09/09/2007
Le droit au bonheur
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26/08/2007
Un jour à la fois
Les fluctuations de sentiments envers quelqu’un sont normales, et elles n’affectent pas l’amour profond que nous ressentons pour eux.
Il est entendu que les gens que nous aimons n’agissent pas toujours comme nous le souhaiterions. Heureusement, ils ne sont pas des marionnettes qui agissent au gré de nos humeurs.
Que nous réagissions négativement lorsque nous sommes déçus n’est pas grave, en autant que nous ne permettions pas à ces réactions irréfléchies de modifier l’amour que nous éprouvons et que nous exprimons à ceux qui nous blessent.
Peut-être avez-vous vécu vous-même l’expérience d’une personne chère qui vous retirait son amour si vous manifestiez de la colère, par exemple.
Vous pouvez vous rappeler combien vous étiez déchiré entre la peur de perdre son amour et le besoin d’exprimer ce que vous ressentiez.
Ne perpétuons pas ce conflit.
Laissons les émotions être ce qu’elles sont, en sachant que l’amour qui nous unit aux êtres est inaltérable.
"Je peux ressentir et les autres aussi, une variété d'émotions, vis-à-vis de ceux que j'aime. Mon amour pour eux est toujours le même, stable et puissant, même au milieu de la tempête"
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02/08/2007
Philosophie Plastique
Je me pardonne pour mes erreurs. Je pardonne aux autres et à la vie. Lorsque j'ai faim, je reconnais mes besoins. Je me nourris d'autres choses que de nourriture. Je crois en moi. J'écoute mes besoins et mes désirs au lieu de compenser en mangeant.
Je prends le temps de bien mâcher mes aliments. Lorsque j'atteins la satiété j'arrête de prendre de la nourriture. Il m'est de plus en plus facile de dire NON si je n'ai plus faim. Je digère de mieux en mieux.
J'atteins progressivement mon poids idéal et je le maintiens aisément. Ma santé s'améliore. Mon apparence devient de plus en plus agréable et ma présence est de plus en plus recherchée. J'embellis de jour en jour. Je suis attirée par les aliments sains qui me permettent de maigrir aisément sans me sentir privée.
Ma silhouette de vient de plus en plus attrayante et ma santé s'améliore grâce à l'aide de mon subconscient. J'atteins aisément mon poids idéal et je le maintiens sans effort. J'aime mon corps. J'aime mon corps et j'ai le pouvoir de maigrir."
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31/07/2007
Un jour à la fois
Au fur et à mesure que nous exerçons notre faculté de discernement, nous en arrivons à comprendre que notre malheur découle souvent de notre entêtement à avoir raison. Nous croyons que nous pouvons décider nous-mêmes de notre vie et nous sommes persuadés que nous savons ce qui est bon pour nous. Nous devenons ainsi dépendants de l’extérieur, nous réjouissant quand les gens et les évènements se conforment à ce que nous voulons, et nous affligeant du contraire. Comprenons que nous ne savons pas où est notre plus grand intérêt. Nous croyons savoir ce que nous devons faire et nous négligeons de nous tourner vers l’intelligence universelle pour contrôler si nos actions et nos désirs sont en accord avec la loi. Il n’est pas nécessaire de diriger nous-mêmes notre existence, et ce n’est pas faire preuve de faiblesse que de confier à la vie le soin de nous conduire à notre place. Reconnaître que nous faisons partie d’un tout dont nous ne connaissons pas le fonctionnement requiert de l’humilité et constitue une grande force. De plus, c’est un soulagement de savoir que ce n’est pas notre responsabilité de décider seuls ce que doit être notre vie. Réjouissons-nous de notre appartenance à plus grand que nous. "Je me tourne vers ma puissance intérieure et lui abandonne la direction de ma vie. Je ne suis pas seul(e). Je me laisse guider" |
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28/07/2007
L'argent...idée de Dieu
Je sais que l'argent est une idée dans l'Entendement divin. Il symbolise la richesse ; je le reconnais comme étant un moyen d'échange.
Toutes les idées de Dieu sont bonnes. Dieu créa toutes choses ; Il prononça bonne et très bonne Sa création.
L'argent est bon ; je m'en sers avec sagesse, judicieusement et à des fins constructives ; je m'en sers pour bénir l'humanité.
L'argent est un symbole très commode, je me réjouis de sa circulation. Les idées de Dieu me sont toujours accessibles ; j'ai un surplus divin. Dieu est ma provision, ma provision actuelle ; l'abondance en toute chose me parvient en avalanches.
Il n'y a qu'un seul Dieu et un seul Entendement. Mon attitude vis-à-vis de l'argent est harmonieuse. L'argent est un symbole de l'opulence de Dieu, de Son abondance infinie.
L'idée de l'argent est omniprésente ; je ne fais qu'un avec toutes les richesses du monde. Je ne m'en sers que pour le seul bien et je Te rends grâce Père, de ce que tu m'approvisionnes.
(Joseph Murphy, "Puissance de la méditation")
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27/07/2007
Un jour à la fois
Devant diverses situations qui peuvent jalonner notre vie, deux attitudes sont possibles : le fatalisme ou l’acceptation. Même s’il semble y avoir une parenté entre ces deux options, elles sont diamétralement opposées. La première est l’attitude de celui qui se soumet docilement et courbe l’échine devant la difficulté, se persuadant que c’est la vie qui est ainsi faite et qu’il n’y peut rien changer. La deuxième est l’attitude de celui qui peut être momentanément écrasé, mais se relève et se tient debout devant la réalité. Le fataliste subit et se laisse éteindre, véritable suicide moral : celui qui accepte commence souvent pas se rebiffer puis, le temps aidant, décide de tirer parti de la situation, conscient que l’épreuve est un moyen de se connaître mieux pour approfondir et ensuite guérir. Il dit oui pour vivre. Certes, il est plus aisé de ne pas réagir et de renoncer à l’effort que de faire face à l’adversité. Dans le premier cas une certaine paresse ou une peur quelconque supposent toujours un bouc émissaire qui devra encaisser la responsabilité. C’est la vie ou c’est Dieu qui le veut, il faut se résigner. Tout est écrit et décidé d’avance. Tandis que l’acceptation commence souvent par la révolte, le refus de trouver normal ce qui nous apparaît comme une absurdité. C’est une attitude d’adulte, saine mais plus exigeante, dans laquelle entre le sentiment de sa propre dignité d’être humain. Aux heures de crises inévitables, on peut opposer une sorte de résignation souriante et stérile où l’on s’abandonne au fatalisme, parce que c’est plus facile, et sans jamais prendre la responsabilité de sa vie. Une force plus grande que nous, croit-on, tire des ficelles et nous fait avancer comme des marionnettes. Ou bien on ne voudra pas sortir de sa révolte. L’un cherche à fuir et ne s’atteindra jamais parce qu’il se leurre et leurre les autres par le fait même. Tandis que l’autre ne pourra être tenté de désespérer, si sa lucidité ne lui en fait voir que l’aspect « non-sens » de la situation et l’empêche de prendre conscience de la force qui est en lui. « Le fatalisme est une défaite déguisée en victoire pour soi et pour les autres. » « L’acceptation est une conquête de soi qui a d’abord pris des allures de défaite. » "Réussir sa vie, c'est ne pas regretter le passé, être content du présent et ne pas avoir peur de l'avenir. La vie est faite de moments de bonheur qu'on ne peut oublier et de malheurs qu'on ne peut ignorer" |
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23/07/2007
Un jour à la fois
L’amour est la cure miracle.
L’amour de soi crée des miracles dans notre vie.
Lorsque l’on peut ressentir de l’amour envers soi-même, lorsqu’on réussit à atteindre ce sentiment, des miracles se produisent dans notre vie. Atteindre cet endroit particulier à l’intérieur de soi est vraiment un miracle.
Lorsque l’on saura que l’on mérite de s’aimer, alors on connaîtra tout. Plus je cesse de m’apitoyer sur mon sort et sur mes propres souffrances, plus je regarde ceux qui m’entourent avec amour et compassion.
Aujourd’hui, je suis davantage conscient(e) de la douleur et des malheurs des autres et je vais vers eux avec un amour qui me guérit et qui les aide eux aussi à guérir
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19/07/2007
Un jour à la fois
Lorsque nous demandons à être guidés et aidés, nous pouvons être assurés d’une réponse conforme à nos besoins.
Nous croyons parfois que nos requêtes ne sont pas entendues, mais elles le sont toujours lorsqu’elles sont formulées avec foi et avec cœur.
Cependant, notre ego peut vouloir certaines choses que notre cœur ne désire pas.
À ce moment, il n’y a pas vraiment de conflit puisque l’intelligence universelle entend seulement les demandes émanant de notre cœur.
Si nous acceptons de grandir dans ce qui nous est apporté chaque jour, tout en prenant soin de demeurer fidèles à nos convictions, nous comprendrons petit à petit que nous ne connaissons pas toujours nos meilleurs intérêts.
Par exemple, nous demandons sans doute régulièrement à notre guide intérieur d’apporter la joie et le bonheur dans notre vie.
Il se peut également que nous associons le mot bonheur à une certaine personne ou à certaines circonstances.
Et il se peut également que nous nous trompions dans nos associations alors que la vie, elle ne peut se tromper.
Acceptons avec humilité les réponses et les suggestions de la vie. Il ne sert à rien de forcer les choses.
Nous sommes dirigés là où nous serons heureux et vers ceux avec qui nous serons heureux.
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08/07/2007
Un jour à la fois
La manière la plus efficace de parvenir à une plus grande estime de soi est de reconnaître véritablement ses sentiments, et de les exprimer calmement et de manière réfléchie.
21:50 Publié dans Développement personnel | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook