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18/08/2008

Beyonce : Déjà vu (Freemason's remix)

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Le fonctionnement de l'ego - où comment passer du plan mental au plan spirituel, énergétique et émotionnel

Ego_by_4th_EMOTION.jpgL'ego est le fonctionnement/conditionnement habituel dans lequel nous construisons notre propre souffrance. C'est le "moi je", un sentiment d'exister en tant qu'individu indépendant et qui base ses relations avec les personnes, les choses et les situations auxquels il est confronté, en fonction de son désir d'existence et de plaisir. Ce désir se traduit par des pulsions d'attraction/possession ("je veux ce qui est bon pour moi", de rejet/répulsion  ("Je ne veux pas ce qui est mauvais"), d'indifférence ("Je ne veux pas être exposé à ce qui ne m'intéresse pas").

Ces pulsions conduisent l'ego à s'engager dans toutes sortes de luttes pour obtenir ce qui lui est agréable et éviter ce qui lui est désagréable.

Malheureusement et paradoxalement, au lieu d'aboutir à ses fins, ces luttes lui créent des désagréments, conditionnements et souffrances.

La clé de notre évolution consiste à comprendre que l'ego n'est qu'une illusion : c'est l'impression que l'on a "d'être" et "d'avoir". L'ego n'a pas d'existence propre, il se structure à travers les expériences que nous vivons comme un ordinateur se nourrit grâce à la saisie de données. Puis il s'individualise à travers l'identité que nous nous construisons et qui porte notre nom.

Il ne s'agit pas de détruire cet ego qui a son utilité, notamment celle de susciter en nous le désir, la passion, l'enthousiasme, mais d'accepter de travailler avec lui pour modifier son propre comportement lorsqu'il est nocif.

Plus on tentera de nier cet ego ou de le combattre agressivement, pluson renforcera son agitation et sa puissance. Il convient d'opérer un dialogue intérieur non-violent.

Selon les préceptes bouddhistes, l'ego se consctitue en 5 étapes, appelée "skandha" en sanscrit :

Avant la naissance de l'ego, l'esprit est le terrain de l'énergie pure, sans centre ni périphérie, comme l'espace. L'illusion de l'ego nait avec la perception des facultés sensorielles (visuelle, auditive, olfactive, gustative, tactile, mentale).

Le premier stade de l'ego est la forme. Une forme visuelle est une représentation du domaine visuel, dépouillée de concept et de tout jugement. C'est une vision simple et silencieuse. Une forme sonore est une vibration avant que sa résonance ne soit reconnue.

La seconde étape est celle de la sensation, qui est une prise de position par rapport à l'expérience initiale de forme, maintenant sentie comme positive, négative ou neutre. Il y a des sensations agréables, désagréables, indifférentes. La sensation est la première impression.

La troisième étape est celle de la perception : intervient l'identification, la forme est reconnue, la sensation prend un sens et devient un concept.

La quatrième étape est celle de la motivation : il y a une réaction devant l'objet identifié, porteur d'un sens qui suggère une action ou une réaction. S'instaure une relation conditionnée par différents factuers qui animent la volonté et les impulsions.

La cinquième étape est celle de la conscience, où l'ego devient un état de conscience pleinement constitué et complètement organisé.

Travailler avec son ego consistera donc à faire en sorte, par la méditation par exemple, de le désagréger en passant de la 5e étape à la première, jusqu'au vide intérieur susceptible de nous apaiser face aux excès de passion à l'origine de nos souffrances.

Bibliographie : Lama Denys Teundrop "Le Dharma et la vie"

 

Réussir, un jour à la fois

Toute tentative de résoudre un problème de l'extérieur se révèle, tôt ou tard, vaine. Le succès durable n'échoit qu'à celui qui va au fond des choses, qui ne prend pas pour base le matériel mais le spirituel, et qu'à celui qui dirige tout de l'intérieur, du royaume des pensées.

«En toi réside la cause de tout ce qui t'arrive dans la vie». Ce n'est que grâce aux pensées vivifiées par l'affirmation que tu peux changer ta vie.

Il est important de comprendre plus clairement ce que, jusqu'ici, cela signifie pour toi, pour ton destin, pour ta vie.

Pour réussir, il faut penser affirmativement, comme l'ont fait tout ceux qui réussissent. Leurs pensées affirmatives les rendirent capables de découvrir les occasions de succès et de les saisir là où des milliers d'autres avant eux n'y prêtèrent aucune attention.

La pensée affirmative est une source inépuisable de force pour le corps. Elle constitue le support de ta santé psychique et physique. Elle agit comme stimulant de toutes les fonctions organiques, conduit vers un bien-être croissant et, par là, vers l'élévation de tes possibilités réalisatrices. Elle n'améliore pas seulement ton état, ton sang, tes humeurs, ta complexion physique mais aussi ta complexion sociale, ta position dans le monde.


K.O. Schmidt
Le hasard n'existe pas, 1956

Le roi et le jardin

Lillies_for_the_king_by_Crimple.jpgIl y avait un jour un roi qui avait planté près de son château toutes sortes d'arbres, de plantes et et son jardin était d'une grande beauté. Chaque jour, il s'y promenait : c'était pour lui une joie et une détente.

Un jour, il dût partir en voyage. A son retour, il s'empressa d'aller marcher dans le jardin. Il fût surpris en constatant que les plantes et les arbres étaient en train de se dessécher. Il s'adressa au pin, autrefois majestueux et plein de vie, et lui demanda ce qui s'était passé. Le pin lui répondit :

- J'ai regardé le pommier et je me suis dit que jamais je ne produirais les bons fruits qu'il porte. Je me suis découragé et j'ai commencé à sécher.

Le roi alla trouver le pommier : lui aussi se desséchait... Il l'interrogea et il dit :

- En regardant la rose et en sentant son parfum, je me suis dit que jamais je ne serais aussi beau et agréable et je me suis mis à sécher.

Comme la rose elle-même était en train de dépérir, il alla lui parler et elle lui dit : "Comme c'est dommage que je n'ai pas l'âge de l'érable qui est là-bas et que mes feuilles ne se colorent pas à l'automne. Dans ces conditions, à quoi bon vivre et faire des fleurs? Je me suis donc mise à dessécher."

Poursuivant son exploration, le roi aperçut une magnifique petite fleur. Elle était toute épanouie. Il lui demanda comment il se faisait qu'elle soit si vivante.

Elle lui répondit :

- J'ai failli me dessécher, car au début je me désolais. Jamais je n'aurais la majesté du pin, qui garde sa verdure toute l'année; ni le raffinement et le parfum de la rose. Et j'ai commencé à mourir mais j'ai réfléchi et je me suis dit : "Si le roi, qui est riche, puissant et sage, et qui a organisé ce jardin, avait voulu quelque chose d'autre à ma place, il l'aurait planté. Si donc, il m'a plantée, c'est qu'il me voulait, moi, telle que je suis et, à partir de ce moment, j'ai décidé d'être la plus belle possible!

Transformer le jugement de soi ou d'autrui en acceptation de soi

Jugement_Celeste_by_Araknee.jpgNe serait-ce pas agréable d’être libérés du jugement ?  De mettre la critique de côté et, à la place, de jouir d’une paix personnelle ?

Lâcher notre propension au jugement est une porte qui, une fois ouverte, nous conduit vers de grandes guérisons dans nos vies.

Si vous critiquez les autres, vous vous critiquez EGALEMENT ! Et si vous vous jugez vous-mêmes, vous jugez les autres.

La propension au jugement peut affecter chaque domaine de nos vies pendant longtemps, nous rendre malade.

Comme conséquence secondaire, il nous coûte notre estime de nous.

Pour beaucoup d’entre nous, notre propension au jugement provient souvent de personnes critiques à notre propos  dans notre enfance:  un parent, des frères et sœurs, des ami(e)s, une figure d’autorité, ou d’autres personnes importantes.  En tant qu’enfants, lorsqu’une personne nous critique, nous n’avons pas les outils pour discerner que ces critiques n’ont rien à voir avec nous mais qu’elles concernent uniquement la personne qui nous critique.

Si nous sommes jugé(e)s trop souvent, en tant qu’enfants, il y a de fortes chances que nous allons croire que ces critiques sont fondées et vraies et nous allons nous les répéter toute notre vie.  Nous allons même devenir encore meilleurs, à être durs avec nous-mêmes, que la personne qui nous a enfoncé ces critiques dans notre petit être.

Si vous avez un esprit de jugement très actif, cela bloque la réalisation de vous-même dans, au moins, un domaine de votre vie.

Si vous jugez les autres, vous allez observer si les autres vous critiquent.  Dès lors le rejet et l’abandon sont les conséquences possibles de cette propension au jugement.

Nous pouvons remplacer la voix intérieure du jugement par une voix gentille et l’acceptation de soi.

L'exercice suivant vous permettra d'opérer la prise de conscience nécessaire pour vous libérer de cette propension au jugement.

Pendant une durée que vous allez choisir, tenez un "journal du jugement" : à chaque fois que vous entendrez votre petite voix intérieure vous cirtiquer ou critiquer autrui, notez-le.

Puis, au bout d'un certain temps, analysez votre journal.

Vous découvrirez ce qui a contribué à développer votre esprit critique, notez cela pour comprendre quelles influences et circonstances vous ont amené à ces critiques. 

En parcourant votre journal, posez-vous des questions pour approfondir le pourquoi du comment, comme ce qui suit :

Est-ce que ceci est un schéma ?

Quels jugements portez-vous le plus souvent sur vous-même ?

Quels jugements blessaient le plus ?

Quelle voix a dit cela, en premier lieu ?

Où ai-je appris cela ?

Qui cela me rappelle-t-il ou qu’est-ce que cela me rappelle ?

Quelles circonstances m’ont amené à penser cela à propos de moi-même ?

Puis-je découvrir l’origine de ce/ces jugements ?

Vous découvrirez que votre propension au jugement n'est pas vraiment la vôtre, que vous avez été amenés à croire que c'est vous qui jugez, alors qu'il s'agit d'un conditionnement. Gary Craig, auteur du "Palais des Possibilités", dit que ce sont les "écritures sur vos murs".
Cet exercice va vous permettre de découvrir à qui appartient cette petite voix qui se livre au jugement.

L'ange du jour : Yeliel (Dieu secourable)

Archange_by_tonio2468.jpgJe suis la Force du Temps.
Le cœur est mon royaume.
L'expression est mon outil.
J'amène la Lumière de Dieu dans la parole.
J'amène la Lumière de Dieu dans l'Espace.
Je permets à la Force du Verbe de trouver sa place dans le Temps, et dans l'Espace.
J'accueille les culpabilités du passé et du présent, et je les transforme en force de paix pour le futur.
Je suis celui qui parle, celui qui transmet, celui qui éduque.
Je suis celui qui aime et qui permet que vous soyez l'expression de cet amour.
Je suis la Paix dans l'espace de votre cœur.
Je vous permets d'accéder à cet espace de paix présent en votre cœur.
Merci à vous de vous aimer.
 

10:16 Publié dans Kabbale | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ange |  Facebook

Un jour à la fois : Je suis aimé(e)

Loved_by_Mischquela717.jpgL’amour véritable ne fixe pas de frontières et ne s’attache pas à un seul être.

La force d’amour nous vient du principe de vie, et elle tend à se multiplier et à féconder toutes choses.

Lorsque nous refusons d’élargir le cercle de l’amour dans notre entourage et d’y englober toutes les formes de vie, nous nous refusons à nous-même la chance d’être aimés.

Une relation privilégié nous apparaît souvent comme la seule forme valable de l’amour, et nous avons tendance à favoriser uniquement ce qui nourrit cette relation.

Pourtant, en faisant cela, nous risquons de nous éloigner de notre but et d’appauvrir la relation à laquelle nous tenons tant.

L’Amour agit en nous de manière idéale quand nous lui permettons de prendre racine et de se multiplier.

Tout comme le soleil levant fait disparaître le ténèbres et chasse la grisaille du petit matin, l’amour que nous libérons embellit notre quotidien et nous revient en force.

La confiance est l’ingrédient essentiel d’une relation d’amour.

La confiance, tout comme l’amour qu’elle nourrit, s’applique à toutes nos rencontres et à toutes les personnes qui croisent notre chemin.

Si nous avons parfois peur de notre confiance ne soit trompée, rappelons-nous le seul choix qui s’offre à nous; l’ouverture et la libération ou la peur et la condamnation.

Quelle que soit la réaction des personnes à qui nous donnons notre amour, celui-ci nous reviendra si nous le laissons rayonner.

Nous pouvons être assurés de la présence indéfectible de l’amour, toujours prêt à nous combler de ses richesses.

Gong Li et Gaspard Ulliel : Hannibal Lecter, les origines du mal

3e loi cosmique : Savoir pardonner

Pardon_by_La_redfishette.jpgLa plus importante raison pour pardonner est de ne pas se faire de mal à soi-même en nourrissant des sentiments de haine, de rancune et de vengeance.

 

Pardonner nous permet de nous libérer de sentiments négatifs qui nous rongent comme un poison et nuisent à notre évolution.

 

Cela ne signifie pas d’approuver les actions répréhensibles ni les oublier, de se laisser martyriser par quelqu’un ou subir une situation sans réagir.

 

La souffrance est là pour nous apprendre quelque chose. On n’apprend rien si on se contente de recommencer à souffrir dans les mêmes conditions. On doit comprendre pourquoi on choisit (inconsciemment) de souffrir et apprendre comment échapper à ces situations qui nous font mal.

 

Le pardon se fait sans condition, sans reproche. Il n’est pas nécessaire de l’exprimer de vive voix, c’est dans notre cœur et notre pensée que l’on pardonne. De cette façon, on peut pardonner des actions commises il y a très longtemps, par des personnes que l’on ne côtoie plus ou qui sont décédées.

 

C’est un exercice désagréable mais indispensable à l’évolution de notre conscience. Garder ses vieilles rancunes et ses idées de vengeance apaise notre égo, mais entretiennent notre ressentiment et notre souffrance. C’est du gaspillage d’énergie, car la seule pensée de ce qui nous a fait souffrir fait revivre cette souffrance. Le cerveau ne fait aucune différence entre l’imagination et la réalité d’une situation.

 

Le pardon permet de se libérer de l’emprise des personnes qui nous ont fait souffrir, et de passer à autre chose.

 

Une autre facette du pardon, c’est se pardonner à soi-même. Souvent, il est plus facile de pardonner aux autres qu’à soi-même. Cela implique d’accepter sa propre faute, son propre fardeau de responsabilité, ses propres faiblesses, et de comprendre les raisons qui nous ont poussé à agir de manière négative.

 

Nous devons nous pardonner du mal que l’on a pu causer aux autres, et du mal que l’on s’est causé à soi-même.

Se pardonner à soi-même est une action de soulagement intense, on se libère d’un poids incroyable. En se pardonnant, on s’accepte pleinement, avec ses qualités et ses défauts. On apprend à vivre avec soi-même et ses propres imperfections.

 

Pardonner, c’est prendre conscience que nous sommes tous humains et que la nature humaine n’est pas parfaite et infaillible.

 

La plupart de nos fautes sont liées à nos peurs, qui proviennent souvent de notre orgueil. C’est notre égo, ou mental, qui nous manipule et nous cause du tort, et nous le comprenons en nous pardonnant. Ainsi, nous apprenons à redevenir nous-mêmes et cesser de nous cacher derrière nos sentiments négatifs.

 

Une clé pour appliquer plus facilement cette loi du pardon : si nous éprouvons une difficulté à pardonner, nous pouvons demander à l’univers de nous donner la force de pardonner.