28/07/2007
L'ange du jour : Nanael (Dieu qui rabaisse les orgueilleux)
Je suis la Vie.
Je suis la Nature.
Je suis la Force de Vie.
Je suis la Force d'Amour.
Je suis la Force d'Etre.
Je suis l'Espace qui permet à votre conscience de s'étendre.
Je suis l'Espace qui donne vie à toutes vies
Je suis l'Espace qui permet que la Vie existe.
Je suis l'Espace qui se crée entre deux temps, comme une ouverture, pour permettre à la Vie de s'incarner.
Je suis la Conscience,
la conscience d'être,
la conscience que vous avez d'exister.
Je suis le Point d'Equilibre sur lequel vous vous maintenez.
Je suis celui qui soigne par l'Amour.
Je suis celui qui guérit toutes choses.
Je suis celui qui distingue où est la réalité de l'irréalité.
Je suis celui qui vit et qui démontre que la Vie est l'image de Dieu.
Je suis celui qui donne et qui reçoit.
Je suis le Végétal qui vous montre que l'Amour est incarné en toutes créations de la Nature.
Je suis l'Idéal du Moi,
l'Espace de votre âme,
l'espace qui vous est nécessaire pour que vous puissiez vous envoler,
l'Essence de l'énergie qui vous est nécessaire pour retrouver le Divin.
Je suis l'Incarnation de l'Amour,
la Force de l'Amour dans votre être.
Je suis l'Amour.
Je suis vous.
10:15 Publié dans Kabbale | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
27/07/2007
Echo Park
Dévoré et terminé ce soir l'avant-dernier polar de Michael Connelly mettant en scène l'inspecteur Harry Bosch : un pur chef d'oeuvre ! Il est trop fort ce Harry !
Ce roman marque le retour de Rachel Walling dans la vie du vieux flic de L.A : l'ex-profileuse du FBI, dont la carrière a été marquée par l'affaire du Poète ("Le Poète", "Los Angeles river"), l'accompagne dans son enquête et renoue sentimentalement, après plus d'une année passée sans aucun contact.
La fin du roman laissant planer quelques difficultés dans leur relation, j'ai hâte de lire "The overlook", pas encore paru en France (commandé sur Amazon.fr).
Le site http://michaelconnelly.free.fr donne un court résumé de ce prochain volume :
Harry est de retour au service des homicides. Il a 56 ans, fait équipe avec Ignacio Ferras et se voit confier une enquête sur la mort du docteur Stanley Kent. Ce dernier est retrouvé chez lui avec deux balles dans le crane. Harry Bosch débute son enquête jusqu'à l'arrivée... de Rachel dans l'affaire, pour le compte du FBI...
21:40 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Mamma Milla
Vu sur son site officiel www.millaj.com cette photo de Milla Jovovich prise le 16 Juillet dernier à Münich pour la promotion de Resident Evil : The exctinction. Le top attend une petite fille pour le mois de Novembre. On a hâte de connaître le prénom de cette future beauté...
13:45 Publié dans Fashion Icon | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Le voyage en Arménie
Profité d'être clouée au lit ce matin pour regarder ce long métrage de Robert Guédiguian, avec ses trois acteurs fétiches : Ariane Ascaride, Jean-Pierre Darroussin et Gérard Meylan. Trio sympathique que je retrouve pour la quatrième fois, après "Marius et Jeannette" (1997), "Marie-Jo et ses deux amours" (2002), et "Mon père est ingénieur" (2004). Cet opus raconte le voyage initiatique d'Anna, sur les traces de son père arménien, Barsam, qui s'est enfui dans son pays d'origine où il souhaite finir ses jours, après avoir pris soin de laisser derrière lui des indices lui permettant de le retrouver.
L'émotion était au rendez-vous, avec la pudeur et le réalisme qui caractérise le réalisateur renouant avec ses racines et quittant, à l'instar de Barsam, sa ville fétiche et terre d'accueil que représente Marseille, le temps d'un film.
11:45 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Rome
02:45 Publié dans Série culte | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Illusion d'optique
02:16 Publié dans Insolite | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Un jour à la fois
Devant diverses situations qui peuvent jalonner notre vie, deux attitudes sont possibles : le fatalisme ou l’acceptation. Même s’il semble y avoir une parenté entre ces deux options, elles sont diamétralement opposées. La première est l’attitude de celui qui se soumet docilement et courbe l’échine devant la difficulté, se persuadant que c’est la vie qui est ainsi faite et qu’il n’y peut rien changer. La deuxième est l’attitude de celui qui peut être momentanément écrasé, mais se relève et se tient debout devant la réalité. Le fataliste subit et se laisse éteindre, véritable suicide moral : celui qui accepte commence souvent pas se rebiffer puis, le temps aidant, décide de tirer parti de la situation, conscient que l’épreuve est un moyen de se connaître mieux pour approfondir et ensuite guérir. Il dit oui pour vivre. Certes, il est plus aisé de ne pas réagir et de renoncer à l’effort que de faire face à l’adversité. Dans le premier cas une certaine paresse ou une peur quelconque supposent toujours un bouc émissaire qui devra encaisser la responsabilité. C’est la vie ou c’est Dieu qui le veut, il faut se résigner. Tout est écrit et décidé d’avance. Tandis que l’acceptation commence souvent par la révolte, le refus de trouver normal ce qui nous apparaît comme une absurdité. C’est une attitude d’adulte, saine mais plus exigeante, dans laquelle entre le sentiment de sa propre dignité d’être humain. Aux heures de crises inévitables, on peut opposer une sorte de résignation souriante et stérile où l’on s’abandonne au fatalisme, parce que c’est plus facile, et sans jamais prendre la responsabilité de sa vie. Une force plus grande que nous, croit-on, tire des ficelles et nous fait avancer comme des marionnettes. Ou bien on ne voudra pas sortir de sa révolte. L’un cherche à fuir et ne s’atteindra jamais parce qu’il se leurre et leurre les autres par le fait même. Tandis que l’autre ne pourra être tenté de désespérer, si sa lucidité ne lui en fait voir que l’aspect « non-sens » de la situation et l’empêche de prendre conscience de la force qui est en lui. « Le fatalisme est une défaite déguisée en victoire pour soi et pour les autres. » « L’acceptation est une conquête de soi qui a d’abord pris des allures de défaite. » "Réussir sa vie, c'est ne pas regretter le passé, être content du présent et ne pas avoir peur de l'avenir. La vie est faite de moments de bonheur qu'on ne peut oublier et de malheurs qu'on ne peut ignorer" |
02:00 Publié dans Développement personnel | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Air Art : Aérolite
Vu la vidéo du spectacle réalisé par le plasticien Xavier Veilhan et le groupe Air. Pièce de musique originale, pour Koto (harpe japonaise) et synthétiseurs, Aérolite est un spectacle en apesanteur qui mêle musique, objets et lumières. Au centre d'un dispositif minimal, une météorite géante révèle à la fois les musiciens et la machinerie du spectacle.
http://blog.dmute.net/?2006/12
(Japan Airlines)
01:30 Publié dans Music and Light | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Haiku
01:04 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook