02/07/2008
Temps mort
La seconde que Myron remarqua sur-le-champ, c'était qu'on avait saccagé la pièce.
Brenda se rua à l'intérieur.
- Papa ?
Myron la suivit, regrettant de ne pas être armé. Cette scène exigeait un flingue. Il aurait fait signe à Brenda de garder le silence, de revenir derrière lui, avant d'inspecter prudemment tout l'appartement, tandis qu'elle s'accrochait à lui, tremblante de peur. Il serait passé de pièce en pièce, pistolet au bout du bras, l'épaule coincée contre l'oreille et prêt à tout, surtout au pire. Mais Myron n'avait pas l'habitude de se trimballer avec une arme. Ce n'était pas qu'il ne les aimait pas - en cas de coup dur, en fait, il appréciait plutôt leur compagnie -, mais un flingue, c'est lourd et ça vous écorche la peau comme une capote en tweed. Et, soyons réalistes, pour la plupart de ses futurs clients, un agent qui se balade avec une pétoire, ça n'inspire pas vraiment confiance. Quant aux autres, ceux qui trouveraient ça plutôt chouette, Myron préférerait les éviter.
- chapitre : 3 - page : 38 - éditeur : Fleuve Noir - date d'édition : 2007 -
Fini de lire il y a 3 mois déjà, l'avant-dernier roman mettant en scène Myron Bolitar : comme d'habitude, j'ai littéralement ADORE, d'autant plus que cet opus est particulièrement émouvant ; Myron tombe amoureux, se rend compte que Jessica, pourtant l'amour de sa vie, ne partage pas ses rêves, son envie d'avoir une vie aussi paisible que celle de ses parents... Pas de happy end puisqu'il décide de la quitter... (ça me traumatise les couples qui se séparent)
21:44 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
01/07/2008
Bivate
Visité aujourd'hui le site http://bivate.be qui présente un nouveau concept de "bijou cravate" absolument superbe et hypissime, que ce soit dans sa version femme ou homme : non, ce n'est pas une blague belge mais bien le résultat de la créativité fashionartistique d'un compatriote de Margiela, Ann Demeulemeester et autres talentueux stylistes que j'adule. (à quand mon prochain pèlerinage au Musée de la Mode d'Anvers ?). Je suis sûre que la bivate plairait beaucoup à Karl Lagerfeld, et suggère à son créateur d'en envoyer une au grand maître.
(Be Vate)
18:08 Publié dans Fashion concept | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook
Réussir, un jour à la fois : Bâtir un avenir
Le travail me ramène à ce qu'il y a d'essentiel dans la vie : bâtir. Je suis seul(e) responsable de ma vie et de mon tribut à la société. Je prends la pleine responsabilité de la place que j'occupe dans ma famille, dans ma communauté, dans le monde. Lorsque je laisse les autres travailler à ma place, je perds ma place. Aujourd'hui, je retrousse les manches et je travaille.
Je peux me lever chaque matin et aller gagner ma vie. Mais je suis capable de faire plus. Je peux bâtir. Avec mon travail, mon intelligence et ma créativité, je peux me bâtir un avenir plus grand, donner naissance à une entreprise et la développer afin qu'elle persiste après mon départ. Je suis venu(e) pour créer des liens, pour dépasser mes limites, pour ajouter quelque chose qui n'était pas là. Aujourd'hui, mon travail vivant me permet de bâtir quelque chose de plus grand, quelque chose de nouveau, quelque chose de beau, qui contribue aux êtres qui partagent cette planète avec moi.
17:50 Publié dans Développement personnel | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
30/06/2008
Cours de portugais
Prépare ma future intégration à un groupe portugais avec le site Portugalmania : initiation à une nouvelle langue (je précise que cela n'a aucun rapport avec le footballeur le plus sexy de l'Euro Cristiano Ronaldo)
(http://www.portugalmania.com/culture/langue/cours/portuga...)
sim = oui
ñao = non
fim = fin
moi = mim
pour moi = para mim
romarin = alecrim
ainsi = assim
je suis venu = vim
rein = rim
sympatique = simpatico
simple = simples [sim-pleu-j]
cinco [ sim-co ] = cinq
vingt = vinte [vim-te]
ceinture = cinto [sim-to]
symptôme = sintoma [sim-tô-meu]
syndicat = sindicato [sim-di-cà-to]
symphonique = sinfonico [sim-fo-nico]
une ferme = una quinta [oumeu-quim-teu]
vin = vinho [vin-gno]
non = não [nain-ô]
main = mão [main-ô]
coeur = coração [co-reu-çain-ô]
passion = paixão [pà-i-chain-ô]
chien = cão [kain-ô]
nation = nação [neu-çain-ô]
vibration = vibração [vibreu-çain-ô]
opinion = opinião [opiniain-ô]
Le AN se prononce AIN.
France = França [Frain-çeu]
blanc = branco [brain-cô]
plante = planta [plain-teu]
coin = canto [kain-tô]
sandwich = sanduiche / sandes [san-de-j]
Depuis l'époque des grandes découvertes, la langue française s'est enrichie de mots portugais = ananas, cajou, acajou, cobaye, jaguar, sagouin, cachalot, marmelade, pintade, piranha, cobra, fétiche, sarbacane.
A l'inverse, les portugais ont adopté des mots français : velouté, charme, soirée, réveillon, brioche, boutique, dossier...
Plus cocasse :
- le mot "casse-tête" désigne un pain en longueur ou une matraque de policier !
- le maillot de bain se dit "fato de banho" mais aussi "maillot"
- le soutien-gorge se dit "soutien"
- un "passe-vite" désigne un mixeur
Certains mots sont identiques : http://www.portugalmania.com/culture/langue/exemple1.htm
tomate - agenda - agir - alarme - album - alcool - altitude - animal - anormal - avalanche - bar - bébé - bilingue - bordel - broche - bronze - brutal - cafè - cafeteria - canal - cordial - casino - cave - caviar - castor - chèque - cinema - civil - classe - coma - comite - conforme - continental - contraste - controle - creche - creme - crime - crise- cristal - cru - cruel - definir - desastre - digital - detective - dormir - dose - eclipse...
Mais attention aux faux amis :
Le mot "bestial" signifie "c'est super", "c'est excellent"...
Les mots français finissant en -ion finissent souvent par -ao en portugais : http://www.portugalmania.com/culture/langue/exemple2.htm
17:42 Publié dans Langues | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook
28/06/2008
Pure People
09:25 Publié dans Fashion Icon | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nicole richie | Facebook
27/06/2008
Ensemble c'est tout
Je ne connais pas le roman d'Anna Gavalda dont le film est tiré - ni d'ailleurs aucune autre oeuvre de cet écrivain, j'ai du mal à supporter physiquement Audrey Tautou, mais c'est la présence de Guillaume Canet qui m'a donné envie de regarder cette comédie sentimentale. On peut dire que l'osmose entre les personnages fonctionne, leur interprétation est sincère et touchante, ce qui compense, comme je le disais déjà de "Chronique d'un scandale", un scénario sans grande originalité.
(Noter de lire le roman pour comprendre les raisons qui ont pu pousser le scénariste à en faire une adaptation cinématographique)
10:37 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Le couple, un jour à la fois : La scène idéale
"Vous devez accepter la vie comme elle se présente, mais vous devriez essayer de faire en sorte qu'elle se présente comme vous aimeriez qu'elle soit.' (Ancien proverbe allemand)
Le couple est un contexte que l'on façonne à deux. La scène idéale est le contexte idéal qu'on désire créer. On peut s'approcher de la scène idéale. Lorsqu'on s'approche de la scène idéale, on le sait car on l'a déjà imaginée. Et lorsqu'on s'éloigne de la scène idéale du couple, on doit agir afin de rectifier la situation. Ensemble, nous devons utiliser nos ressources, nos talents et notre imagination pour créer la scène idéale.
On peut accepter passivement ce que la vie nous offre ou on peut travailler, en tenant compte de la réalité qui prévaut, pour créer un contexte qui comble nos attentes et nos désirs. le contexte du couple n'est pas prédéterminé, il peut être malléable.
Aujourd'hui, je m'approche de la scène idéale du couple que j'ai imaginée.
00:51 Publié dans Développement personnel | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
26/06/2008
Pure People
09:28 Publié dans Fashion Icon | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nicole richie | Facebook
24/06/2008
Irina Palm
Adoré Marianne Faithfull dans ce magnifique rôle de veuve pas joyeuse du tout et qui rencontre l'amour, dans des conditions absolument rocambolesques, après être devenue l'improbable hôtesse d'un bar à putes. Un film tout en finesse, dans lequel le personnage se réconcilie progressivement avec sa féminité "à l'insu de son plein gré", et finit par faire fi des faux-semblants au profit de sa propre intégrité.
"Une fable sur l'audace, le courage au féminin" - Frédéric Strauss (Télérama)
"Marianne Faithfull aborde, tout en subtilité et en pudeur, un personnage égaré dans un univers sordide. Il y a du Ken Loach dans cette histoire romantique au royaume du sexe triste." - Hubert Lizé (Le parisien)
(Les caprices de Marianne)
(Full Maggie)
23:20 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook