12/06/2007
Inspecteur Harry Bosch, le retour
Me suis demandé aujourd'hui si Michael Connelly avait sorti un nouveau roman, et vu sur le site http://michaelconnelly.free.fr qu'était paru "Echo park", son avant-dernier polar mettant en scène une nouvelle aventure d'Harry Bosch, au mois de Mai dernier ! Vais me précipiter dès demain dans la première librairie pour en faire l'acquisition (la fille totalement à cran), sachant qu'entre temps un autre roman consacré au célèbre flic californien a été édité aux USA, "The overlook", pas encore traduit en français. (2 ans qu'on attendait ça. Vais communiquer la nouvelle à Mukluk, autre inconditionnelle)
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La saga des hommes-dieux
Terminé de relire le quatrième opus de la passionnante série de Philip José Farmer, "Les murs de la Terre".
Le vrai danger, ce sont les entités créées par les Seigneurs et révoltées contre eux. L'une d'elles, passées sur Terre, risque d'y prendre le pouvoir et d'en servir comme base pour conquérir les univers à étages.
Mais la Terre est-elle vraiment "naturelle" ? N'a-t-elle pas été créée il y a quinze mille ans ? Parmi tous les univers de poche créés par les Seigneurs, y a-t-il un univers aîné ? Et quel effet cela fait-il d'avoir pour dulcinée la nièce de Dieu ?
Kickaha n'est pas au bout de ses peines.
Les étoiles n'existent pas...
Kickaha aurait voulu protester violemment. Il se sentait outragé. Mais il se contraignit à demander calmement : « Comment expliques-tu cela ? »
« L'espace-matière au-dela de l'orbite de Pluton est un simulacre, un simulacre relativement petit, je dois dire. »
« Et les effets de lumière provenant des étoiles ? Les nébuleuses ? Le déplacement vers le rouge ? La vitesse de la lumière et tout le reste ? »
« C'est un effet voulu qui donne toutes les illusions nécessaires. »
Ainsi, toute l'astronomie ultra-plutonnienne, toute la cosmogonie, toute la cosmologie — tout cela était faux.
« Mais pourquoi les Seigneurs ont-ils estimés nécessaire de créer un simulacre d'univers à expansion infinie avec ses trillions de corps célestes ?
Pourquoi ne se sont-ils pas contentés d'un ciel nu peuplé uniquement de la lune et des planètes ?
Pourquoi cette cruelle et absolue déception ?
Oh ! Pourquoi est-ce que je pose cette question ?
J'avais oublié un instant que les Seigneurs étaient des êtres cruels.»
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21/05/2007
Cosmos privé
Fini de relire le troisième volume de la saga des Hommes-Dieux cette semaine.
LES FAISEURS D'UNIVERS CONTRE LES VOLEURS D'ÂMES
Il n'est même pas un Seigneur, seulement un être humain qui a presque oublié la Terre, ce grand cauchemar gris. Mais il est Kickaha, le Rusé, il a mille tours dans son sac et il ne s'avoue jamais vaincu. Pourtant le voici en fuite ! Un danger souterrain, monstrueux, plane sur les cosmos de poche. Pendant dix mille ans, les voleurs d'âmes sont demeurés inertes. Et puis quelqu'un a découvert leur cachette. Le malheureux ! Un voleur d'âmes s'est aussitôt transféré dans son cerveau. Ensuite, il n'avait plus qu'à trouver d'autres corps pour héberger ses congénères. Ils ont abandonné sans regrets leurs cercueils de métal : les délices de la chair sont trop tentants. Maintenant, ils sont là, quelque part, dans l'univers à étages. Ils vont s'emparer des corps et les jeter après usage, les Seigneurs et les hommes. Mais Kickaha se révolte. Il est chez lui dans ce monde magnifique avec son ciel vert et ses animaux fabuleux. On va s'en apercevoir.
... elle avait l'impression que son cerveau avait été extrait de sa tête et placé dans un vide obscur et infini. Elle ne cessait de penser que si quelque chose arrivait à Kickaha, son esprit pourrait rester à jamais prisonnier.
Elle savait que si cela se produisait, elle deviendrait folle, et l'idée d'être démente à jamais la rapprochait un peu plus de la folie...
Paul Janus Finnegan, terrien projeté par les hommes-dieux dans les univers-jouets qu'ils ont créés pour se distraire, est devenu Kickaha. Seul humain chez les Seigneurs, il n'a contre eux qu'une seule arme : la ruse. Et le voici en fuite ! Un danger sournois, monstrueux, menace ces mondes factices... Les voleurs d'âme arrivent... |
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04/05/2007
Heroïc Fantasy, l'histoire continue
Dévoré dans la foulée le second volume de la saga, "Les Portes de la Création".
DANS LE LABYRINTHE DES UNIVERS
Une tornade hurlante s'empara de lui. Des ténèbres aveugles l'environnaient.
Il se sentit écartelé par des mains géantes.
Tout cela l'espace d'un étourdissant éclair.
Il avait de l'herbe à ses pieds. Au loin se découpait une végétation géante contre le rouge du ciel. Derrière lui était la mer, bleue.
Le ciel était uniformément lumineux, sans qu'aucun soleil fût visible.
Quelqu'un toussa derrière lui et il fit brusquement volte-face, vibreur au poing.
L'animal qui venait d'émerger se trouvait seulement à quelques mètres de lui. Il était accroupi à la manière d'un crapaud sur d'énormes pattes rondes et molles aux larges extrémités palmées.
Le cou était long et souple et surmonté d'une tête humaine. Mais le nez était plat et percé de deux fentes étroites. Des excroissances de chair rouge pendaient aux coins de la bouche. Les yeux étaient grands et verts.
Le crâne était couvert, comme le reste du corps, d'une fourrure bleu foncé à l'aspect huileux.
« Jadawin ! » dit la créature. « Jadawin ! Ne reconnais-tu pas ton propre frère ? »
Quel but démoniaque peut donc bien poursuivre Urizen, le Seigneur des Seigneurs, avec le rapt de Chryséis, la femme de son septième fils, Jadawin ? Jalousie, vengeance, représailles, guet-apens ? A la recherche de sa bien-aimée, Jadawin franchira les "portes" des mondes animaux, végétaux ou minéraux et découvrira bientôt tout ce qui le sépare de ses frères, les enfants d'Urizen. Car, à leur différence, Jadawin a connu la Terre, avec ses surpises et ses délices. Et c'est, comme Ulysse, un homme aux mille tours qui va affronter les pièges tendus par Urizen. D'ailleurs, le Dieu du Mal n'est-il pas désormais lassé de tout, même d'être immortel ?
Index thématique de l'univers des hommes-dieux, pour mieux comprendre l'univers de Thoan
Le Pandoogaluz d'Urizen :
" Tournoyante, elle flotta jusqu'au pied de son lit, au-dessus duquel elle s'immobilisa. C'était un pandoogaluz, un antique symbole de la religion à laquelle les Seigneurs avaient cessé de croire. En son centre brillait une lueur blanche. De chacune de ses six branches irradiait un rayon de couleur différente : rouge, orangé, azur, mauve, noir et jaune. Le coeur de l'étoile palpitait comme un soleil, et les rayons, tels des dards acérés, brûlaient ses paupières fermées. "
Le Pandoogaluz est un objet thoan rarissime dont les caractéristiques techniques n'est pas encore fournies. Il est pratiquement indécelable par les machines hyper sophistiquées thoannes dont regorgent les palais. Voisin d'un hologramme en apparence, il est toutefois capable d'agir sur les ondes électromagnétiques. La fonction du Pandoogaluz était à l'origine de pouvoir contacter un Seigneur d'un autre univers sans que celui-ci ne puisse se servir du messager pour retrouver " l'adresse " de l'émetteur. La transmission des données se fait par rayonnement électromagnétique de faible amplitude dans le cerveau du Thoan cible. Toutefois, certains vieux Thoans dont Urizen et Orc le Rouge ont amélioré le Pandoogaluz d'origine, le rendant susceptible de recevoir et de transmettre des informations. Quelques modèles sont même capables de véhiculer une porte thoanne. Néanmoins, plus des fonctions dites actives ; par opposition à la fonction passible qui consiste à émettre un message, seront utilisées, plus l'émetteur prendra le risque d'être repéré. Le Pandoogaluz est obligé d'emprunter une porte pour atteindre sa destination. Et chose extraordinaire, il est capable d'utiliser des portes à sens unique dans le sens habituellement interdit (ce qui a fait dire à de nombreux Thoans que le premier Pandoogaluz était l'oeuvre de Shambarimem). Toutefois, il ne peut véhiculer de porte à double sens, ni même de porte à sens unique ouvrable dans le sens utilisé par le Pandoogaluz pour se rendre à sa destination.
Exemple : Urizen le Maléfique expédie un Pandoogaluz dans le palais de Luvah, qui contient de nombreuses portes à sens unique. Le Pandoogaluz transporte une porte. Si la porte transportée peut permettre une ouverture dans le sens " Monde de Luvah vers Monde Urizen, elle ne peut en aucun cas s'ouvrir dans le sens " Monde d'Urizen vers Monde de Luvah ".
Le Pandoogaluz possède sept fonctions de base :
- l'émission d'un message vocal préenregistré.
- la transmission d'un message vocal du propriétaire du Pandoogaluz en direct.
- l'enregistrement d'une réponse.
- la réception d'un message vocal et sa transmission vers le propriétaire du Pandoogaluz en direct.
- l'hypnose.
- le transport d'une porte.
- l'ouverture d'une porte transportée.
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Heroïc Fantasy
Relu "Le faiseur d'univers", de Philip José Farmer, un roman découvert quand j'étais encore étudiante à Aix, je me souviens que c'était mon super pote Steph' dit "Tonton" ou "Uncle" qui m'avait conseillé de le lire et j'étais tombé complètement accro. J'ai reçu il a quelques semaines déjà le coffret réunissant tous les volumes de la saga des Hommes-Dieux (car depuis plusieurs années je ne parvenais pas à retrouver un des volumes, perdu au Tribunal un jour de longue attente, et je n'avais jamais lu les deux derniers volumes).
LA PORTE SUR UN AUTRE MONDE
Oserait-il l'ouvrir. Il était ridicule de rester ainsi pétrifié, comme privé de volonté ! Mais il était dans l'incapacité de bouger, il sursauta quand la trompe émit à nouveau ses sept notes plaintives. Le son lui parvenait à présent avec plus de force. Son coeur était un poing frappant à grands coups sa cage thoracique. Au prix d'un violent effort de volonté, il fit un pas en avant. Ses doigts agrippèrent la cannelure de cuivre et il poussa.
Les murs avaient disparu. Ils avaient cédé la place à un décor qu'il n'aurait pu imaginer. C'était comme une fenêtre ouverte par laquelle s'engouffrait la clarté du soleil. Des arbres qui ne pouvaient appartenir à la Terre bouchaient une partie du paysage. A travers les branches et les frondaisons, il appercevait un ciel d'un vert lumineux. Son regard s'abaissa vers le sol. Au pied d'un gigantesque rocher rouge et pailleté de quartz étaient massées six ou sept créatures de cauchemar...
Son odyssée commence de façon étrange, par l'apparition soudaine d'une ouverture au fond d'une vielle armoire, précédée d'une sonnerie de cor. A travers cette ouverture, Wolff aperçoit l'" incroyable ", une scène surréaliste dans un monde en apparence très différent de la Terre, un monde dont le ciel est d'un vert émeraude. Un homme rouquin et jovial, bien qu'encerclé par des humanoïdes d'apparence ignoble qui lui veulent visiblement du mal, le salue et lui envoie un objet bizarre, une sorte de trompe faite d'un métal inconnu, assez léger. Puis, l'ouverture se referme.
La trompe apporte à Wolff deux certitudes. La première et non la moindre concerne sa santé mentale. Il n'a pas bu et ne souffre pas d'hallucinations, la présence de cet objet le prouve. Ensuite, Wolff est à présent persuadé qu'un monde parallèle existe et qu'il peut y accéder grâce à l'étrange instrument de musique. N'étant pas homme à laisser passer une telle occasion, il ne tarde pas à passer dans cet autre univers. Un monde étrange l'attend, peuplé de créatures issues de la mythologie grecque, ce qui ne peut que ravir Wolff, fervent admirateur de la culture grecque antique. Toutes ces créatures sont jeunes physiquement, immortelles en âge, mais des milliers d'années dans un tel paradis, où tout n'est que jeu et plaisir, les a privées de volonté.
Il apprend rapidement que le monde est en fait une tour de Babel au sommet de laquelle habite celui qu'on nomme le Seigneur. Sous l'effet de l'eau de ce monde, Wolff rajeunit rapidement, jusqu'à retrouver un corps de 25 ans. Il finit néanmoins par se lasser de cette atmosphère un peu trop oisive jusqu'à ce qu'il rencontre une magnifique dryade appelée Chryséis. Le danger ne tarde alors pas à les rattraper. Les Gworls, ces êtres infâmes qu'il avait déjà aperçus auprès du rouquin et les Yeux du Seigneurs, des corbeaux intelligents, leur donnent la chasse. Les Gworls parviennent à s'emparer de la trompe et à capturer Chryséis. Wolff, laissé pour mort, est finalement sauvé par un zébrille, être simiesque au pelage rayé.
Le Terrien décide de gravir la gigantesque montagne menant à l'étage supérieur à la poursuite des ravisseurs. Avant qu'il n'ait pu accéder au deuxième étage de ce monde, il se retrouve prisonnier de gigantesques aigles géants intelligents et de leur reine, la démente harpie nommée Podarge. Il retrouve là Kickaha, le rouquin qui lui a lancé la trompe, prisonnier également de Podarge. La reine-harpie est prête à tout pour mettre à bas le Seigneur Arwoor, un usurpateur remplaçant Jadawin, créateur du Monde à Etages. Podarge hait intensément tous les Seigneurs pour lui avoir donné ce corps monstrueux, elle qui jadis était une femme magnifique. C'est pourquoi elle accepte de conclure un pacte avec les deux hommes pour l'aider à vaincre Arwoor.
Dès lors, Kickaha et Wolff vont affronter l'escalade vers les plateaux d'Amérindia, le préféré de Kickaha, puis de Dracheland et enfin d'Atlantide. Tout au long de leur pérégrinations, ils ne cessent de se chercher de nouveaux alliés et de faire face à de multiples dangers, dont les redoutables Hommes-Chevaux d'Amérindia et les furieux orages du plateau atlantéen. Ils parviennent à libérer Chryséis et finalement, une gigantesque armée, portée par les aigles de Podarge, s'envole vers le palais du Seigneur, sur le toit du monde. Après une intense bataille dont ses alliés et lui sortent vainqueurs, Wolff apprend avec stupeur qu'il n'est autre que Jadawin, véritable Seigneur du Monde à Etages, rendu amnésique à la suite d'un exil forcé sur la Terre. Il décide de réparer les horreurs qu'il avait pu commettre en tant que Seigneur et de ne plus imposer ses volontés aux mortels. Il laisse même à Arwoor une chance de s'enfuir. Mais Podarge rattrape le fugitif et le met à mort, tout en jurant qu'elle aura un jour la peau de Kickaha et Wolff qui lui ont menti sur leurs buts et leurs origines véritables.
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01/05/2007
Les enfants de la liberté
Lu dans le "Elle" que le nouveau roman de Marc Levy sortait le 4 Mai. L'écrivain y raconte son père, résistant.
Me suis connectée sur son site officiel où l'on peut découvrir la couverture et quelques phrases-clé : on reconnait bien le style très sentimental et frais de l'auteur, qu'on retrouvera avec plaisir.
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22/04/2007
Le hasard n'existe pas : recette magique pour trouver son âme soeur
Le hasard n'existe pas (K.O Schmidt)
Si tu souhaites un compagnon de vie selon ton coeur et qui te soit spirituellement proche, tourne alors ta puissance de désir non sur des faits extérieurs mais sur l'essence intérieure de ce que tu désires en complément harmonieux de ton être et en réalisation des espoirs les plus intimes de ton coeur.
Lorsque cette pensée sera devenue la représentation dominante du champ de ta conscience, le jeu du destin s'engagera à nouveau.
Par hasard, en apparence, et dans des circonstances que tu n'aurais pas imaginées auparavant, par le fait d'une occasion inattendue, tu entreras directement ou indirectement, par l'intervention de tiers, en relation avec l'être correspondant à ton idéal et, par hasard encore, ton désir aura coïncidé avec le tien.
Telle est l'action de la force d'attraction qui intervient, souvent de manière réciproque, en conséquence d'un désir affirmé avec foi et conduisant à la réalisation de celui-ci.
Plus tu affirmes avec intensité l'accomplissement de ton désir et ta confiance dans l'appui de ton Auxiliaire intérieur, plus forts sont ton courage et ta foi dans l'accomplissement de ton désir, plus sera parfaite la réalisation de ton idéal, quelle que soit l'opposition apparente des circonstances. C'est précisément ta fervente affirmation de la réalisation de ton désir et le droit imprescriptible qui t'a été conféré par l'Esprit de vie, qui écarteront les obstacles apparemment insurmontables et t'ouvriront la voie du succès.
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