20/08/2007
Lebanese food
Cuisiné ce dimanche des mezze en souvenir de ma vie de créature libanaise :
1. Mtabbal (caviar d'aubergines)
Faire griller les aubergines au four jusqu'à ce que la peau soit cramée. Prélever la chair. Ajouter ail, cumin, sel, tahini (crème de sésame) et huile d'olive.
2. Kefta (brochettes de boeuf hâché)
Mélanger boeuf hâché, oignons, persil, cumin, sel, poivre. Former des brochettes en forme de doigts. Faire griller. Saupoudrer de sumac.
3. Koussa mehchi ateh (courgettes farcies)
Evider les courgettes. Farcir avec un mélange de riz, tomates, oignon et persil. Les faire revenir dans de l'huile d'olive, ajouter un peu d'eau, couvrir. A mi-cuisson, ajouter un filet de miel.
4. Leb coussa (Coeurs de courgettes)
Récupérer la chair des courgettes que l'on a évidées. La faire revenir avec de l'oignon hâché, poivre et une pincée de sucre. Excellent pour accompagner les grillades.
5. Riz aux vermicelles
Faire dorer le vermicelle dans un mélange beurre-huile d'olive-sel. Mélanger au riz et faire cuire à la vapeur dans l'autocuiseur.
6. Achta (crème de lait)
Mélanger de la ricotta avec de la crème fleurette. Saupoudrer de pistaches pilées.
(Yalla bye)
01:35 Publié dans Fooding | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
19/08/2007
Dîner chez Mukluk : Think thin Day One
Calculé le nombre de calories absorbées lors du barbecue de ce soir :
- 1 verre de Margaux : 105 calories
- 1 brochette d'agneau : 300 calories
- 1 merguez : 520 calories
- 1 portion de salade de roquette : 25 calories
- 1 assiette de glace vanille, chantilly et sorbet melon-framboise de chez Rey : 300 calories
Soit un total de 1240 calories + le repas de midi (339 calories) = 1579 calories. (soient 197 calories en trop /1382)
C'est clair (et évident), que la merguez était en trop ! (et c'était difficile de résister au dessert de chez Rey !!!)
18:30 Publié dans Think thin | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
18/08/2007
The Libertine
Relativement apprécié Johnny Depp en comte de Rochester, figure originale du 17e siècle anglais, qui fut à la fois philosophe et débauché, poète et provocateur, dont la grandeur et la décadence étaient contées dans ce film au casting intéressant : John Malkovich (King Charles II), la James Bond girl de "Demain ne meurs jamais" Rosamund Pike (également la soeur aînée de Keira Knightley dans "Orgueil et préjugés"), Kelly Reilly ("L'auberge espagnole", "Les poupées russes", "Mrs Henderson presents"), Samantha Morton ("Accords et désaccords", "Minority report", "Code 46"). La reconstitution historique était admirable, le chéri de Vanessa Paradis est véritablement "habité" par son personnage, mais son bavardage incessant et monotone, quoique très brillant, ainsi que l'ambiance glauque - bien que représentative de l'époque - finissent par agacer.
(Je, je, suis libertine, je suis une catin)
16:25 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Body sculpt

12:10 Publié dans Billet d'humeur | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook
Electric Hellfire Club
Speaking of Peter Murphy/Bauhaus à propos du film "Les prédateurs", trouvé ce remix de "Bela Lugosi's dead" encore plus batcave que l'original.
(White on white translucent black capes
Back on the rack
Bela Lugosi's dead
The bats have left the bell tower
The victims have been bled
Red velvet lines the black box
Bela Lugosi's dead
Undead undead undead
The virginal brides file past his tomb
Strewn with time's dead flowers
Bereft in deathly bloom
Alone in a darkened room
The count)
11:40 Publié dans Music and Light | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
American dreamz
Beaucoup ri en regardant cette parodie déjantée d'American Idol, réalisée par Paul Weitz (American Pie), dont l'humour souvent à la limite du débile n'exclut pas une vision féroce, cynique et subversive de la téléréalité américaine, ainsi qu'un propos nuancé sur le sujet délicat du terrorisme. Hugh Grant en fait des tonnes, on retrouve le cynisme de son personnage désabusé qu'il interprétait dans "Bridget Jones" et on adore son humour noir ; et Dennis Quaid, en Président des Etats-Unis totalement neuneu et téléguidé, nous livre une caricature de George W. Bush plutôt proche de la réalité. En outre, la famille irakienne américanisée (une image plutôt familière pour moi) était à hurler.
(24h sans chrono)
10:55 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Les enfants de la liberté
Fini cette semaine le dernier roman de Marc Levy : l'auteur passe à un registre beaucoup plus grave que ses précédents ouvrages, mais son style direct, simple et touchant est toujours aussi plaisant, en dépit de quelques formulations quelques peu inélégantes, qu'on lui pardonne aisément. L'hommage émouvant d'un fils à son père, Raymond Levy.
"On est tous l'étranger de quelqu'un."
" Jeannot, tu leur diras de raconter notre histoire, dans leur monde libre. Que nous nous sommes battus pour eux. Tu leur apprendras que rien ne compte plus sur cette terre que cette putain de liberté capable de se soumettre au plus offrant. Tu leur diras aussi que cette grande salope aime l'amour des hommes, et que toujours elle échappera à ceux qui veulent l'emprisonner, qu'elle ira toujours donner la victoire à celui qui la respecte sans jamais espérer la garder dans son lit. Dis-leur Jeannot, dis-leur de raconter tout cela de ma part, avec leurs mots à eux, ceux de leur époque. Les miens ne sont faits que des accents de mon pays, du sang que j'ai dans la bouche et sur les mains. "
« Ce 21 mars 1943, j'ai dix-huit ans, je suis monté dans le tramway et je pars vers une station qui ne figure sur aucun plan : je vais chercher le maquis.
Il y a dix minutes, je m'appelais encore Raymond, depuis que je suis descendu au terminus de la ligne 12, je m'appelle Jeannot.[...]
Alors voilà un petit bout de l'histoire de Charles, Claude, Alonso, Catherine, Sophie, Rosine, Marc, Emile, Robert, mes copains, espagnols, italiens, polonais, hongrois, roumains, les enfants de la liberté.[...]
Chahine attendait que le jour s'en aille pour échanger quelque mots. Il lui fallait probablement que les silences de la nuit l'entourent pour retrouver un peu de force. Ensemble dans ces silences, nous partagions un peu d'humanité.
Le père Joseph, l'aumônier de la prison, sacrifiait ses tickets de rationnement pour lui venir en aide. Chaque semaine, il lui apportait un petit colis de biscuits. Pour nourrir Chahine, je les émiettais et le forçais à manger. Il lui fallait plus d'une heure pour grignoter un biscuit, parfois le double. Epuisé, il me suppliait de donner le reste aux copains, pour que le sacrifice du père Joseph serve à quelque chose.
Tu vois, c'est l'histoire d'un curé qui se prive de manger pour sauver un Arabe, d'un Arabe qui sauve un Juif en lui donnant encore raison de croire, d'un Juif qui tient l'Arabe au creux de ses bras tandis qu'il va mourir, en attendant son tour ; tu vois, c'est l'histoire du monde des hommes avec ses moments de merveilles insoupçonnées."
"Et puisque la population se préparait à l’acclamer, ce Maréchal, il fallait sonner notre tocsin, réveiller les gens de cette peur si dangereuse, celle qui gagne les foules et les conduit à baisser les bras, à accepter n’importe quoi ; à se taire avec pour seule excuse à la lâcheté que le voisin fait de même, et que si le voisin fait de même, c’est donc ainsi qu’il faut faire. »
"C'est fou ce que l'on peut avoir comme imagination quand on a faim."
(Zazie dans le maquis)
(L'irrésistible légèreté d'écriture)
03:00 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Les 4 fantastiques
Retrouvé avec amusement Michael Chiklis/Vic McKay - The Shield, dans le rôle de Ben Grimm alias La Chose, lors de la diffusion de l'adaptation cinématographique du comic de Stan Lee, que mon frère et moi lisions allègrement lorsque nous étions enfants.
Le film retrace la génèse de ces super-héros avec humour, et les effets spéciaux sont particulièrement bien réussis.
(Marvellous flashback)
02:40 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Les prédateurs
02:10 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook