Le conflit est en l’homme. À moins qu’il ne soit résolu là, il ne peut être résolu nulle part ailleurs. La politique est en vous, entre les deux lobes de votre cerveau.
Un tout petit pont existe. Si ce pont est détruit par accident, par quelque défaut physiologique ou quelque chose d’autre, la personne devient divisée, la personne devient deux personnes – et le phénomène de la schizophrénie ou dédoublement de la personnalité se produit.
Si le pont est détruit – et le pont est très fragile – alors vous devenez deux, vous vous comportez comme deux personnes séparées. Le matin vous êtes très aimant, très charmant et le soir vous êtes très en colère, absolument différent. Vous ne vous souvenez pas de votre matinée… Comment le pouvez-vous ? Un autre mental fonctionnait en vous – et la personne devient deux personnes. Si ce pont est renforcé tant et si bien que ces deux « mental » se fondent en un seul, alors une intégration, une cristallisation émerge.
Ce que Georges Gurdjieff avait coutume d’appeler la cristallisation de l’être n’est rien d’autre que ces deux cerveaux devenant un, la rencontre du masculin et du féminin intérieur, la rencontre du yin et du yang, la rencontre de la gauche et de la droite, la rencontre de la logique et de l’illogique, la rencontre de Platon et d’Aristote.
27/11/2008
Carte Esprits de la Nature : Anemerial
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Cartes de l'enfant intérieur : L'étoile filante
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Carte blanche de l'inspiration
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Tarot de la transformation : Intérieur et extérieur
La Carte | La Signification |
1 | La première carte est placée au début de la ligne horizontale - et représente des évènements et circonstances récentes de votre vie. Elle peut aussi représenter les influences extérieures qui vous affectent ou votre question - et dont vous n´êtes pas totalement conscient |
2 | La deuxième carte est placée à la fin de la ligne horizontale et représente soit la direction que prennent les évènements extérieurs - ou les influences extérieures dont vous êtes conscient |
3 | La troisième carte est placée au pied de la croix et représente les influences intérieures ou qualitiés dont vous n´êtes pas vraiment conscient - en d´autres termes - les graines de transformation qui se preparent à prendre racine en vous |
4 | La quatrième carte est placée en haut - et indique la direction de croissance de votre conscience intérieure - ou de nouveau niveau de compréhension qui vous deviennent maintenant disponibles |
5 | La dernière carte est placée au centre - et représente la clé d´intégration des plans horizontal et vertical de votre vie. Elle peut aussi symboliser la compréhension intérieure sur laquelle il est important que vous travailliez en ce moment. |
Faire un miracle est grand, mais pas assez grand. Faire un miracle c'est toujours être dans le monde de l'ego. La vraie grandeur est si ordinaire qu'elle ne revendique rien; elle est si ordinaire qu'elle n'essaye jamais de prouver quoique ce soit.
Un homme vint voir Lin Chi et lui dit: "Mon maître est un grand médium. Que pouvez vous dire de votre maître ? Que sait-il faire, quelles sortes de miracles ?"
"Quels miracles votre maître a t'il fait ?" demanda Lin Chi.
"Un jour lui dit le disciple, il m'a dit d'aller de l'autre côté de la rivière et je suis resté là, debout, une feuille dans la main. La rivière était très large, plus d'un kilomètre. Il était debout sur l'autre rive et là il a commencé à écrire avec un stylo et ce qu'il écrivait est venu s'inscrire sur mon papier. Je l'ai vu moi-même, je suis témoin ! Que peut faire votre maître ?".
Lin Chi lui répondit: "Lorsqu'il a faim il mange, lorsqu'il a sommeil il dort".
L'homme lui dit: "Que racontez-vous là, vous appelez ça des miracles ? Tout le monde fait cela !".
"Personne ne le fait lui dit Lin Chi, lorsque vous dormez vous faites mille et une choses, lorsque vous mangez vous pensez à mille et une choses. Lorsque mon maître dort, il dort simplement, sans remuer, sans se retourner, sans même rêver. A ce moment rien d'autre n'existe que le sommeil et lorsqu'il a faim il mange. Il est toujours là où il est.
A quoi cela sert-il d'écrire d'un bord de rivière à l'autre ? C'est tout bonnement idiot. Seuls les gens idiots sont intéressés par ça. Quel est l'intérêt ?"
Quelqu'un vint voir Ramakrishna et lui dit: "Mon maître est un grand homme, il peut marcher sur l'eau."
"C'est idiot répondit Ramakrishna; je vais simplement chez le passeur et pour seulement deux centimes il me fait traverser de l'autre côté. Votre maître est un imbécile. Allez et faites lui prendre conscience qu'il ne devrait pas gaspiller sa vie. On peut le faire si facilement."
Mais le mental a toujours une envie de quelque chose. Le mental ne fait rien d'autre que désirer, désirer que quelque chose se passe. Parfois il pense à l'argent, avoir plus d'argent, avoir des maisons plus grandes, avoir plus de respectabilité, avoir plus de pouvoir politique. Et vous vous tournez vers la spiritualité mais le mental reste le même. Maintenant vous voulez avoir plus de pouvoirs psychiques, de télépathie, de voyance et toutes sortes de bêtises. Le mental ne change pas; vous voulez plus. Le même jeu continue.
À l'heure actuelle, c'est la télépathie, la voyance ou les pouvoirs psychiques; "si vous pouvez faire ceci, je peux faire mieux que ça. Je peux lire les pensées des gens à des milliers de kilomètres de distance".
La vie est en soi un miracle, mais l'ego n'est pas prêt à l'accepter. Il veut toujours faire quelque chose de spécial, quelque chose que personne d'autre ne fait, quelque chose d'extraordinaire.
15. La vigilance
Un jour juste avant que Gautama le Bouddha ne quitte son palais pour partir à la recherche de la vérité, sa femme avait mis au monde un enfant. Une histoire, si humaine, si belle...
Avant de quitter son palais il voulut voir au moins une fois le visage de son enfant, symbole de son amour pour sa femme. Il se rendit dans la chambre de sa femme; elle dormait et l'enfant était couché sous une couverture. Il voulut écarter la couverture et voir le visage de son fils car peut-être il ne reviendrait jamais. Il partait en pèlerinage vers l'inconnu. Il abandonnait tout; son royaume, sa femme, son enfant, lui-même, pour la quête de l'illumination. Quelque chose dont il avait entendu parler comme d'une probabilité, qui était arrivée autrefois à quelques personnes qui l'avaient recherchée.
Il était tout aussi assailli de doutes que n'importe lequel d'entre vous, mais l'instant de la décision était venu. Il était décidé à partir, mais le mental humain, la nature humaine... Il voulait juste voir, il n'avait même pas encore vu le visage de son propre enfant. Mais il avait peur, s'il soulevait la couverture, que sa femme Yashodhara se réveille et lui demande: "Que fais-tu dans ma chambre au milieu de la nuit ? Tu sembles prêt à partir".
C'était le moment du départ et il avait dit à son conducteur de char: "Attends-moi une minute, laisse-moi voir le visage de l'enfant, je ne reviendrai peut-être jamais". Mais il ne pouvait pas regarder de peur que Yashodhara s'éveille et ne se mette à sangloter et à pleurer: "Où vas-tu ? Que vas-tu faire ? Pourquoi ce renoncement ? Qu'est-ce que c'est que cette illumination ?" L'on ne sait jamais avec les femmes, elle pourrait réveiller tout le palais ! Son père viendrait et tout serait gâché. Alors il s'enfuit...
Au bout de douze ans, lorsqu'il fut illuminé, sa première action fut de retourner au palais pour demander pardon à son père, à sa femme et à son fils qui devait avoir douze ans. Il était conscient qu'ils pourraient être fâchés. Son père était très en colère. Ce fut le premier qu'il rencontra et pendant une demi-heure il injuria Bouddha. Soudain le père prit conscience qu'il n'arrêtait pas de parler et que son fils se tenait devant lui comme une statue de marbre, comme si rien ne l'affectait.
Le père le regarda et Gautama Bouddha lui dit: "C'est ce que je voulais. Je t'en prie sèche tes larmes et regarde-moi, je ne suis pas le même que celui qui a fui le palais. Ton fils est mort il y a longtemps. Je ressemble à ton fils mais ma conscience est différente. Regarde-moi seulement". "Je le vois" dit le père "depuis une demi-heure je t'injurie et c'est la preuve que tu as changé car je sais combien tu étais impétueux, tu n'aurais pas pu rester silencieux. Que t'est-il arrivé ?" Bouddha lui dit: "Je vais te le dire mais laisse-moi d'abord voir ma femme et mon enfant. Ils doivent attendre car ils doivent savoir que je suis revenu".
Et la première chose que sa femme lui dit fut: "Je vois que tu as changé. Ces douze années ont été pour moi une grande souffrance, non pas parce que tu étais parti, j'ai souffert parce que tu ne m'as rien dit. Si tu m'avais simplement dit que tu partais pour chercher la vérité, penses-tu que je t'aurais empêché ? Tu m'as profondément outragée. C'est la blessure que j'ai endurée pendant douze ans. J'appartiens aussi à la caste des guerriers, penses-tu que je sois faible au point d'avoir pleuré, hurlé et t'avoir empêché de partir ?
Durant ces douze années j'ai seulement souffert de ton manque de confiance. Je t'aurais permis, je serais venue te dire au revoir, je serais venue jusqu'au char. Avant tout je voudrais poser la seule question qui n'a pas quitté mon esprit pendant douze ans, quoi que tu aies trouvé… et il semble certain que tu aies trouvé quelque chose, tu n'es pas la même personne qui a quitté le palais, il émane de toi une lumière différente, ta présence est totalement neuve et épanouie, tes yeux sont purs et clairs comme un ciel sans nuage. Tu es devenu si beau… Tu as toujours été beau, mais cette beauté semble n'être pas de ce monde. La grâce est descendue sur toi. Ma question est: "Quoi que ce soit que tu as atteint, n'était-il pas possible de l'atteindre ici, dans le palais ? Est-ce que le palais empêche d'atteindre la vérité ?"
C'était une question extrêmement intelligente et Bouddha fut obligé d'approuver: "J'aurais pu l'atteindre ici mais à ce moment là je n'en avais aucune idée. Aujourd'hui je peux dire que j'aurais pu l'atteindre, ici dans ce palais; il n'était pas nécessaire d'aller dans les montagnes ni nulle part ailleurs. Je devais aller à l'intérieur et cela aurait pu avoir lieu n'importe où; ce palais était aussi bon que n'importe quel autre endroit, mais maintenant je peux le dire, a ce moment là je n'en savais rien.
Aussi, tu dois me pardonner, car ce n'est pas parce que je n'avais pas confiance en toi ou en ton courage; en fait je doutais de moi, si je t'avais vue t'éveiller et si j'avais vu l'enfant, j'aurais commencé à penser: "Que suis-je en train de faire ? Abandonner ma merveilleuse femme dont l'amour et le dévouement pour moi est sans limite et laisser mon enfant nouveau-né... Si je dois partir pourquoi lui ai-je donné la vie ? Je fuis mes responsabilités.
Si mon vieux père s'était réveillé c'eut été impossible pour moi. Ce n'était pas parce que je n'avais pas confiance en toi, en réalité c'était que je n'avais pas confiance en moi. Je savais qu'il y avait une hésitation, je n'étais pas totalement dans mon renoncement. Une part de moi disait: "Que fais-tu ?" Une autre disait: "C'est le moment, si tu ne le fais pas maintenant ça sera de plus en plus difficile. Ton père est sur le point de te couronner et lorsque tu seras roi ce sera beaucoup plus difficile".
Yashodhara lui dit: "C'était la seule question que je voulais te poser et je suis immensément heureuse que tu aies été totalement honnête en reconnaissant qu'on pouvait atteindre la vérité ici même; elle peut être atteinte n'importe où. Maintenant voici ton fils, ce petit garçon de douze ans qui demandait toujours après toi et je lui disais: "Attend, il reviendra, il ne peut pas être si cruel, si méchant, il ne peut pas être si inhumain. Un jour il reviendra. Peut-être que ce qu'il est allé réaliser prend du temps, mais lorsqu'il l'aura réalisé, la première chose qu'il fera sera de revenir".
Voici ton fils et je voudrais que tu me dises quel héritage tu lui laisses ? Qu'est-ce que tu as à lui donner ? Tu lui as donné la vie, quoi d'autre maintenant ?"
Bouddha n'avait que son bol de mendiant. Il appela son fils qui se nommait Rahul, le fit venir près de lui, lui donna son bol de mendiant et lui dit: "Je n'ai rien, je ne possède que ce bol; désormais j'utiliserai mes mains pour manger, pour mendier ma nourriture. En te donnant ce bol de mendiant je t'initie à sannyas, c'est le seul trésor que j'ai trouvé et j'aimerais que tu le trouves aussi". Puis il dit à Yashodhara: "Prépare-toi à faire partie de ma commune de sannyasins" et il initia sa femme.
Le vieil homme était revenu et regardait la scène. Il dit à Gautama Bouddha: "Pourquoi me laisses-tu de côté ? Ne veux-tu pas partager ce que tu as découvert avec ton vieux père ? Ma mort est proche… Initie-moi aussi". "En fait dit Bouddha, j'étais venu pour vous prendre tous avec moi, car ce que j'ai trouvé est un royaume plus grand encore, un royaume qui durera éternellement, qui ne peut pas être conquis. J'étais revenu pour que vous puissiez ressentir ma présence, prendre conscience de ma réalisation et pour vous convaincre de devenir mes compagnons de route".
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Tarot de la transformation : Conscience intuitive de soi
Carte | Signification |
A-1 B-1 | La première carte de chaque ligne représente les challenges et les opportunitées disponibles au mental - si vous faites ce choix. C´est la réponse à la question - "Quelle nouvelle compréhension ou créativité intellectuelle me deviendra disponible si je fais ce choix ?" |
A-2 B-2 | La deuxième carte représente les influences émotionelles émanants de chaque décision. Ce qu´il adviendra dans le monde des sentiments. |
A-3 B-3 | La troisième carte celle de la "manifestation" indique quels grands changements dans votre vie ou compréhension sont succeptibles de survenir comme conséquence de vos choix dans chacun des cas. |
1 | Lorsque vous avez vu les implications des deux alternatives - retournez la première carte pour une intuition de ce que pourrait être un " choix sans choix ". |
Alternative A
Celui qui s'attache aux questions se perd dans la jungle de la philosophie. Laissez les questions aller et venir. Regardez la foule des questions comme vous regardez les gens se déplacer dans la rue, rien à donner, rien à prendre, avec détachement et recul...
Plus il y a de distance entre vous et vos questions, mieux c'est, car c'est dans cet espace que surgira la réponse.
Un professeur de philosophie se rendit chez le maître zen, Nan-in, pour l'interroger sur Dieu, le nirvana, la méditation et beaucoup d'autres choses. Le maître écouta silencieusement les questions, les questions et les questions… puis il lui dit: "Vous semblez fatigué, vous avez gravi cette haute montagne et vous venez de loin, laissez-moi d'abord vous servir un thé". Le maître zen prépara le thé, le professeur attendit, bouillant de questions et pendant que le maître préparait le thé, que le samovar chantait et que l'arôme du thé se répandait, le maître dit au professeur: "Attendez, ne soyez pas si pressé, qui sait, la réponse à vos questions peut venir en buvant le thé... ou même avant".
Le professeur était désorienté, il commençait à penser: "Tout ce voyage a été inutile, cet homme semble fou. Comment ma question sur Dieu peut-elle trouver réponse en buvant du thé ? Quel rapport y a t'il ? Mieux vaut partir d'ici au plus tôt". Toutefois, il se sentait fatigué et boire une tasse de thé avant de redescendre la montagne serait une bonne chose.
Le maître apporta la théière, versa du thé dans la tasse, puis continua à verser. La tasse était pleine et commençait à déborder dans la soucoupe mais il continuait à verser; à son tour la soucoupe fut pleine. Juste une goutte de plus et le thé commencerait à se répandre sur le sol. Le professeur s'exclama: "Arrêtez, que faites-vous ? Êtes-vous fou ou quoi ? Ne voyez-vous pas que la tasse et la soucoupe sont pleines ?"
Le maître zen répondit: "Vous êtes exactement dans cet état, votre esprit est si plein de question que même si j'y réponds vous n'aurez aucune place pour recevoir ma réponse. Toutefois, vous semblez être un homme intelligent et vous pouvez comprendre que la tasse et la soucoupe ne pouvaient pas contenir une seule goutte de thé de plus sans qu'il ne commence à déborder et verser sur le sol. Depuis que vous êtes entré dans cette maison vos questions débordent de partout; elle est petite mais pleine de vos questions ! Rentrez chez vous; videz votre tasse et revenez. Créez d'abord un peu d'espace en vous".
Ne cherchez pas trop à être utile. Rappelez-vous plutôt constamment que vous n'êtes pas ici dans la vie pour devenir un produit, vous n'êtes pas ici pour devenir une utilité, ce qui serait indigne. Vous n'êtes pas seulement ici pour devenir de plus en plus efficaces; vous êtes ici pour devenir de plus en plus vivants, vous êtes ici pour devenir de plus en plus intelligents, pour devenir de plus en plus heureux, heureux jusqu'à l'extase.
Lao Tzu voyageait avec ses disciples et ils arrivèrent dans une forêt où des centaines de bûcherons coupaient les arbres car on construisait un grand palais. Presque toute la forêt avait été coupée mais un arbre était debout, un grand arbre avec des milliers de branches, si grand que dix mille personnes auraient pu s'asseoir sous son ombre.
Lao Tzu demanda a ses disciples d'aller s'informer pourquoi cet arbre n'avait pas encore été coupé, alors que la forêt entière avait été coupée et réduite à l'état de désert.
Les disciples allèrent demander aux bûcherons: "Pourquoi n'avez-vous pas coupé cet arbre ?"
"Cet arbre est absolument inutile dirent les bûcherons. On ne peut rien en faire car chaque branche est pleine de noeuds, rien n'est droit. On ne peut pas en faire de piliers, on ne peut pas en faire des meubles et on ne peut pas l'utiliser comme combustible car sa fumée est si dangereuse pour les yeux que vous pourriez presque devenir aveugles. Cet arbre est absolument inutile, voilà pourquoi."
Lorsqu'ils revinrent, Lao Tzu se mit à rire et leur dit: "Soyez comme cet arbre, si vous voulez survivre dans ce monde, soyez comme cet arbre, absolument inutile; ainsi personne ne vous nuira.
Si vous êtes droits vous serez coupés, vous deviendrez des meubles dans la maison de quelqu'un. Si vous êtes beaux vous serez vendus au marché, vous deviendrez un produit. Soyez comme cet arbre absolument inutile; alors personne ne pourra vous nuire et vous deviendrez immenses et des milliers de gens s'abriteront sous votre ombre.
Lao Tzu à une logique entièrement différente de celle de votre mental. Il dit: "soyez le dernier, vivez dans le monde comme si vous n'existiez pas. Demeurez inconnu, n'essayez pas d'être le premier, ne soyez pas en compétition, n'essayez pas de prouver votre valeur, ce n'est pas la peine. Soyez inutiles et réjouissez-vous".
Bien sur ce n'est pas commode mais si vous le comprenez vous constaterez qu'au fond, au plus profond, c'est plus facile; parce que la vie est faite pour célébrer et se réjouir, la vie ne doit pas devenir une utilité. La vie est plus comme de la poésie que comme un produit sur le marché; elle devrait ressembler à de la poésie, à un chant, à une danse.
Lao Tzu dit: "Si vous essayez d'être très intelligents, si vous essayez d'être très utiles, vous serez utilisés. Si vous essayez d'être très efficaces, d'une manière ou d'une autre vous serez exploités par le monde parce que le monde ne peut pas laisser tranquille un homme efficace. Laissez tomber toutes ces idées. Si vous voulez être un poème, une extase, oubliez alors l'utilité. Restez vrais à vous-même".
Jésus alla visiter la maison de Marie Madeleine. Marie était profondément amoureuse; elle versa du parfum très précieux sur ses pieds, le flacon entier. C'était un parfum rare; on aurait pu le vendre et Judas fit immédiatement remarquer: "Vous devriez interdire aux gens de faire de telles bêtises. C'est du gaspillage et il y a de pauvres gens qui n'ont rien à manger. Nous aurions pu distribuer cet argent aux pauvres !"
Que répondit Jésus ? Il dit: "Ne t'inquiètes pas de cela. Les pauvres et les affamés seront toujours là, moi je ne serai plus là. Tu pourras toujours les servir, rien ne presse, mais moi je ne serai plus là. Regardes l'amour et non pas le parfum précieux. Regardes l'amour de Marie, son cœur".
Alternative B
Soyez vigilant. Chaque moment doit être vécu comme si c'était le dernier, il est fort possible que ce soit le dernier ! Aussi, vivez-le totalement, retirez-en la quintessence. C'est dans cette totalité que vous serez vigilant.
Quoique vous fassiez, faites le avec une profonde vigilance, alors même les petites actions deviennent sacrées. Faire le ménage ou la cuisine devient sacré, devient adoration. Il n'est pas question de ce que vous faites, la question est comment vous le faites. Vous pouvez nettoyer le sol comme un robot, mécaniquement; vous devez le faire, aussi vous le faites; mais vous passez alors à côté de quelque chose de beau. Nettoyer le sol aurait pu être une grande expérience; vous l'avez manquée. Le sol est propre mais quelque chose qui aurait pu se passer en vous ne s'est pas passé. Si vous aviez été conscient et vigilant, non seulement le sol, mais vous même auriez également ressenti un profond nettoyage.
Nettoyez le sol avec une profonde vigilance, lumineux de vigilance. Travaillez, soyez assis ou marchez, mais une chose doit être un fil continu; ayez de plus en plus de moments de votre vie lumineux de vigilance. Laissez la bougie de la vigilance brûler dans chaque moment, dans chaque acte. L'effet cumulatif est ce que l'illumination est. L'effet cumulatif, tous les moments ensemble, toutes les petites bougies ensemble, deviennent une grande source de lumière.
La dévotion est un moyen de se fondre, de se dissoudre dans l'existence. Ce n'est pas un pèlerinage, c'est simplement laisser tomber toutes les frontières qui vous séparent d'avec l'existence; c'est une histoire d'amour. L'amour est une fusion avec un individu, une profonde intimité de deux cœurs, si profonde que ces deux cœurs se mettent à danser dans une même harmonie. Bien qu'il y ait deux cœurs, il y a une seule harmonie, une seule musique, une seule danse.
Ce que l'amour est entre deux individus, la dévotion l'est entre un individu et l'existence entière. Il danse avec les vagues de l'océan, il danse dans les arbres frémissant au soleil, il danse avec les étoiles. Son cœur répond au parfum des fleurs, au chant des oiseaux, au silence de la nuit.
La dévotion est la mort de la personnalité. Ce qui est mortel en vous, vous le lâcher de votre plein gré; seul demeure ce qui est immortel, ce qui est éternel, impérissable. Et bien sûr l'immortel ne peut pas être séparé de l'existence qui elle est immortelle, qui s'écoule sans fin, qui ne connaît ni commencement ni fin. La dévotion est la forme la plus élevée de l'amour.
Vous savez que Jésus a dit: "Dieu est amour". Si cela avait été écrit par une femme, elle aurait écrit: "L'amour est Dieu". Dieu est nécessairement secondaire, c'est une hypothèse du mental, alors que l'amour est une réalité qui bat dans chaque coeur.
Il y a eu des gens comme Meera... mais seules des femmes très courageuses ont pu réussir à sortir du système social répressif. Elle a pu le faire parce qu'elle était reine, quoique sa propre famille essayât de la tuer parce qu'elle chantait et dansait dans les rues. Sa famille ne pouvait pas l'accepter. En particulier en Inde et au Rajasthan la femme est très réprimée. Et une femme de la beauté de Meera, dansant dans les rues en chantant joyeusement...
Il y avait un temple à Vrindavan où Krishna avait séjourné. On avait construit un magnifique temple à sa mémoire et les femmes n'avaient pas le droit d'y rentrer. Les femmes étaient autorisées sur le pourtour, à l'extérieur, à toucher les marches du temple. Elles n'avaient jamais pu voir la statue de Krishna à l'intérieur car le prêtre était inflexible.
Lorsque Meera arriva, le prêtre eut peur qu'elle veuille entrer dans le temple et il plaça à la porte deux hommes armés, l'épée nue à la main pour l'en empêcher. Mais lorsqu'elle arriva - ces êtres là sont si rares... une brise si parfumée, une si belle danse, un chant dont les paroles contenaient ce qu'aucun mot ne peut contenir... - les deux gardes oublièrent pourquoi ils étaient là et Meera dansa dans le temple.
C'était le moment pour le prêtre de vénérer Krishna; son plat plein de fleurs tomba sur le sol lorsqu'il la vit...
Il était fou de colère et lui dit: "Tu as violé une règle vieille de plusieurs siècles".
"Quelle règle ?" demanda t'elle.
"Aucune femme ne peut entrer ici" dit le prêtre.
Et pouvez-vous imaginer la réponse ? C'est courageux… Meera lui dit: "Alors comment es-tu entré ici ? Excepté un seul être, le bien aimé, l'Ultime, tout le monde est une femme. Penses-tu qu'il y ait deux hommes au monde, toi et l'Ultime ? Oublie ce non-sens". Elle avait évidemment raison; une femme pleine d'amour regarde l'existence comme son bien aimé et l'existence est Une.
Le choix sans choix
Le philosophe, le mystique et l'orage
Un éclair n'illumine pas votre chemin, il ne remplacera pas une lampe dans votre main; il vous donne seulement un flash, une vision fugitive de la route devant vous. Mais cet unique aperçu est très précieux; maintenant vos pas sont assurés, votre volonté est forte, maintenant votre résolution d'atteindre votre destination est renforcée. Vous avez vu la route, vous savez qu'elle est là et vous n'errez pas sans but.
Un éclair et vous avez un aperçu de la route sur laquelle vous devez voyager ainsi que du temple, la destination de votre voyage.
J'ai entendu parler de deux hommes qui s'étaient perdus dans une forêt par une nuit noire. Un des hommes était un philosophe et l'autre était un mystique. C'était une forêt très dangereuse, très dense, obscure et pleine d'animaux sauvages. Un orage éclata soudain, les nuages s'éventrèrent, il y eut un gigantesque éclair.
Le philosophe regarda le ciel, le mystique regarda le chemin. Au moment de l'éclair le chemin s'illumina devant eux. Le philosophe regarda l'éclair et se demanda: "Qu'arrive t-il ?" et il manqua le chemin.
Vous êtes perdu dans une forêt plus dense que celle de l'histoire. La nuit est plus sombre, parfois un éclair luit, regardez le chemin.
Un Tchuang Tzu est l'éclair, Bouddha est l'éclair, je suis l'éclair. Ne me regardez pas, regardez le chemin; si vous me regardez vous avez déjà perdu, parce que l'éclair ne continuera pas. Il ne dure qu'un instant et l'instant est rare où l'éternité pénètre le temps; c'est comme un éclair.
Si vous regardez l'éclair, si vous regardez un bouddha et un bouddha est superbe, son visage fascine, ses yeux sont magnétiques; si vous regardez un bouddha, vous avez manqué le chemin. Regardez le chemin, oubliez le bouddha.
Regardez le chemin et faites quelque chose, suivez le chemin, agissez. La pensée ne vous guidera pas, seulement l'action, car la pensée se passe dans la tête. Cela ne peut jamais être total; ce n'est total que lorsque vous agissez. Intéressez-vous à la vie ! La vie est la seule chose réelle. Ne continuez pas à vous informer sur ce qu'est la méditation. Méditez ! Ne continuez pas à vous informer sur ce qu'est la danse; il y a des encyclopédies sur la danse, mais tout cela ne veut rien dire si vous ne dansez pas.
Jetez toutes ces encyclopédies ! Désencombrez-vous du savoir et commencez à vivre et lorsque vous commencez à vivre, alors les choses les plus ordinaires se transforment en beautés extraordinaires. Juste de petites choses, la vie consiste en petites choses; mais lorsque vous y apportez la qualité d'un amour intense et passionné, elles sont transformées, elles deviennent lumineuses.
