Terminator Salvation

En 2018, après l'apocalypse qui a vu s'affronter les hommes et les robots, John Connor est devenu le chef de la résistance humaine contre Skynet et son armée de Terminators. Sa vision du monde est pourtant remise en cause par l'apparition de Marcus Wright, un inconnu qui se souvient seulement de s'être trouvé dans le quartier des condamnés à mort. Connor doit découvrir si Marcus a été envoyé du futur ou s'il est un rescapé du passé. Alors que Skynet prépare l'assaut final, Connor et Marcus s'engagent dans une odyssée qui va les mener au coeur même des opérations de Skynet. Ils y perceront le terrible secret qui se cache derrière l'annihilation programmée de l'humanité tout entière...

Dans ce quatrième opus de la saga, John Connor va sauver le soldat Kyle Reese, qui deviendra son propre père lorsqu'il l'enverra dans le passé sauvé sa mère, Sarah Connor (opus 1).

Le film se situe dans une période de transition. Dans la vision futuriste de 2029, présentée dans les précédents épisodes, Skynet exerce une domination absolue grâce à ses armées de T-800 et de Hunter-Killers. Mais ici, nous découvrons la genèse du modèle T-800. Dans notre présent, il s'agit du T-600, une version primitive du T-800. Présents en nombre, les T-600 constituent une armée phénoménale". Le modèle T-600 est un géant de 2,20 m, qui arbore un simple masque de caoutchouc en guise de visage, et des guenilles cachent son endosquelette. Il dispose d'un mini-canon M203, capable de tirer entre 3000 et 6000 coups/minute.

Une des scènes clés du film est lorsque John Connor pénètre dans l'usine de Skynet, où sont assemblés les armées des Terminators, en particulier les prototypes T-800, les plus sophistiqués.

Les poursuites mettant en scène les mototerminators sont d'anthologie. L'apparition d'Arnold Schwarzenegger dans le rôle d'un Terminator est évidemment un clin d'oeil aux premiers films.

Malgré quelques bonnes idées, les éclairages "historiques" de ce film et un scénario qui tient la route, j'ai été plutôt déçue par l'ambiance générale, en comparaison avec les excellentes "Chroniques de Sarah Connor".

Bien sûr, en tant que fan absolue de la saga, j'attend avec impatience Terminator 5 et 6.