L'ange du jour : Imamiah (Dieu élevé au-dessus de toutes choses)

Je suis la Force.
Je suis la Force d'Amour.
Je suis la Force se levant sur le monde.
Je suis la Douceur, la douceur ineffable de la Mère.
Je suis l'Origine,
l'Histoire qui fait l'Origine.
Je suis la Mémoire,
la Mémoire du Temps,
la Mémoire de Dieu,
la Mémoire de l'Amour.
Je suis le Regard,
le regard que la mère porte sur ses enfants.
Je suis la solitude,
la solitude d'être en son centre.
Je suis le Silence,
le Silence dans lequel toute chose trouve son origine.
Je suis la Force,
la Force de la Lumière créatrice,
la Force de la Lumière procréatrice.
Je suis l'Indulgence et la Persévérance.
Je suis la voix qui vous dit qui vous êtes,
ce que vous êtes.
Je suis la voix de votre âme et son messager.
Je suis la mémoire que vous portez depuis toute éternité.
Je suis la Force de l'Amour unie à la Vie.
Je suis l'Origine de toutes vies.
En moi, Dieu dépose Son germe,
Dieu dépose Sa pensée
et crée l'Univers.
Je suis le Son Primordial par lequel tout existe.
Je suis le Centre.
Je suis la Voie.
Je suis Dieu.

Apologie du sourire

Lu ce matin sur le site du Musée du sourire (www.museedusourire.com) ce texte de Sophie Calle.  Plasticienne, née en 1953 à Paris, elle mêle la photographe à une histoire - vécue ou fictionnelle. Globe-trotter, créatrice de jeux, elle définit « la règle du jeu du sourire » proposée par l'écrivain et ami Paul Auster dans un livre intitulé « Gotham Handbook ».
Les directives sont les suivantes : « Souris quand la situation ne l'impose pas. Souris quand tu es en colère, quand tu te sens très malmenée par la vie et vois quel effet ça fait. Souris à des inconnus dans la rue. New York peut être dangereuse, tu dois donc être prudente. Si tu préfères, ne souris qu'à des femmes (les hommes sont des brutes, il ne faut par leur donner d'idées fausses). Souris néanmoins aussi souvent que possible aux gens que tu ne connais pas. Souris à l'employé de banque qui te donne ton argent, à la serveuse qui t'apporte ton repas, à la personne assise en face de toi dans le métro. Vois si l'un d'eux te sourit en retour. Comptabilise le nombre de sourires qui te sont adressés chaque jour. Ne sois pas déçu que les gens ne te rendent pas ton sourire. Considère chaque sourire que l'on t'adresse comme un cadeau précieux. »
Extrait : New York, le 22 Septembre 1994 : Ce jour-là, 28 sourires ont été donnés, 13 reçus, 4 sandwiches acceptés, 1 refusé, et 1 paquet de cigarettes accepté.

(Souris, souris, souris, souris, souris-moi)

Z plage

Profité aujourd'hui d'un déplacement professionnel à Nice pour déjeuner au restaurant de l'hôtel Martinez à Cannes avec mon assistante : un pur moment de volupté.

Nous nous sommes régalées d'une brochette de tataki de thon au curry, et pour ma part, d'une délicieuse tulipe de fruits frais sur un petit lit de mascarpone, accompagnée d'un sorbet à la menthe glaciale.

(Palace Bitch)

 

Illusion d'optique du jour

Centre en mouvement

Courtney Love by Hedi Slimane

(Rock Widow)

Be capricious

Découvert le "Art-zine" Capricious sur Black Tie, et aimé le style de ces deux photographes suédoises.

(Hanna Liden is a Swedish born photographer who has been living in New York for the past four or five years. She interprets Nordic myths in a gruesome, contemporary way. She was born in Seventy-Six.)

(Louise Enhörning. She’s based in Stockholm. She’s quite young. I’ve seen her work in Sweden many times, in alternative Swedish magazines. For me, this series is very Stockholm, the birds, the swans the ducks the water, and the foggy iciness.?)

Amy Winehouse by Hedi Slimane

Vu sur http://www.hedislimane.com/diary

Rehab

Daft Punk by Hedi Slimane

Vu sur le blog de Pierre Jean (Black tie http://blacktie.hautetfort.com) les costumes des deux énergumènes électro, créés par celui qui a donné envie aux filles d'acheter du Dior Homme.

Et sur le site officiel du créateur, les photos de leur live du 17 Juin dernier :

http://www.hedislimane.com 

Heroes

Trouvé Ali Larter superbe sur cette photo vue sur le blog I'm not obsessed : j'ai continué cette semaine à suivre les épisodes de Heroes avec plaisir. (l'intrigue s'affine grâce aux flashbacks, pas comme celle de Lost, de plus en plus embrouillée)