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17/01/2009

Les 7 règles de l'abondance financière

1. Ne jamais bloquer la circulation de l'argent et illuminer nos peurs.

2. Toujours donner, même si ce n'est que très peu.

3. Donner discrètement et sans attente.

4. Utiliser nos talents et notre abondance dans le BUT d'accomplir notre plan de vie.

5. Considérer les autres comme les membres d'une même et grande famille.

6. Reconnaître que notre conscience supérieure est la source de notre abondance - être reconnaissants.

7. Gérer l'abondance en accord avec notre intuition et non avec nos impulsions.

Carte de méditation Reiki

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Féminitude : la création

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Carte des anges

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Pensée du jour

petite-voix.jpgCommence la journée en remerciant. Rends-toi compte que tu es puissamment béni et que Mes bénédictions sont déversées en permanence sur toi. Ton manque de reconnaissance d'hier importe peu ; c'est ton attitude actuelle qui importe. Laisse le passé derrière toi.
Ne perds pas de temps à t'appesantir sur tes erreurs passées ; apprends simplement à travers elles, puis avance et jouis de la vie, en remerciant constamment pour toute chose.
Quant tu es reconnaissant et que tu apprécies toutes les bonnes choses dans la vie, l'amour coule librement en toi et à travers toi. C'est lorsque tu oublies de remercier et d'apprécier tous Mes dons parfaits et bons que tu deviens sec et fragile. Tu te préoccupes de toi-même et cesses de t'intéresser à tes compagnons humains. La façon la plus rapide de changer cette mauvaise attitude est de commencer à penser aux autres et de commencer à vivre pour le tout et à lui donner. Tu verras que le soi et le souci de soi fondra dans l'arrière-plan et deviendra insignifiant. Pourquoi ne pas le faire dès maintenant ?

Tirage du jour

ORACLE 1 - K'IEN Le Créateur

SYMBOLISME :

K'IEN : La créativité, le mouvement.

Représente la force et la fermeté du créateur ainsi que la persévérance dans le temps, la durée. Par extension, le " Père ", le soleil, la maîtrise d'un système ou d'un groupement d'homme. Tous les traits sont Yang et ceux du trigramme inférieur poussent vers le haut. C'est un symbole positif d'élévation, d'avancement, de lumière et de réalisation. La réussite sera au rendez-vous. Activité, persévérance, créativité, amour, grande énergie et confiance en soi. Egalement clarté, idéalisme, bienfaisance, moralité et sens de la justice.

 

 

 

 REPONSE DU YI-KING

Signification : Il y a des idées et la possibilité de les concrétiser. Puissance dans la création permettant de dépasser toutes les limitations. Succès si l'on respecte un bon timing. Ni trop tôt ni trop tard. Force et envergure. Présage de durée.

DOMAINE SENTIMENTAL :
Réussite et satisfaction. Amour durable et fidélité. Personne de valeur. Généralement une grande énergie sexuelle. Toutefois si le partenaire est un homme, il faut s'attendre à ce qu'il déploie une activité assez intense dans différents domaines. Il aura par conséquent moins de temps à vous consacrer.

16/01/2009

Un cours en miracles

preview.jpgLE MONDE NON COUPABLE

I. Non-culpabilité et invulnérabilité

1. Plus tôt, j’ai dit que le Saint-Esprit partage le but de tous les bons enseignants, dont l’objectif final est de se rendre eux-mêmes non nécessaires en enseignant à leurs élèves tout ce qu’ils connaissent. Le Saint-Esprit ne veut que cela, car partageant l’Amour du Père pour Son Fils, Il cherche à ôter toute culpabilité de son esprit afin qu’il se souvienne de son Père en paix. La paix et la culpabilité sont antithétiques, et on ne peut se souvenir du Père que dans la paix. L’amour et la culpabilité ne peuvent coexister ; accepter l’un, c’est nier l’autre. La culpabilité te cache la vue du Christ, car elle est le déni de l’irréprochabilité du Fils de Dieu.

2. Dans le monde étrange que tu as fait, le Fils de Dieu a péché. Comment donc pourrais-tu le voir ? En le rendant invisible, le monde du châtiment s’est élevé dans le noir nuage de culpabilité que tu as accepté, et tu y tiens. Car l’irréprochabilité du Christ est la preuve que l’ego n’a jamais été et ne pourra jamais être. Sans culpabilité, l’ego n’a pas de vie; or le Fils de Dieu est sans culpabilité.

3. En te regardant toi-même et en jugeant honnêtement ce que tu fais, tu es peut-être tenté de te demander comment tu peux être non coupable. Or considère ceci : Tu n’es pas non coupable dans le temps mais dans l’éternité. Tu as « péché » dans le passé, mais il n’y a pas de passé. Toujours n’a pas de direction. Le temps semble aller dans une direction, mais quand tu en atteindras la fin, il s’enroulera derrière toi comme un long tapis étendu le long du passé, puis il disparaîtra. Aussi longtemps que tu croiras que le Fils de Dieu est coupable, tu marcheras sur ce tapis en croyant qu’il conduit à la mort. Et le voyage te semblera long, cruel et insensé, car il l’est.

Le voyage que s’est fixé le Fils de Dieu est certes inutile, mais celui que son Père lui fait entreprendre est un voyage de délivrance et de joie. Le Père n’est pas cruel, et Son Fils ne peut pas se blesser. La riposte qu’il craint et qu’il voit ne le touchera jamais, car bien que lui-même y croie, le Saint-Esprit connaît qu’elle n’est pas vraie. Le Saint-Esprit Se tient à la fin du temps, où tu dois être parce qu’il est avec toi. Il a déjà défait tout ce qui est indigne du Fils de Dieu, car telle était Sa mission, à Lui donnée par Dieu. Or ce que Dieu donne a toujours été.

5. Tu me verras en apprenant que le Fils de Dieu est non coupable. Il a toujours cherché sa non-culpabilité, et il l’a trouvée. Car chacun cherche à échapper de la prison qu’il a faite, et la voie permettant de trouver sa délivrance ne lui est pas niée. Étant en lui, il l’a trouvée. Quand il la trouve n’est qu’une question de temps, et le temps n’est qu’une illusion. Car le Fils de Dieu est non coupable maintenant, et l’éclat de sa pureté brille dans l’Esprit de Dieu à jamais intouché. Le Fils de Dieu sera toujours tel qu’il a été créé. Nie ton monde et ne juge pas le Fils de Dieu, car son éternelle non-culpabilité est dans l’Esprit de son Père et le protège à jamais.

6. Quand tu auras accepté l’Expiation pour toi-même, tu te rendras compte qu’il n’y a pas de culpabilité dans le Fils de Dieu. Et c’est seulement en le voyant comme non coupable que tu peux comprendre son unité. Car l’idée de culpabilité entraîne la croyance en la condamnation de l’un par l’autre, et projette la séparation à la place de l’unité. Tu ne peux condamner que toi-même, et en le faisant tu ne peux pas connaître que tu es le Fils de Dieu. Tu as nié la condition de son être, qui est sa parfaite irréprochabilité. Par amour il fut créé, et dans l’amour il demeure. Bonté et miséricorde l’ont toujours accompagné, car il a toujours étendu l’Amour de son Père.

7. En percevant les saints compagnons qui cheminent avec toi, tu te rendras compte qu’il n’y a pas de voyage mais seulement un éveil. Le Fils de Dieu, qui ne dort pas, a tenu promesse pour toi envers son Père. Il n’y a pas de route à parcourir, pas de temps à traverser. Car Dieu n’attend pas Son Fils dans le temps, étant à jamais indésireux d’être sans lui. Ainsi cela a toujours été. Laisse la sainteté du Fils de Dieu dissiper le nuage de culpabilité qui enténèbre ton esprit ; et en acceptant sa pureté pour tienne, apprends de lui qu’elle est tienne.

8. Tu es invulnérable parce que tu es non coupable. Tu ne peux t’accrocher au passé que par la culpabilité. Car la culpabilité établit que tu seras puni pour ce que tu as fait ; ainsi elle dépend d’un temps unidimensionnel qui va du passé vers le futur. Nul qui croit cela ne peut comprendre ce que «toujours» signifie, et c’est donc que la culpabilité doit te priver d’apprécier l’éternité. Tu es immortel parce que tu es éternel, et «toujours» doit être maintenant. La culpabilité est donc une façon de maintenir le passé et le futur dans ton esprit afin d’assurer la continuité de l’ego. Car si ce qui a été sera puni, la continuité de l’ego est garantie. Or la garantie de ta continuité est de Dieu et non de l’ego. Et l’immortalité est l’opposé du temps, car le temps passe, tandis que l’immortalité est constante.

9. Accepter l’Expiation t’enseigne ce qu’est l’immortalité, car en acceptant ta non-culpabilité tu apprends que le passé n’a jamais été et qu’ainsi il n’est pas besoin de futur et qu’il ne sera pas. Le futur, dans le temps, est toujours associé à la pénitence, et seule la culpabilité pourrait induire le sentiment d’un besoin de pénitence. Accepter pour tienne la non-culpabilité du Fils de Dieu, c’est donc la façon dont Dieu te rappelle Son Fils, et ce qu’il est en vérité. Car Dieu n’a jamais condamné Son Fils, et étant non coupable il est éternel.

Tu ne peux pas dissiper la culpabilité en la rendant réelle, puis en l’expiant. Cela est le plan de l’ego, qu’il t’offre au lieu de la dissiper. L’ego croit à l’expiation par l’attaque, s’étant pleinement engagé envers l’idée insane selon laquelle l’attaque est le salut. Et toi qui chéris la culpabilité, tu dois le croire aussi, car comment pourrais-tu tenir tant à ce que tu ne veux pas, si ce n’est en t’identifiant à l’ego ?

11. L’ego t’enseigne à t’attaquer toi-même parce que tu es coupable, et cela doit augmenter la culpabilité, car la culpabilité est le résultat de l’attaque. Dans l’enseignement de l’ego, donc, il n’y a aucune évasion hors de la culpabilité. Car l’attaque rend la culpabilité réelle, et si elle est réelle il n’y a aucune façon de la vaincre. Le Saint-Esprit la dissipe simplement par la calme re-connaissance qu’elle n’a jamais été. Quand Il regarde le Fils non coupable de Dieu, Il connaît que cela est vrai. Et cela étant vrai pour toi, tu ne peux pas t’attaquer, car sans culpabilité l’attaque est impossible. Tu es sauvé, donc, parce que le Fils de Dieu est non coupable. Et parce que tu es entièrement pur, tu es invulnérable.

La réconciliation et le pardon

forgiveness_by_LVAMPAR.jpgReligieuse auxiliatrice, Régine du Charlat enseigne à l'Institut catholique de Paris et dirige l'Institut des arts sacrés.

Vous dîtes « nous sommes sauvés et pardonnés avant même de nous savoir pécheurs » (1), pouvez-vous l'expliquer ?
C'est ce que dit Paul « Vous êtes morts et sauvés par le Christ », (épître de saint Paul aux Romains, 6, 1-14). Par la célébration du pardon, on se met en disposition de reconnaître la Résurrection. Elle transforme tout. Le pardon empêche le péché d'avoir le dernier mot. Dans ce sens, le pardon est un des noms de la Résurrection. « Vous êtes et vous serez ressuscités avec le Christ », nous dit Paul. C'est une invitation à cheminer vers la Résurrection.

Le rite de la réconciliation se perd. Selon vous, comment évolue le sens de ce sacrement ?
Aujourd'hui, le sacrement de réconciliation s'est vidé de sa gestuelle et de son sens. Nous devons retrouver, réanimer les rites du Carême sans pour autant en faire des mécanismes. Pour cela, il suffit de peu. C'est comme un repas en famille, qui est un acte quotidien fort. Seulement, nous gardons une certaine timidité à en reconnaître toute sa plénitude. Pour moi, la démarche de réconciliation est du même ordre. 

Quel avenir lui voyez-vous ?
Le sacrement de réconciliation est « la pierre de touche du christianisme » (2). Il n'aura d'avenir que si son sens est vécu comme une démarche dans laquelle chacun retrouve son intégrité intérieure, son centre de gravité dans la foi. Attention, il ne s'agit pas de sainteté ! Si chacun prend un chemin de vérité vis-à-vis de lui-même et vis-à-vis de Dieu, peut-être apprendrons-nous à réhabiter la forme.


(1) Page 18, in La Réconciliation, éditions Desclée de Brouwer (1997).
(2) Sous-titre de son ouvrage, La Réconciliation.

La culpabilité

LES SIX " CRIMES IMAGINAIRES " LES PLUS COURANTS

Un thérapeute constate parfois qu'un client se sent coupable d'un ou plusieurs crimes imaginaires. Ces crimes, qu'il n'a pas commis, sont souvent fondés sur des auto-accusations erronées et des messages destructeurs provenant de ses parents. Il se punit comme si ces crimes étaient réels.

1. Surpasser les membres de sa famille

Le client se sent coupable de dépasser un de ses proches, par exemple s'il est heureux alors que sa mère était dépressive, s'il est séduisant alors que son frère n'avait aucun succès auprès des filles, s'il est devenu cadre supérieur alors que son père est manœuvre.

Ce crime repose sur deux convictions inconscientes et erronées : 

- Si je jouis des joies de l'existence, cela signifie que je les prends toutes, sans en laisser pour ma famille.
- Si j'atteins mes buts, j'humilie mes proches qui, eux, n'y sont pas parvenus.

Le sentiment de culpabilité du client dépend de la réaction de ses parents à sa réussite. S'ils en sont contrariés ou si leur vie est une suite d'échecs, il pensera que c'est de sa faute et il sabotera sa propre vie avec d'autant plus d'énergie.

2. Être un fardeau

Votre client peut croire qu'il a été une charge pour ses parents et que, s'il avait été plus intelligent, en meilleure santé ou plus discipliné, ceux-ci auraient été plus heureux. S'il a été un enfant débordant d'activité, il pense avoir fatigué sa mère qui aimait le calme. Il aurait aimé ressembler à son frère qui, lui, était un enfant tranquille et satisfaisait sa mère.

Le client doit comprendre que son tempérament est d'ordre génétique, il n'en est nullement responsable, même si ses parents le trouvaient difficile à élever. Si son père et sa mère ont divorcé, ce n'est pas non plus sa faute ; c'est pourtant ce que croient environ un tiers des enfants de divorcés.

3. Voler l'amour de ses parents

Ce crime imaginaire est celui dont s'accuse le client qui était le préféré de ses parents. Il pense qu'en recevant l'amour dont un frère, ou une sœur, semblait avoir besoin pour s'épanouir, il lui a volé la force vitale qui l'aurait rendu heureux. C'est un peu comme si sa mère l'avait trop nourri en laissant son frère mourir de faim.

Le client a aussi parfois l'impression d'avoir volé de l'amour si l'un de ses parents l'aimait plus tendrement qu'il n'aimait son conjoint. La culpabilité ici risque d'être forte, car liée au plaisir.

4. Abandonner ses parents

Ce crime imaginaire est le fait de devenir indépendant, d'avoir ses propres opinions et de se séparer de ses parents, physiquement et émotionnellement. Certains parents, en se plaignant et en jouant aux martyrs, font comprendre à leur enfant qui devient indépendant, qu'il fait preuve de cruauté. Ils s'attendent à ce qu'il prenne soin d'eux et ne les quitte jamais.

Si votre client a eu de tels parents, il peut se sentir affreusement coupable et se punir en sabotant sa vie pour expier ce soi-disant crime d'avoir abandonné ses parents.

5. Trahir les siens

Une personne se sent coupable de ce crime si elle a déçu les espoirs et les attentes de ses parents. Elle a enfreint les règles familiales en ayant des opinions politiques ou religieuses différentes ou en choisissant un métier à l'opposé de celui qu'auraient espéré ses parents. Ceux-ci sont déçus de ce qu'est devenu leur enfant réel par rapport à l'enfant dont ils rêvaient.
La manière la plus fréquente de trahir les siens est de se montrer critique envers eux. Certains parents refusent toute critique, ou en sont bouleversés, alors qu'après tout ils ne sont pas parfaits et sont critiquables. Même devenu adulte, l'enfant n'ose pas admettre les défauts de ses parents, casser leur image idéalisée.

Commencer une relation d'aide ou une thérapie semble pour certains une trahison à l'égard de leurs parents : ils ont du mal à reconnaître que ceux-ci ont parfois mal agi envers eux.

6. Être fondamentalement mauvais

Certains parents voudraient que leur enfant soit parfait, avant même qu'il ait grandi. Un enfant de trois ans qui laisse tomber une assiette s'entend dire qu'il est méchant, alors qu'il est seulement maladroit. Lorsque ces remarques dévalorisantes sont répétées durant des années, l'enfant en conclut qu'il est réellement et foncièrement mauvais. Plus un enfant est négligé affectivement, mal traité physiquement, voire abusé sexuellement, plus il est convaincu qu'il n'est pas aimé parce qu'il n'est pas digne de l'être. Un enfant serait terrifié d'admettre que ses parents sont psychologiquement perturbés ou pervers, il prend donc tout le blâme sur lui.

Cette conviction qu'il est fondamentalement mauvais n'est pas transmise uniquement par les parents : les frères et sœurs, les professeurs, la société dans son ensemble, jouent aussi un rôle.

Il est possible qu'un client se sente coupable de plusieurs crimes imaginaires à la fois.

Gilbert, qui est médecin, se reprochera par exemple : 

  • D'avoir surpassé son père qui était ouvrier en réussissant mieux que lui professionnellement.

  • D'avoir abandonné sa mère pour suivre des études médicales.

  • D'avoir été un fardeau pour elle.

  • D'avoir volé son amour parce que sa mère le préférait à sa jeune sœur moins douée.

Le thérapeute doit savoir que le processus qui permet à son client de devenir conscient de ces fausses culpabilités jusqu'alors inconscientes, est complexe et demande du temps. Ce n'est qu'en comprenant peu à peu ce qui lui est arrivé étant enfant, qu'il pourra comprendre aussi ses crimes imaginaires et, par conséquent, s'en absoudre.

Au fur et à mesure que se relâchera l'emprise de ses sentiments de culpabilité, les conduites d'échec, d'autopunition, de sabotage du succès et d'inaptitude au bonheur régresseront d'autant. S'il ne doit pas s'attendre à une transformation rapide ou facile, il doit cependant être assuré qu'avec le temps, le changement s'opèrera.

Se libérer de la " fausse " culpabilité est un processus de longue haleine, mais la récompense est grande, puisqu'il s'agit de la liberté d'être soi-même.

Jacques et Claire Poujol