23/11/2009
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04/05/2009
Animals
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19/04/2009
Méfaits de l'importation d'espèces animales : la perche soleil
La perche soleil vit dans les rivières de plaine aux eaux calmes, mais aussi dans les eaux stagnantes des étangs. Malgré son apparence inoffensive, ce beau poisson aux écailles multicolores est une véritable menace pour l'écosystème. Aujourd'hui classée comme nuisible, l'animal a été introduit en Europe en 1886 comme poisson d'agrément pour les aquariums. Certains spécimens ont par la suite été relâchés dans les rivières provoquant de sérieux ravages sur la faune locale. Redoutable prédateur, la perche soleil est en effet extrêmement vorace et se régale de larves d’insectes et de têtards, détruisant la diversité naturelle des étangs et cours d'eaux. Elle consomme également les œufs et alevins d'autres poissons, mettant en péril le renouvellement des espèces. En France, son éradication est recommandée.
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Méfaits de l'importation d'espèces animales : la tortue de Floride
C'est l'histoire d'une mode qui a encore aujourd'hui de sérieuses répercussions sur l'écosystème français. Dans les années 70, la tortue de Floride a été importée massivement en Europe pour être vendue comme animal de compagnie. Des milliers de foyers ont acheté cette tortue, pas plus grosse qu'une pièce d'un euro, sans savoir que l'animal allait mesurer jusqu'à 30 cm, peser 3 kg et vivre jusqu'à 60 ans ! Résultat : des milliers de tortues de Floride ont été relâchées dans les étangs et cours d'eaux. Les conséquences furent désastreuses pour la cistude, notre tortue nationale. Beaucoup plus agressive et carnivore, sa cousine américaine a rapidement détruit la faune et concurrencé la niche écologie de la cistude. En France, la tortue de Floride est interdite à la vente depuis 1997.
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Méfaits de l'importation d'espèces animales : l'ibis sacré
Echappés d'un parc animalier du Morbihan en 1994, des ibis sacrés ont peu à peu colonisé l’ensemble du littoral atlantique, de la Gironde au Finistère. Composée de quelques dizaines d'individus, la population d'ibis a rapidement augmenté provoquant de sérieuses menaces sur l'écosystème, notamment en raison de la prédation des ibis sur des espèces oiseaux protégées. Plusieurs cas d’attaque de colonie de sternes et de guifettes noires ont ainsi été relatés sur la côte atlantique, l'ibis n’hésitant pas à manger les œufs ou les jeunes en les chassant de leurs nids. A l'heure actuelle, la population d'ibis s’élève à environ 5 000 individus établis dans l’ouest de la France. Mais la côte méditerranéenne subit actuellement le même phénomène de colonisation, à partir d’un autre parc zoologique.
14:13 Publié dans I love my planet | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Méfaits de l'importation d'espèces animales : la grenouille taureau
Originaire des Etats-Unis, la grenouille taureau porte bien son nom : les plus gros spécimens peuvent mesurer jusqu'à 30 cm et peser 1 kilo ! Dans l'Hexagone, la grenouille taureau a été introduite en 1968 en Gironde à partir de quelques couples ramenés par un voyageur revenant d'Amérique pour son étang privé. Elle s'est ensuite répandue en Dordogne, en Charente et dans les Landes. Sans prédateur passé l'âge adulte et avec un taux de reproduction élevé (une femelle peut pondre jusqu’à 25 000 œufs), la grenouille taureau représente une menace sérieuse pour l'écosystème. Non seulement l'animal est cannibale et s'attaque aux rainettes (dont la population a considérablement diminué), mais il est si vorace qu'il se nourrit de poules d'eau, de tortues et même d'oiseaux !
14:05 Publié dans I love my planet | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
Méfaits de l'importation d'espèces animales : le ragondin
Originaire d'Amérique du Sud, le ragondin est apparu en 1870 en France, importé pour le commerce de sa fourrure. Parfaitement adapté au climat tempéré et ne connaissant aucun prédateur, la population de ce rongeur herbivore a connu une croissance exponentielle, atteignant 400 000 individus aujourd'hui. Mais l'animal, qui peut mesurer 1 m pour 10 kg, cause de sérieuses nuisances. Le ragondin utilise en effet les berges des marais et des canaux pour construire son terrier, ce qui accélère leur érosion et diminue leur résistance aux inondations. L'appétit vorace du ragondin menace également les espèces végétales aquatiques. En France, le rongeur est inscrit sur la liste des animaux "nuisibles" et fait l'objet d'une lutte intensive dans les zones agricoles situées entre les Pays-Bas et la région parisienne.
13:48 Publié dans I love my planet | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
08/04/2009
Ecolo-Shopping
Réhabiliter les recettes de grand-mère : savon noir sur les carrelages, eau chaude salée pour le cristal, jus de citron pour le cuivre et l'aluminium, vinaigre d'alcool blanc pour dégraisser, désodoriser, désinfecter, nettoyer les fenêtres et dissoudre le calcaire.
Préférer les éponges végétales biodégradables Spontex
// Au rayon Beauté //
Essayer de limiter le nombre de produits dans la salle de bains
1 savon = 4 flacons de gel-douche
// A la poissonnerie //
Je privilégie les poissons dont l'espèce n'est pas menacée comme :
- le maquereau
- le bar de ligne
- le saumon du Pacifique, contrairement à celui de l'Atlantique qui est menacé
Voir guide : GuideEco-Conso.pdf
// A la boucherie //
Le cahier des charges Label Rouge intrdit les aines nimales et les antibiotiques non curatifs
// Les fruits et légumes //
J'encourage la biodiversité.
Et de manière générale, j'essaie de respecter les saisons et d'acheter des produits locaux (transport = consommation d'énergie)
20:40 Publié dans I love my planet | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
18/03/2009
CH2, Melbourne
Zéro émission de CO2 en 2020, c'est l'ambition affichée par la municipalité de Melbourne. Modèle d'architecture green-tech, le nouvel hôtel de ville se dresse en plein quartier d'affaires depuis le 20 Août 2006. Le bâtiment, en verre et bois, surmonté de turbines éoliennes, est entièrement élaboré et équipé de matériaux recyclés et/ou non toxiques. Les 10 étages sont chauffés, climatisés, approvisionnés en eau et en énergie avec un impact minime sur l'environnement et les ressources naturelles. Cette prouesse a été rendue possible grâce à une démarche révolutionnaire, la biomimétique, qui imite le fonctionnement de la nature. Conçu comme un organisme vivant, le CH2 s'ajuste aux contraintes de son écosystème et au climat de la cité. Pour limiter la chaleur tout en profitant de la lumière naturelle, l'architecte Mick Pearce a privilégié les grandes ouvertures dans les étages inférieurs peu lumineux, et a diminué progressivement la taille des fenêtres dans les étages inférieurs baignés par les rayons de soleil. Résultat : une luminosté modérée (150 lux) mais suffisante, qui diminue des 2/3 la consommation d'énergie nécessaire à l'éclairage d'un bâtiment classique. es volets en bois recyclé sont mus par des cellules photovoltaïques qui suivent la course journalière du soleil pour apporter de l'ombre aux employés. Les installations sont complétées au sud par 5 conduits, des tours douches à l'intérieur desquels l'air chaud capté à 17 mètres du sol est mélangé à une fine bruine pour baisser la température du hall de presque 15°. La nuit, les fenêtres côté nord s'ouvrent automatiquement durant 4 heures, afin de rafraîchir l'air ambiant et assurer une économie d'énergie de 15 à 20 %.
Pour climatiser les bureaux, l'architecte s'est inspiré des termitières, où l'air chauffé par l'activité des insectes s'élève puis s'échappe à travers des évents, remplacés par des turbines sur le toit, qui captent le vent et l'insufflent dans le bâtiment. De grands volumes et des plafons voûtés assurent une bonne circulation de l'air et une régulation naturelle des températures.
Plus innovant encore, le CH2 puise chaque jour 100 000 litres d'eau dans les égouts de la ville pour alimenter les toilettes mais surtout son circuit de refroidissement interne. Tels de radiateurs à froid fixés sur les plafonds en béton, des plaques composées de tuyaux en cuivre, où circule une eau à 15°, créent un échange calorifique entre le réseau froid et l'air chaud ambiant.
Les chiffres :
12 536 m2 de surface globale
25 millions d'euro de coût total, qui seront amortis sur 7 ans.
Une augmentation de productivité de 11 %
Après 18 mois de fonctionnement, la consommation d'électricité a diminué de 82 % par rapport à l'ancienne mairie, celle de gaz de 87 % et celle d'eau de 72 %. Les émissions de CO2 ont fondu de 87 %, soient 514 tonnes par an.
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