



4. Maintenant, je réponds à ces questions en écrivant largement mes réponses, mes commentaires et tout ce qui me vient.

  • À cette époque, j'aurais aimé dire ...

 

  • À ce moment-là, j'ai ressenti à l'intérieur de moi ...

 

  • Durant cette période, j'ai vu …

 

  • Durant cette période, j'ai entendu ...

 

  • Afin de ne pas être en conflit, j'ai préféré ...

 

  • En fait, si je suis vraiment sincère avec moi-même, j'aurais préféré ...

 

  • À ce moment-là, j'aurais eu besoin de...

 

  • Important : prenez tout votre temps pour répondre à chaque question. N'hésitez pas à vous répéter plusieurs fois la même question comme pour vider un sac trop longtemps « oublié ». Des émotions peuvent surgir ; laissez-les sortir.

 

  • Ce qui s'exprime à l'extérieur n'a plus besoin de s'imprimer à l'intérieur.

 

  • Si cette phase vous paraît trop difficile, trouvez quelqu'un qui puisse vous écouter avec bienveillance.



5. Réorganisation

  • Selon ce qui s'est passé dans la phase 4., vous pouvez vous sentir groggy, bizarre ou avec la tête un peu lourde. C'est normal. Vous êtes en train de vous réorganiser au niveau cérébral. Vous êtes en convalescence. Quelquefois, les symptômes s'aggravent pour disparaître ensuite. Soyez confiant. Faites confiance à votre inconscient biologique.

 

  • Quelquefois, plusieurs séances sont nécessaires (refaire alors les étapes de 1 à 5). Si, néanmoins, tout vous paraît trop difficile à mettre en oeuvre, n'hésitez pas, faites-vous aider.

 

  • En conclusion : certaines allergies sont réelles (substance), d'autres symboliques (belle-mère...). Quoi qu’il en soit, elles ne sont que la justification d'un trouble non compris. Par définition, l'ennemi que l'on regarde à l'extérieur de soi n'est que le reflet de notre inconscient biologique qui nous envoie le message: « attention danger ! ». En découvrant notre fonctionnement, cela nous permet de reprendre la responsabilité de notre histoire.


Ne serait-ce pas une définition de notre liberté ?

Philippe Lévy - Cause et Sens n°5

Protocole

Life_in_the_Subworld_by_iumazark.jpgLa plupart des protocoles en décodage biologique s'appuient sur le ressenti. Il vous sera profitable d'être à l'aise avec vos émotions, de connaître le chemin qui mène vers la conscience de votre ressenti et son expression.

Un ressenti est un état d’être interne différent des mots que nous utilisons pour le décrire.

1. Un moment agréable

Je me rappelle un moment agréable qui s’est passé ce matin, la semaine dernière ou durant les fêtes de fin d’années. Au fur et à mesure que j’accède à ces souvenirs, me reviennent des détails extérieurs (quand, qui, la couleur des murs, les personnes autour, le climat, etc). Jusqu’à ce qu’un bien-être m’envahisse…Il s’agit là de ressentis positifs. Me les rappeler les amplifie.

Faites-en l’expérience…

2. Un souvenir désagréable

Maintenant, je me souviens d’un conflit récent ou d’une dispute que j’ai eue. Avec qui était-ce ? Quand cela s’est-il passé ? Quelles étaient les couleurs ou les personnes autour de moi, etc. Qu’est-ce qui se passe en moi ?

Quel est le mot le plus juste, le plus exact, exprimant ce que je ressens ?

Comment se caractérise ma sensation de mal-être ? Un serrement à la gorge, une douleur au ventre ?

Si cette sensation avait une forme, quelle serait-elle ?

Si cette sensation avait une densité, quelle serait-elle ?

Si cette sensation avait une couleur, quelle serait-elle ?

Après avoir fait cela, voyagez dans votre ressenti :

Que se passe-t-il maintenant ?

Souvent, le mal-être augmente provisoirement puis diminue et s’arrête. Le bien-être ou la détente s’établit.

Malheureusement, notre tendance « naturelle » est de tout stopper au moment où le mal-être augmente…comme il s’agit là d’un ressenti négatif, c’est en le contractant qu’il peut se modifier et s’éliminer.

Ainsi, le ressenti positif se conserve et s’apprécie alors que le ressenti négatif s’évanouit.

Débloquer une douleur physique

 
Ce protocole part du principe que ce qui est insupportable pour le cerveau, c’est l’absence de référence !!
Mettre en mots sa douleur, en la situant sur une échelle d’importance, est déjà très guérissant en soi. Il faudra aider le patient à décrire exactement ce qui se passe. La description se transformera tout au long de la séance. Dirigez le patient vers son ressenti. Utilisez les caractéristiques suivantes afin de mieux décrire les sensations.
 
Exemples : douleur battante, décharge électrique, en éclair, coups de marteau, piqûre, coup de poignard, pincement, serrement, compression, écrasement, en étau, étirement, déchirure, torsion, arrachement, chaleur, brûlure, froid, lourdeur, engourdissement, etc..
 
Etapes du protocole :
Où se trouve la douleur ?
Quand est-elle apparue pour la première fois ?
Demandez au patient de décrire cette douleur : « c’est comme… »
Quelle est sa forme ?
Quelle est sa couleur ?
Quelle est sa densité ?
 
Une description précise et exacte permettra de conduire au conflit précis et exact.
 
Qu’est-ce qui aggrave cette douleur ? (C’est ce qui déclenche le conflit)
Qu’est-ce qui soulage cette douleur ? (C’est ce qui éloigne du conflit)
Définir une échelle d’intensité allant de 0 (absence de douleur) à 10 (insupportable). Cette échelle va permettre d’évaluer les changements de perception que le patient a de sa douleur.
 
S’il y a persistance de la douleur, c’est qu’il y a présence d’un Bio-choc programmant plus ancien.
Auquel cas, il faut défaire l’impact émotionnel.
 
Demandez alors :
Avez-vous déjà eu un choc qui ressemble à ces sensations de douleur ?
Si oui, quand était-ce ?
Où était-ce ?
Que s’est-il passé ?
Qu’avez-vous ressenti à ce moment là ?
Qui était avec vous ?
….
Continuez jusqu’à ce que le ressenti émotionnel et la douleur diminuent.
 

Extrait de « Les protocoles de retour à la santé », co-écrit par Philippe Lévy et Christian Flèche