Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

20/09/2009

Las Vegas 21

18920464.jpgBen Campbell, étudiant doué au prestigieux M.I.T., est contraint de partager son temps entre ses études et petits boulots afin de pouvoir payer ses frais de scolarité. Lorsqu'un groupe d'élèves aussi doués que lui le repère, ils lui proposent de participer à un jeu bien plus lucratif...
Tous les week-ends, cette petite bande de mathématiciens hors pair se rend à Las Vegas pour jouer au blackjack sous de fausses identités, avec des règles qui ne doivent plus rien au hasard. Guidés par le professeur et génie des statistiques Micky Rosa, ils ont compris comment prévoir les cartes et communiquer entre eux pour rafler de très grosses mises.
Séduit par l'argent facile, la vie de rêve et Jill, sa très belle équipière, Ben multiplie les défis. Les risques augmentent pourtant rapidement avec les mises, et les cartes ne restent pas longtemps son seul adversaire : il doit désormais se méfier de Cole Williams, le plus terrifiant des hommes de main des casinos.

Trop prévisible, ce film est néanmoins distrayant grâce à la présence de Kevin Spacey et Kate Bosworth.

16:38 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook

Next

18754455.jpgCris Johnson "Frank Cadillac" est le seul homme sur terre capable de visualiser deux minutes de son futur et de changer le cours des évènements. Il n'hésite pas à utiliser son pouvoir extrasensoriel en se faisant passer pour magicien ou médium dans un hôtel minable de Las Vegas pour arrondir ses fins de mois.
Alors que la sécurité des hôtels commence à soupçonner ses méthodes, l'agent du FBI Callie Ferris sait qu'il représente son unique chance d'empêcher une attaque terroriste imminente.
Très vite, Cris se retrouve devant un choix cornélien : sauver celle qu'il aime... ou le reste du monde. Sa réponse est quelque part... dans le futur proche.

Adapté du roman de Philip K. Dick, "l'homme doré", ce film met en scène Nicolas Cage, avec son air de chien battu habituel, la belle Jessica Biel (qui joue encore le rôle de la petite amie du magicien cf L'illusionniste) et la magnifique Julianne Moore, endossant à nouveau la casquette du FBI après avoir interprété Clarence Starling dans la suite du "Silence des agneaux".

A classer dans la catégorie "divertissant" / distrayant. Sans plus.

14:22 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook

17/08/2009

Deux soeurs pour un roi

18907682.jpgQuand la rumeur se répand que le roi Henry VIII (Eric Bana) ne partage plus la couche de la reine Catherine, son épouse incapable de lui donner un héritier mâle, Sir Thomas Boleyn rêve de gagner la faveur royale grâce à sa fille aînée, Anne (Natalie Portman). L'ambitieux projet de Sir Thomas est cependant quelque peu contrarié quand le roi s'éprend de son autre fille, Mary (Scarlett Johansonn).

Après avoir regardé la série des Tudors, j'étais très curieuse de voir ce film racontant l'histoire des soeurs Boleyn : si Eric Bana campe un roi beaucoup moins charismatique que le très sexy Jonahan Rhys-Meyer - et de loin - et que le récit semble raccourci et accéléré, ce qui est normal comparé aux détails que peut procurer une série, le jeu d'actrices de Natalie Portman et de Scarlett Johansonn était convaincant et intéressant, dans leur rivalité et leurs paradoxes. Dans la série, le rôle de Mary est totalement secondaire, et l'actrice qui l'incarne est complètement insipide. Kristin Scott-Thomas, dans le rôle de Madame Boleyn, trouve une place dans le film qui était inexistante dans la série, celle d'une mère aimante qui assiste, complètement désarmée, à la décadence de ses enfants, jusqu'à la fin tragique d'Anne et son frère, décapités, ca accusés d'inceste (motif qui n'est pas évoqué dans la série).La thématique de l'ambition dévorante, diabolique et tragique fait l'objet d'une mise en scène élégante, on apprécie la reconstitution historique de qualité.

Petit rappel historique :

Deuxième fils du roi Henry VII, Henry VIII (1491-1547) hérite du trône à la mort de son frère aîné Arthur. Succédant à son père en 1509, il a pour épouse Catherine d'Aragon (qui était auparavant la femme d'Arthur). Le couple a six enfants, mais une seule fillette, Marie Tudor, survit. Henry VIII n'a pas d'héritier mâle, et veut alors annuler le mariage avec Catherine, qui ne peut plus avoir d'enfant. Mais le Pape refuse cette désunion, ce qui conduit Henry VIII a se séparer de l'Eglise de Rome, afin de répudier Catherine d'Aragon et d'épouser une demoiselle d'honneur dont il est épris, Anne Boleyn. De leur union naîtra... une fille, la future Elizabeth 1ère. C'est finalement la quatrième épouse du Roi, Jane Seymour, qui lui donnera un fils, Edouard VI (1537-1553), dont le règne sera bref : il accède au trône à 9 ans, et décède sept ans plus tard, atteint de tuberculose. Ajoutons qu'Henry VIII aura encore deux autres épouses après Seymour...

Anne et Mary Boleyn, probablement nées respectivement en 1507 et 1508 (mais des doutes subsistent sur leurs années de naissance) sont élevées en partie à la Cour Française. Mary revient à 12 ans en Angleterre, où elle doit épouser un gentilhomme de la chambre royale, William Carey, avec qui elle a un enfant, à 16 ans, en 1524. Mais un an plus tard, elle commence à entretenir une liaison avec Henry VIII, et le deuxième enfant de Mary, Henry, né en 1526, a sans doute pour père Henry VIII. Mais celui-ci s'éprend rapidement d'Anne, rentrée en Angleterre en 1525. Celle-ci repousse ses avances et c'est seulement à partir de 1534 que les deux soeurs vont entrer en conflit, comme le raconte le film.

A voir également :

En 2003, soit cinq ans avant Deux soeurs pour un roi, la chaîne britannique BBC a produit un téléfilm basé sur le roman The Other Boleyn Girl. D'une durée de 90 minutes et d'un budget modeste, cette fiction interprétée par Jodhi May (Anna) et Natascha McElhone (Mary) remporta un joli succès.

10:45 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook

16/08/2009

L'orphelinat : histoire de fantômes espagnols

18888814.jpgLaura a passé son enfance dans un orphelinat entourée d'autres enfants qu'elle aimait comme ses frères et soeurs. Adulte, elle retourne sur les lieux avec son mari et son fils de sept ans, Simon, avec l'intention de restaurer la vieille maison. La demeure réveille l'imagination de Simon, qui commence à se livrer à d'étranges jeux avec "ses amis"... Troublée, Laura se laisse alors aspirer dans l'univers de Simon, convaincue qu'un mystère longtemps refoulé est tapi dans l'orphelinat...

Ca faisait longtemps que je n'avais pas regardé un aussi bon film d'horreur : ce n'est pas pour rien que "l'Orphelinat" a remporté de nombreux prix, tels que le Grand Prix et le Prix du jury Sci Fi du festival de Gerardmer, et 7 trophées dont celui du meilleur scénario aux Goyas où il avait été nominé 14 fois. Intrigue intéressante, sensations fortes assurées, on est complètement retourné par sa diabolique efficacité, entre moments d'angoisse parfaitement distillés et purs séquences de terreur. En outre, on est sensible à un mélange de peurs d'enfants et d'adultes qui alimentent la thématique du film, au gré des flashback retraçant la vie de Laura, orpheline, et Laura devenue mère.

19:59 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook

Mes amis, mes amours

18949743_w434_h_q80.jpgMathias (Vincent Lindon) et Antoine (Pascal Elbé), pères divorcés ayant la garde de leur enfant, décident de faire toit commun dans le quartier français de Londres. La vie s'organise, désordonnée, joyeuse, avec les enfants, mais aussi Sophie (Florence Foresti), la fleuriste secrètement amoureuse d'Antoine, Yvonne (Bernadette Lafont), la patronne fantasque du "bistrot français" qui couve son petit monde d'un regard maternel, et Mac Enzie, le chef d'agence d'Antoine, obstinément amoureux d'Yvonne en dépit de leur grande différence d'age... Entre Antoine, qui a appris à verrouiller ses émotions pour ne plus avoir à souffrir de p;ersonne, et Mathias, qui se laisse très vite submerger par les siennes, le quotidien n'est pas une sinécure. Et quand Mathias rencontre Audrey (Virginie Ledoyen), une ravissante journaliste de passage à Londres, ce bel arrangement de pères célibataires vole en éclats. Ce ne sont plus deux amis qui cohabitent, c'est un couple qui se déchire. Qui triche. Qui se réconcilie. Mais Audrey n'est pas une femme à qui l'on ment. En essayant maladroitement de protéger sa vie de couple avec Antoine, Mathias ne comprend pas que ne pas faire de choix, c'est prendre le risque de tout perdre. L'amitié de l'un, et l'amour de l'autre...

Moi, je dirai "Mes amis, mes amours, on s'emmerde" : l'adaptation par Lorraine Levy du roman de son frère Marc restitue difficilement la légèreté et la fraîcheur du récit initial, malgré un casting intéressant (sauf Florence Foresti, qu'on adore en tant que comique mais qui est à mon avis la plus grosse erreur de casting du film tant on imaginait une fille au moins aussi mignonne que Virginie Ledoyen).

Il est également dommage que la complicité des 2 enfants ne soit pas davantage restituée.

Comme quoi la magie des livres et de notre propre imagination ne sera jamais égalée par le cinéma...

19:37 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook

29/07/2009

Les noces rebelles

19027674.jpg18886486.jpg19020473.jpgDans l'Amérique des années 50, Frank et April Wheeler se considèrent comme des êtres à part, des gens spéciaux, différents des autres. Ils ont toujours voulu fonder leur existence sur des idéaux élevés. Lorsqu'ils emménagent dans leur nouvelle maison sur Revolutionary Road, ils proclament fièrement leur indépendance. Jamais ils ne se conformeront à l'inertie banlieusarde qui les entoure, jamais ils ne se feront piéger par les conventions sociales.
Pourtant, malgré leur charme et leur insolence, les Wheeler deviennent exactement ce qu'ils ne voulaient pas : un homme coincé dans un emploi sans intérêt ; une ménagère qui rêve de passion et d'une existence trépidante. Une famille américaine ordinaire ayant perdu ses rêves et ses illusions.
Décidée à changer de vie, April imagine un plan audacieux pour tout recommencer, quitter leur petite routine confortable dans le Connecticut pour aller vivre à Paris...

11 ans après "Titanic", le couple Di Caprio - Winslet se retrouve à l'écran, pour 2 longues heures de souffrance psychologique pour les personnages...mais aussi pour les spectateurs, malgré une esthétique et une reproduction d'époque impeccables.

17:33 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook

21/07/2009

Harry Potter et le prince de sang mêlé

19116952.jpgL'étau démoniaque de Voldemort se resserre sur l'univers des Moldus et le monde de la sorcellerie. Poudlard a cessé d'être un havre de paix, le danger rode au coeur du château... Mais Dumbledore est plus décidé que jamais à préparer Harry à son combat final, désormais imminent. Ensemble, le vieux maître et le jeune sorcier vont tenter de percer à jour les défenses de Voldemort. Pour les aider dans cette délicate entreprise, Dumbledore va relancer et manipuler son ancien collègue, le Professeur Horace Slughorn, qu'il croit en possession d'informations vitales sur le jeune Voldemort. Mais un autre "mal" hante cette année les étudiants : le démon de l'adolescence ! Harry est de plus en plus attiré par Ginny, qui ne laisse pas indifférent son rival, Dean Thomas ; Lavande Brown a jeté son dévolu sur Ron, mais oublié le pouvoir "magique" des chocolats de Romilda Vane ; Hermione, rongée par la jalousie, a décidé de cacher ses sentiments, vaille que vaille. L'amour est dans tous les coeurs - sauf un. Car un étudiant reste étrangement sourd à son appel. Dans l'ombre, il poursuit avec acharnement un but aussi mystérieux qu'inquiétant... jusqu'à l'inévitable tragédie qui bouleversera à jamais Poudlard...

C'est toujours un enchantement de retrouver l'univers créé par J.K ROWLINGS. Cet avant-dernier opus est plus noir, plus angoissant que les précédents, même s'il est ponctué de séquences humoristiques qui allègent l'atmosphère plombée par les forces obscures de Voldemort...

To be continued.

23:01 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook

19/07/2009

Le labyrinthe de Pan

18680999.jpgEspagne, 1944. Fin de la guerre.
Carmen, récemment remariée, s'installe avec sa fille Ofélia chez son nouvel époux, le très autoritaire Vidal, capitaine de l'armée franquiste.
Alors que la jeune fille se fait difficilement à sa nouvelle vie, elle découvre près de la grande maison familiale un mystérieux labyrinthe. Pan, le gardien des lieux, une étrange créature magique et démoniaque, va lui révéler qu'elle n'est autre que la princesse disparue d'un royaume enchanté.
Afin de découvrir la vérité, Ofélia devra accomplir trois dangereuses épreuves, que rien ne l'a préparé à affronter...

Chef d'oeuvre cinématographique mais d'un ennui mortel.

18661877.jpg18477337.jpg18865829.jpg

21:32 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook

09/06/2009

Anges et démons

19079652.jpgUne antique confrérie secrète parmi les plus puissantes de l'Histoire, les "Illuminati", qui s'était juré autrefois d'anéantir l'Eglise catholique, est de retour. Cette fois, elle est sur le point de parvenir à son but : Robert Langdon, expert en religions d'Harvard, en a la certitude.
Langdon a peu de temps pour comprendre ce qui se trame contre le Vatican et déjouer ces nouveaux crimes. Une course contre la montre et contre les tueurs qui démarre tel un jeu de piste : des églises romaines aux cryptes enfouies, des catacombes les plus profondes aux majestueuses cathédrales...
Pour l'aider à comprendre toutes ces énigmes, Langdon va rencontrer Vittoria Vetra, une scientifique aussi belle que mystérieuse.
Cette fois, il sait à qui il se confronte. Cette enquête diabolique est un piège, chaque secret est une clé, chaque révélation un danger...

Vu ce préquel du "Da Vinci code" (que j'avais détesté, pour de multiples raisons - zéro ambiance, Audrey Tautou sans aucun rapport avec le personnage du roman, Tom Hanks aussi vif qu'un lémurien...) : à part la joie divine de retrouver un Ewan McGregor en gentil prêtre, tout le reste n'est qu'un banal bien qu'honnête divertissement archéologico-policier : Robert Langmann, c'est finalement le Indiana Jones du Vatican.

16:12 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook