29/08/2011
Jours 278, 279, 280
Voir la vie d'un autre oeil : Je ne dis plus "J'ai mis le doigt dans l'engrenage", je dis plutôt "J'arrête quand je veux !"
Un exercice pour se muscler : Debout, jambes écartées de 50 cm environ, et légèrement fléchies, je pose mes mains sur mes genoux, doigts à l'intérieur des jambes. je referme mes cuisses en résistant le plus possible avec mes mains, le temps de compter lentement jusqu'à cinq. Je fais l'exercice 10 fois de suite en respirant calmement.
Instruction du jour : Je suis convaincue qu'en changeant mon état d'esprit, je peux tout changer dans ma vie !
Jour 279
Reprise des exercices de la semaine.
Instruction du jour qui m'a le plus marquée cette semaine : "Le pouvoir de ma volonté est plus fort que tout !" et aussi "Je sais que je peux venir à bout de toutes les situations"
La tenacité a toujours été mon fort. Beaucoup de gens l'ont souligné lorsque je me suis mariée, après 22 ans de vicissitudes dans ma relation sentimentale avec mon mari ! C'est pourquoi je dois m'accrocher à notre projet de concevoir nos enfants, car aucun projet ne doit rester inachevé une fois que ce projet est commencé.
Jour 280
Bilan de la semaine : j'ai vécu une semaine difficile, avec mes crises de cystalgie, j'ai compris que j'avais un conflit de territoire, avec mon mari et notre famille, ainsi qu'une frustration par rapport au manque d'argent. Bien sûr, en fond de conflit intérieur, il y a le chagrin d'avoir perdu les bébés que je n'ai pas eu le temps de vivre car "je n'avais pas la place". Et la notion de manque d'argent - qui est somme toute relative - m'a empêchée de faire ce que je fais d'habitude lorsque j'ai du chagrin, compenser dans l'achat de fringues. Sans doute y avait-il aussi un peu de ressentiment contre mon mari, par rapport à sa part de responsabilité dans l'échec de ma grossesse, dans le fait de ne pas m'avoir laissé l'espace et le temps de digérer mon chagrin, de m'avoir beaucoup sollicitée pour la famille, et de faire le garde-chiourme du budget familial, alors qu'à ce jour, je travaille dur pour gagner mon salaire. J'ai donc dû faire, et continue à faire un travail de pardon, à son égard mais également au mien par rapport à ma propre responsabilité dans l'échec, c'est-à-dire ne pas avoir exprimé mes propres priorités.
10:51 Publié dans 12 mois pour reconstruire sa vie | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook
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