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Conclusion :
Alternative A
Challenge : faire le vide
Emotionnel : Etre utile n'est pas forcément utile
Synthèse : On ne compte pas quand on aime
Alternative B
Challenge : la vigilance
Emotionnel : l'illumination par la vigilance
Synthèse : La dévotion dans l'amour
Le choix sans le choix
Etre dans l'action et vivre l'amour intense et passionné.
Donc avoir la foi.
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Réseau Couleur Energie
Cette couleur raconte ce que vous êtes en train de vivre en ce moment. Elle précise ce qui se passe et la façon dont vous le gérez.
Indigo Mature matière
C’est vous qui tenez les ficelles et vous savez très bien ce que vous voulez. Personne ne pourra prendre une décision à votre place ou sans votre accord. Vous n’entreprenez rien qui ne soit réfléchi, mûri en votre âme et conscience, afin d’être sûr d’atteindre le but. Centré, non perturbé par les facteurs externes, vous avez une perception du monde bien à vous, vous êtes persuadé que vos désirs deviendront, tôt ou tard, réalité. Vous savez quantité de choses sans avoir eu besoin de les apprendre. Seuls, ceux qui sont en recherche, peuvent arriver à vous comprendre. Enfant indigo, vous êtes tombé très tôt dans la marmite de la connaissance de soi !
Cette couleur vous informe des moyens qui sont à votre disposition et ce que la vie vous recommande de saisir comme circonstance favorable en ce moment.
Gris Souris lumière
L'heure est au grand nettoyage d’idées fixes qui agrémentent votre façon de penser et vous entretiennent dans l’illusion. Le seul responsable est votre mental. Pour avoir une chance d’échapper à son emprise, vous devrez accepter de voir comment il s’y prend pour vous mener en bateau, vous raconter des histoires, vous tracer des plans auxquels vous croyez. Pour démasquer le mental, il faut lui tendre un piège. Mettez-vous à penser à quelqu’un ou à une chose, objet de désir. Voyez les émotions et les pensées se réveiller et s’emparer du rêve. Avez-vous remarqué, les idées auxquelles vous pensez paraissent vraies alors qu’elles n’ont pourtant rien de réel, aucune n’est fondée !
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26/11/2008
Gossip Girl
"Bienvenue dans l'Upper East Side, le quartier chic de New York, où mes amis et moi vivons, allons en cours, nous amusons, dormons - parfois ensemble. Nous habitons tous dans des appartements immenses (...), nous avons un accès illimité à l'argent (...) et à tout ce que nous voulons. Et comme nos parents sont rarement à la maison, nous avons pas mal d'intimité. Nous sommes intelligents, avons hérité d'une beauté classique, portons des vêtements fabuleux et savons faire la fête. C'est une vie de luxe mais il faut bien que quelqu'un la vive."
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25/11/2008
Réseau Couleur Energie
Cette couleur raconte ce que vous êtes en train de vivre en ce moment. Elle précise ce qui se passe et la façon dont vous le gérez.
Nacre lumière
Vous êtes un négociateur qui sait peser le pour et le contre, voir les choses du bon côté quelles que soient les circonstances. Votre vision globale et détaillée des événements est une ruse dont vous savez faire usage à tout moment, pour ne pas vous camper dans une position plutôt qu’une autre. Aucune vérité n’est vraiment bonne à dire, car toutes sont relatives. Le danger n’étant pas de les entendre mais d’y croire. Rien n’est absolu. Vous voyez au-delà des apparences ce que tout le monde ignore. Vous ne vous prononcez qu’à la demande, si vous voyez l’intérêt de dire ce que vous distinguez. Sinon, vous vous contentez de souffler à mi-mots quelques allusions, jamais orientées !
Cette couleur vous informe des moyens qui sont à votre disposition et ce que la vie vous recommande de saisir comme circonstance favorable en ce moment.
Indigo Franc / lumière
Vous êtes en train de revivre une scène de votre vie que vous connaissez par cœur. Il y a un dominant et un dominé, une victime et un bourreau et au milieu une cible, un bouc émissaire. Ils ne peuvent pas vivre l’un sans l’autre. Lequel des deux rôles seriez-vous capable de désamorcer le premier ? En arrêtant de jouer la victime ou le dominé vous ne donnerez plus de prise ni de pouvoir au bourreau qui cherche à vous faire endosser toute la responsabilité. En arrêtant d'être bourreau, dominant, vous arrêterez de projeter ce qui ne va pas en vous, sur l’autre. Se connaître, n’est-ce pas mettre en lumière de simples vérités qui empoisonnent la vie tant qu’elles ne sont pas désactivées !
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Tarot zen : la relation
Carte | Position | Signification |
Première | En haut à gauche | Vous et ce que vous contribuez à la relation ici et maintenant |
Deuxième | En haut à droite | L´Autre - Sa contribution à la relation ici et maintenant |
Troisième | En bas à gauche | Les énergies en interaction |
Quatrième | En bas à droite | La Prise de Conscience |
Osho Ancient Music in the Pines Chapter 1
Commentaire :
L’image de l’intégration est celle de l’union mystique, la fusion des opposés. Arrive maintenant le temps de la communication entre les dualités de la vie précédemment expérimentées. La nuit ne s’oppose plus au jour, les ténèbres ne suppriment plus la lumière, ils œuvrent ensemble pour créer un tout unifié, l’un devenant inlassablement l’autre, chacun contenant dans son intime profondeur la potentialité de son contraire.
L’aigle et le cygne sont tous deux des êtres volants majestueux. L’aigle incarne la puissance et la solitude. Le cygne incarne l’espace et la pureté. Il nage paisiblement sur les flots de l’émotion ou plonge en eux, content et complet dans sa propre perfection et beauté.
Nous sommes l’union de l’aigle et du cygne : du masculin et du féminin, du feu et de l’eau, de la vie et de la mort. La carte de l’intégration symbolise le renouvellement de soi, une nouvelle vie, une union mystique ou alchimie.
C’est la seule distinction entre le rêve et le réel ; la réalité vous permet de douter et le rêve ne vous permet pas de douter…
La carte nous invite à ne pas chercher à l’extérieur ce qui est réel, mais à regarder vers l’intérieur. Lorsque nous portons notre attention vers l’extérieur, nous sommes trop souvent pris dans les jugements – c’est bien, c’est mal, je veux ceci, je ne veux pas cela. Ces jugements nous maintiennent dans nos illusions, dans notre endormissement, dans nos vieux modèles et habitudes.
Lâcher votre mental dogmatique et entrez en vous-même. Là, vous pouvez vous relaxer dans votre vérité la plus profonde où la différence entre rêve et réalité est déjà connue.
La créativité est cette qualité que vous apportez à ce que vous faites. C’est une façon d’être, une disposition intérieure, une façon de regarder les choses.
Quoi que ce soit que vous fassiez, si vous le faites avec joie, si vous le faites avec amour, si votre acte n’est pas purement économique, alors il est créatif ; si vos actes émanent d’une croissance intérieure, vous font grandir, alors ils sont spirituels, créatifs, divins. Plus vous êtes créatifs, plus vous devenez divin.
Le Fou est celui qui continue d’avoir confiance. Le Fou est celui qui continue d’avoir confiance en dépit de toute son expérience passée. Vous l’abusez et il vous fait confiance, vous le trompez de nouveau et il vous fait confiance, à nouveau vous l’abusez et il continue de vous faire confiance. Alors vous dites qu’il est stupide, qu’il n’apprend jamais. Sa confiance est immense, sa confiance est si pure que personne ne peut la corrompre.
Soyez un Fou dans le sens Taoïste, dans le sens du Zen. N’essayez pas d’ériger un mur de savoir autour de vous. Quelle que soit l’expérience qui se présente à vous, laissez-la advenir puis lâcher la. Continuez sans relâche à nettoyer votre mental, continuez à mourir au passé de manière à rester dans le présent, ici et maintenant, comme si vous veniez de naître, comme un bébé.
Au début cela sera très difficile. Le monde commencera à abuser de votre confiance, laissez les faire. Ce sont de pauvres êtres. Même si vous êtes trompé, abusé et volé, laissez cela se produire car ce qui est véritablement vous, ne peut pas vous être volé. Ce qui est véritablement vous, personne ne peut vous le soustraire.
Et chaque fois où vous ne laissez pas les circonstances vous corrompre, cette opportunité deviendra une intégration intérieure. Votre âme deviendra plus cristallisée.
Osho Dang Dang Doko Dang Chapitre 2
Commentaire :
D'instant en instant, avec chaque pas, le Fou laisse le passé derrière lui; il ne porte rien d’autre que sa pureté, son innocence et sa confiance, symbolisées par la rose blanche tenue dans sa main. Le motif sur son pourpoint contient les couleurs des quatre éléments du Tarot, indiquant qu’il est en harmonie avec tout ce qui l’entoure. Son intuition est à son apogée.
En cet instant, le Fou a le soutien de l’univers pour effectuer son saut dans l’inconnu. L’aventure l’attend dans le fleuve de la vie.
La carte indique que si vous vous fiez à l’instant même en votre intuition, en votre perception de la justesse des choses, vous ne pouvez pas vous tromper. Vos actes peuvent paraître comme insensés aux yeux des autres, y compris aux vôtres si vous essayez de les analyser avec le mental rationnel.
Pourtant l’endroit "zéro" qu’occupe le Fou est le nombre sans nombre ou confiance et innocence sont les guides et non pas scepticisme et expérience acquise.
14:21 Publié dans Tarologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook