Ugly Betty

Bien accroché sur cette série comique diffusée sur la Une , produite par Salma Hayek (que l’on félicite à l’occasion de la naissance de sa petite Valentina, née fin 2007 avec une cuillère en argent, puisqu’elle héritera des cachets hollywoodiens de sa maman et d’une partie de l’empire de son breton de papa).

L’actrice fait d’ailleurs une apparition dans la télénovela que suit le padre de Betty Suarez, l’assistante moche, mal foutue et ringarde, mais tellement gentille,  dans l’univers impitoyable d’un magazine de mode similaire à celui qui est décrit dans « Le diable s’habille en Prada » ; on y retrouve d’ailleurs le clone d’Anna Wintour, dans le rôle de la rédactrice en chef que tout le monde croit morte, et qui complote contre son amant, directeur du journal, lequel a fomenté son assassinat…

Dans le camp des méchants, la belle Vanessa Williams/Wilhelmina Slater (qui officiait chez les gentils à la tête des forces de l’ordre dans la série « Boomtown »), nous gratifie de ses beaux yeux bleus, en voulant être calife à la place du calife, grâce à l’appui d'un mystérieux personnage.

Dans le camp des gentils, le plutôt craquant Eric Mabius/Daniel Meade (qui avait le rôle de Tim, petit ami de Jenny dans "L word", et membre de l'agence Judd Risk management dans la regrettée série "Eyes") a fort à faire pour défendre son poste de rédacteur en chef.

Enfin, on remarquera le retour à l'écran de Judith Light ("Madame est servie") dans la rôle de Claire Meade en Soûle Ellen de ce Dallas version fashion.

J'ai beaucoup ri dans l'épisode 6 de la première saison, intitulé "Papillonages" (The lyin', the watch and the wardrobe), où Marc, l'assistant de Wilhelmina, se déguise en Betty : son apparition est véritablement hilarante.

(Betty pas à la Paige)