07/07/2007
Kate Moss & Pete le Panda : This is the end
Lu sur MSN hier : Après avoir appris que Pete Doherty l'avait trompée avec une sud-africaine nommée Lindy, rencontrée dans une boîte de nuit londonienne, Kate Moss a fait charger dans un fourgon, un piano, des guitares, des tableaux et des valises toutes cabossées, appartenant au chanteur qui se trouvaient dans sa maison de St John's Wood, pour les acheminer vers une tour d'habitation à Hackney, à l'est de la ville.
Les deux amants terribles auraient passé un week-end très houleux, à tel point qu'au cours de la dispute Monsieur aurait même fracassé un cadre-photo. Un ami de la jeune femme a révélé : "C'est vraiment fini entre Kate et Pete. Elle a embauché de nouveaux agents de sécurité, il ne peut pas s'approcher d'elle. Elle est furieuse. Elle ne se laissera plus jamais ridiculiser comme ça. Elle peut être très jalouse et ne laisse aucun homme la tromper."
Dans le clan du rockeur, c'est une autre chanson qu'on fredonne. Pour ses amis, c'est lui qui a rompu : "Kate est en colère, elle est furieuse mais il l'obsède, et elle veut qu'il revienne. Il ne peut plus la supporter, il étouffe, c'est lui qui a voulu rompre."
(Je t'aime, moi non plus)
18:34 Publié dans People | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
03/07/2007
La saga des hommes-dieux
Fini cette semaine le sixième volume intitulé "Plus fort que le feu".
Celui-ci, comme tous les hommes-dieux, aime créer des univers de poche où l'impossible est la norme et où, au gré de sa fantaisie, il peut soumettre ses créatures à d'insupportables tortures.
Mais les choses évoluent au fil des millénaires. Orc le Rouge est revenu de tout. Il voudrait maintenant se rendre maître de la machine suprême, détruire tous les univers-jouets et en recréer un seul, dont il serait le maître unique.
Ce serait la fin de la liberté du monde et Kickaha sait ce qu'il lui reste à faire : annihiler la machine et massacrer le Seigneur maudit. Oui, mais comment ?
23:10 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Walk the line
Vraiment badé Joaquin Phoenix dans cette biographie du chanteur Johnny Cash et de sa compagne June Carter/Reese Witherspoon dont le menton m'insupporte (trop long). Moi qui déteste la country, j'ai dû me frapper tout le répertoire du couple tout au long d'un film qui a quand même obtenu le Golden Globe Award du meilleur film, du meilleur acteur et de la meilleure actrice. Et même si la reconstitution des années 50 et 60 était parfaitement maitrisée, j'avais l'impression de revoir "Ray", d'autant plus que les deux hommes étaient tous deux hantés par le décès brutal et prématuré de leur frère, traumatisme sans doute à l'origine de leur toxicomanie : une oeuvre cinématographique de facture classique, qu'on regarde juste pour s'enrichir culturellement, sans plus.
(La ballade de Johnny Jane June)
18:40 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Chromophobia
Adoré Kristin Scott-Thomas en épouse totalement flippée et compulsive d'un aristocrate anglais, répondant au prénom étrange de Iona, férue d'art contemporain et vivant dans une maison de rêve au design épuré et minimaliste (blanc, verre), dans ce film réalisé par Martha Fiennes, soeur de Ralph (qui interprète le rôle du prof d'art homo).
Se dégage une ambiance cold-chic (pas dans les prés) très réussie, le casting brillant (Ben Chaplin, Ian Holm, Penelope Cruz, Rhys Ifan...), dommage que le scénario soit un poil désordonné.
A voir absolument.
11:20 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Aphorismes affreux, Affres au jour le jour
Et cette terre anglaise fraîchement retournée... en retard de blairisme ces blaireaux du Labour
La rêverie revêt sa tenue d'Eve, les jeunes Werther crèvent comme ver de terre. (Benoît Jeantet - 23.06.07)
(London calling)
09:45 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
La maison du bonheur
Difficilement supporté Dany Boon, dans son premier film en tant que réalisateur, que j'ai regardé uniquement parce que j'aime bien Michèle Laroque. Un humour vraiment lourdingue, sur le thème du chantier catastrophe, des longueurs à un tel point qu'on est soulagé de voir arriver la happy end, seul intérêt d'un scénario totalement prévisible.
(à bas l'humour ch'ti)
(à bas la radinerie : pas feng shui)
00:25 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Aphorismes affreux, Affres au jour le jour : Générique
Adoré les deux blogs de Benoît Jeantet dont le style littéraire et poétique est absolument fabuleux : ce papa déblogueur, que mon blog fait rire, sous cape et tout (m'a-t-il dit dans un commentaire) est doté d'un humour caustique qui caractérise, hélas, peu de gens. L'atypisme et ce type de personnalité de la quatrième dimension est en voie de disparition. Et la verve joyeuse de ce cher et regretté Gainsbarre ne s'est malheureusement pas perpétuée à travers sa progéniture, tout juste apte à perpétrer quelques actes artistiques. Et lorsque Raymond Devos s'est éteint, les lumières de son esprit jongleur ont cessé d'illuminer nos visages qu'il régalait de ses jeux de mots labyrinthiques. Et André Manoukian nous pondra-t-il un jour un recueil de poésie philosophico-cosmique ?
- http://aphorismesaffreux.blogspot.com (Ceci est un blog éphémère qui s'offre corps et âme aux sciences confuses et à la sagesse confucéenne. Pas de panique, ce ne sont que des mots et des formules. 365 formules pour donner le change au jour le jour.)
Aphorisme du 13 Juin 2007 : Au début était le verbe...nous, on ajuste rajouté un sujet - La mort, c'est la vie en moins évident
- http://foodingpoesiesdujour.blogspot.com (Ces poésies sont platitudes de base plats élémentaires du jour Petites mains pour nains de jardin En cas mais rien que très quotidiens Formules à trois francs repas pour peau de balle d'euro Ces poésies sont platitude alimentaires plats légers du jour Jetées sur des bouts de nappe un peu de soupe et du repos.)
Bouts de poésie du 6 Mai 2007 :
Plats repassés de l'avant-veille
Les potages les garbures
Même soupe toujours pareille
Des potaches qui carburent
A ces saloperies à la salsepareille
Poésies du jour...
Le silence s'immisce
Assure sa main mise sur toutes les messes basses (...)
(...) Pauvre chochotte pleureuse déplorable
Chichitant devant son plat de pleurotes...
Poésies du jour
Gervaise Lantier lentilles au Gervita.
Le silence s'immisce
Se glisse inaperçu à part soi entre les nappes à carreaux
D'un bar tabac de banlieue où l'ennui tourne en rond...
(...)
Note de la Rédactrice du Blog : Tribute to the artist. That's all folks.
(Compte tenu du talent de certaines personnes qui me lisent et m'apprécient, je m'engage à ne pas toujours être une bloggeuse futile, frivole et fashion, à garder la spontanéité, la légèreté et la profondeur d'une âme pourfendant la peine par la dérision, à continuer à rêver d'une vie consacrée aux lettres et à la poésie. C'est la ouate)
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Nanny McPhee
Excellent divertissement pour petits et grands que ce conte de fées écrit et interprété par la disgracieuse mais néanmoins talentueuse Emma Thompson, que j'ai regardé la semaine dernière sur Canal +. J'ai eu le plaisir d'y retrouver le charmant Colin Firth, avec lequel elle avait partagé l'affiche de "Love actually" : habitué des comédies sentimentales (l'amoureux de Bridget Jones/Renée Zellweger, de Libby Reynolds/Kelly Preston dans "Ce dont rêvent les filles"), il incarnait également Vermeer dans "La jeune fille à la perle" aux côtés de la belle Scarlett Johannson, et je l'ai vu récemment dans une version télévisée d"Orgueil et préjugés". Pas vraiment mon style d'homme, mais vraiment un adorable gentleman anglais...
(Rêve d'un mec hyper raffiné mais pas coincé et pas métrosexuel)
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