08/07/2007
Haiku
Aimé ce Haiku lu sur http://aliquante.hautetfort.com/ :
Sillon noir
Incertitudes
Fleurs empoisonnées
20:31 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Lost in Lost
Regardé les trois premiers épisodes de la troisième saison de Lost : l'intrigue n'avance tellement pas que ça devient vraiment très pénible. Heureusement que Josh Holloway, dont le taux de sex-appeal va crescendo au fur et à mesure des épisodes, est là pour compenser les sables mouvants du scénario.
(In love with Josh)
20:21 Publié dans Série culte | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Dîner au bord de l'eau
Eté dîner hier soir avec Mukluk et son chéri au restaurant de plage Mathias Dandine à Cavalaire. On a goûté des croque-monsieur aux truffes (excellentissimo), un risotto de spaghetti à la langouste (très bon), un homard grillé (cuisson parfaite). La pièce de boeuf était vraiment quelconque, pas d'accompagnement avec mon homard (un peu light). Le dessert aux trois chocolats était aérien, dommage que la quenelle de glace qui l'accompagnait était insipide. La note était aussi salée que l'eau de mer, et à ce prix, en dépit du cadre merveilleux, il vaut mieux manger au restaurant gastronomique (plus de choix à la carte et un menu très raisonnable). L'apéro (2 coupes de bon champagne, un jus de tomate à l'assaisonnement nickel chrome (c'est rare), et une kemia aussi jolie que goûteuse, était offert. Malgré cela, on s'est abstenus de boire un Romanée-Conti, histoire de conserver notre Balenciaga-budget.
(Detente-chic)
18:45 Publié dans Fooding | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Girly & Fashion Week-end : Florence
Accompagné Mukluk le week-end dernier à Florence, à l'occasion du Pitti, salon du prêt-à-porter pour enfants. Mangé sur l'autoroute un délicieux panini italien comme on les aime, et bu une Red Bull, histoire de tenir le coup durant les cinq heures de route. Dîner samedi soir dans un charmant restaurant toscan (carpaccio de boeuf aux truffes et roquette + panna cotta). Ballade nocturne dans la ville. Dimanche, pendant que Mukluk et sa vendeuse bossaient, shopping au marché du cuir (butin : 5 ceintures trop belles, une petite robe imprimée "alla Kate"). Eprouvé un traumatisme intense à la vue du nouveau modèle de Balenciaga, le Giant work (http://www.styledrops.com/handbags-20175.html), qu'on a bien failli voler (tentative avortée de Balenciaga-Basket), mais on s'est promis de se le payer à la rentrée après avoir économisé un peu. Avons été trop desperate devant la vitrine de "Gérard", ze concept store sooo fashion où Mukluk avait sévi lors de son précédent voyage avec une robe Balenciaga et mon T-shirt Thomas Wylde, car il était FERME !!! (Arrgh !).
Visité l'Hotel Continentale (photo), où je voulais séjourner, mais qui était malheureusement complet (ça sera pour la prochaine fois), et déjeuné d'un excellent brunch japonais au Fusion Bar du Gallery Hotel Art, juste en face, deux hôtels du groupe Ferragamo à deux pas du Ponte Vecchio.
Rentrée à la maison totalement crevée mais happy de ce petit trip improvisé.
18:10 Publié dans Travel Cityguide | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
07/07/2007
Kate Moss & Pete le Panda : This is the end
Lu sur MSN hier : Après avoir appris que Pete Doherty l'avait trompée avec une sud-africaine nommée Lindy, rencontrée dans une boîte de nuit londonienne, Kate Moss a fait charger dans un fourgon, un piano, des guitares, des tableaux et des valises toutes cabossées, appartenant au chanteur qui se trouvaient dans sa maison de St John's Wood, pour les acheminer vers une tour d'habitation à Hackney, à l'est de la ville.
Les deux amants terribles auraient passé un week-end très houleux, à tel point qu'au cours de la dispute Monsieur aurait même fracassé un cadre-photo. Un ami de la jeune femme a révélé : "C'est vraiment fini entre Kate et Pete. Elle a embauché de nouveaux agents de sécurité, il ne peut pas s'approcher d'elle. Elle est furieuse. Elle ne se laissera plus jamais ridiculiser comme ça. Elle peut être très jalouse et ne laisse aucun homme la tromper."
Dans le clan du rockeur, c'est une autre chanson qu'on fredonne. Pour ses amis, c'est lui qui a rompu : "Kate est en colère, elle est furieuse mais il l'obsède, et elle veut qu'il revienne. Il ne peut plus la supporter, il étouffe, c'est lui qui a voulu rompre."
(Je t'aime, moi non plus)
18:34 Publié dans People | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
03/07/2007
La saga des hommes-dieux
Fini cette semaine le sixième volume intitulé "Plus fort que le feu".
Celui-ci, comme tous les hommes-dieux, aime créer des univers de poche où l'impossible est la norme et où, au gré de sa fantaisie, il peut soumettre ses créatures à d'insupportables tortures.
Mais les choses évoluent au fil des millénaires. Orc le Rouge est revenu de tout. Il voudrait maintenant se rendre maître de la machine suprême, détruire tous les univers-jouets et en recréer un seul, dont il serait le maître unique.
Ce serait la fin de la liberté du monde et Kickaha sait ce qu'il lui reste à faire : annihiler la machine et massacrer le Seigneur maudit. Oui, mais comment ?
23:10 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Walk the line
Vraiment badé Joaquin Phoenix dans cette biographie du chanteur Johnny Cash et de sa compagne June Carter/Reese Witherspoon dont le menton m'insupporte (trop long). Moi qui déteste la country, j'ai dû me frapper tout le répertoire du couple tout au long d'un film qui a quand même obtenu le Golden Globe Award du meilleur film, du meilleur acteur et de la meilleure actrice. Et même si la reconstitution des années 50 et 60 était parfaitement maitrisée, j'avais l'impression de revoir "Ray", d'autant plus que les deux hommes étaient tous deux hantés par le décès brutal et prématuré de leur frère, traumatisme sans doute à l'origine de leur toxicomanie : une oeuvre cinématographique de facture classique, qu'on regarde juste pour s'enrichir culturellement, sans plus.
(La ballade de Johnny Jane June)
18:40 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Chromophobia
Adoré Kristin Scott-Thomas en épouse totalement flippée et compulsive d'un aristocrate anglais, répondant au prénom étrange de Iona, férue d'art contemporain et vivant dans une maison de rêve au design épuré et minimaliste (blanc, verre), dans ce film réalisé par Martha Fiennes, soeur de Ralph (qui interprète le rôle du prof d'art homo).
Se dégage une ambiance cold-chic (pas dans les prés) très réussie, le casting brillant (Ben Chaplin, Ian Holm, Penelope Cruz, Rhys Ifan...), dommage que le scénario soit un poil désordonné.
A voir absolument.
11:20 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Aphorismes affreux, Affres au jour le jour
Et cette terre anglaise fraîchement retournée... en retard de blairisme ces blaireaux du Labour
La rêverie revêt sa tenue d'Eve, les jeunes Werther crèvent comme ver de terre. (Benoît Jeantet - 23.06.07)
(London calling)
09:45 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook