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02/04/2009

Les lois essentielles du décodage biologique

life_by_Hmop.jpg1. A l’origine de toute maladie, de tout mal être ou de tout problème comportemental se trouve un ou plusieurs évènements qui ont été vécus de façon traumatisante.

Les caractéristiques d’un évènement traumatique, appelé aussi conflit biologique , sont :

- sa soudaineté,

- l’absence de solution immédiate,

- est vécu dans une sensation d’isolement et d’absence de mots,

- porte atteinte à l’intégrité vitale de façon réelle ou

symbolique,

- génère un grand niveau de stress.

2. Psychisme, cerveau et organes sont en interaction constante. Chaque individu perçoit un évènement traumatique (ou conflit biologique) sur ces trois plans et de façon unique, compte tenu de son histoire de vie.

3. La gravité des symptômes organiques est proportionnelle à la quantité de stress contenu. L’autopsie de jeunes soldats a démontré un vieillissement prématuré du système nerveux et la présence de lésions organiques dues au stress (destruction de parties d’organes).

4. C’est en comprenant de quelle façon on a perçu et ressenti un évènement traumatique que l’on peut défaire sa somatisation.

5. En conséquence du point 4, si une somatique n’a pas disparu complètement c’est que le ressenti qui lui correspond n’a pas été complètement perçu, travaillé et résolu. Soit :

- à cause de l’émotion non exprimée,

- à cause d’évènements plus anciens de même nature non exprimés,

- à cause d’évènements transgénérationnels non exprimés.

6. C’est en faisant le tour avec détails des neuf langages de notre inconscient biologique que l’on peut se donner les moyens de « nettoyer » un ressenti.

7. Toute libération conflictuelle peut engendrer un réajustement du corps vécu quelquefois sous forme de maladie.

Ainsi, lorsque l’on se cogne, la réponse organique est : une forte douleur et un « bleu ». Si on court pendant longtemps, la réponse organique est : un épuisement et des courbatures. Douleurs, « bleu », épuisement et courbatures sont des réponses physiologiques normales.

Bien d’autres réponses sont possibles selon la nature de son ressenti. Lorsqu’on comprend ce qu’on a ressenti face à l’évènement conflictuel, les tissus organiques reviennent à une physiologie normale. Ce retour peut être perçu comme une maladie.

Attention, toutes les maladies ne sont pas forcément des libérations conflictuelles mais peuvent être au contraire l’expression d’un mal être actuel. Par exemple, je peux avoir de la fièvre pour exprimer un manque actuel de chaleur affective (tel le nourrisson qui, surpris par le départ de sa mère fait une montée de fièvre. Fièvre qui redescend comme par miracle lorsque sa mère revient… Quel parent n’a pas cette anecdote à raconter ?)

8. Bactéries, virus, champignons, parasites ont chacun des spécificités et des rôles à remplir dans le corps, soit pour aider notre organisme dans son processus de nettoyage, soit pour être regardés comme la manifestation d’un conflit.

9. Certains programmes de vie peuvent s’activer dans le corps à des moments précis qui sont reliés à des cycles cellulaires mémorisés. L’expression de ces programmes provient d’évènements plus anciens survenus à la même époque et dont le ressenti n’a pas été nettoyé.

10. L’âge, le sexe et les hormones sexuelles ainsi que sa latéralité (droitier ou gaucher) déterminent l’impact de l’évènement sur l’organisme.

11. Quelquefois, la succession de « petits » évènements est toute aussi traumatisante qu’un seul évènement et peut passer inaperçue aux yeux de l’environnement de la personne concernée.

L’enfant dont le sexe n’a par exemple jamais été accepté par son père vivra en conséquence une dévalorisation majeure concernant son identité sexuelle. Et pourtant, rien n’a peut-être été vraiment perceptible durant son enfance…

12. A degré égal de gravité, un évènement traumatique aura un impact largement amplifié sur un enfant qui est en phase de « construction » par rapport à l’adulte dont le système neurobiologique est abouti. Paradoxalement, l’adulte parle bien plus que l’enfant de qui vient de le traumatiser. De plus, l’adulte a tendance à oublier ses traumatismes d’enfance.

13. Répondant à un besoin d’amélioration constante qui est inhérent à toute vie humaine, l’inconscient biologique a toujours le désir de se manifester pour permettre la résolution de mémoires limitantes. Pour cela, il utilise tous les moyens possibles d’expression (cf. Les neuf langages biologiques)

Extrait de « Décodez votre sexualité » de P.Lévy

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