27/07/2007
Rome
02:45 Publié dans Série culte | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Illusion d'optique
02:16 Publié dans Insolite | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Un jour à la fois
Devant diverses situations qui peuvent jalonner notre vie, deux attitudes sont possibles : le fatalisme ou l’acceptation. Même s’il semble y avoir une parenté entre ces deux options, elles sont diamétralement opposées. La première est l’attitude de celui qui se soumet docilement et courbe l’échine devant la difficulté, se persuadant que c’est la vie qui est ainsi faite et qu’il n’y peut rien changer. La deuxième est l’attitude de celui qui peut être momentanément écrasé, mais se relève et se tient debout devant la réalité. Le fataliste subit et se laisse éteindre, véritable suicide moral : celui qui accepte commence souvent pas se rebiffer puis, le temps aidant, décide de tirer parti de la situation, conscient que l’épreuve est un moyen de se connaître mieux pour approfondir et ensuite guérir. Il dit oui pour vivre. Certes, il est plus aisé de ne pas réagir et de renoncer à l’effort que de faire face à l’adversité. Dans le premier cas une certaine paresse ou une peur quelconque supposent toujours un bouc émissaire qui devra encaisser la responsabilité. C’est la vie ou c’est Dieu qui le veut, il faut se résigner. Tout est écrit et décidé d’avance. Tandis que l’acceptation commence souvent par la révolte, le refus de trouver normal ce qui nous apparaît comme une absurdité. C’est une attitude d’adulte, saine mais plus exigeante, dans laquelle entre le sentiment de sa propre dignité d’être humain. Aux heures de crises inévitables, on peut opposer une sorte de résignation souriante et stérile où l’on s’abandonne au fatalisme, parce que c’est plus facile, et sans jamais prendre la responsabilité de sa vie. Une force plus grande que nous, croit-on, tire des ficelles et nous fait avancer comme des marionnettes. Ou bien on ne voudra pas sortir de sa révolte. L’un cherche à fuir et ne s’atteindra jamais parce qu’il se leurre et leurre les autres par le fait même. Tandis que l’autre ne pourra être tenté de désespérer, si sa lucidité ne lui en fait voir que l’aspect « non-sens » de la situation et l’empêche de prendre conscience de la force qui est en lui. « Le fatalisme est une défaite déguisée en victoire pour soi et pour les autres. » « L’acceptation est une conquête de soi qui a d’abord pris des allures de défaite. » "Réussir sa vie, c'est ne pas regretter le passé, être content du présent et ne pas avoir peur de l'avenir. La vie est faite de moments de bonheur qu'on ne peut oublier et de malheurs qu'on ne peut ignorer" |
02:00 Publié dans Développement personnel | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Air Art : Aérolite
Vu la vidéo du spectacle réalisé par le plasticien Xavier Veilhan et le groupe Air. Pièce de musique originale, pour Koto (harpe japonaise) et synthétiseurs, Aérolite est un spectacle en apesanteur qui mêle musique, objets et lumières. Au centre d'un dispositif minimal, une météorite géante révèle à la fois les musiciens et la machinerie du spectacle.
http://blog.dmute.net/?2006/12
(Japan Airlines)
01:30 Publié dans Music and Light | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Haiku
01:04 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Weeds
00:58 Publié dans Série culte | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Masters of Horror
Enchainé l'épisode 6 avec le 9, dans lequel l'acteur Martin Donovan (le mec de Mary Louise Parker/Nancy Botwin dans Weeds) est harcelé par le spectre de sa femme, qu'il a brûlée vive en profitant d'un accident de voiture dont ils avaient été victimes.
Scénario plutôt faible + scènes très gore = épisode peu captivant.
(Light my fire)
00:52 Publié dans Série culte | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Masters of Horror
00:22 Publié dans Série culte | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
26/07/2007
Haiku
19:31 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook